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Réalisé par Wolfgang Staudte en 1946, un grand classique du cinéma allemand d’après-guerre et l'une des premières productions de la Defa.

Berlin, 1945. Susanne Wallner, une jeune photographe rescapée des camps de concentration, rentre chez elle. Son appartement est occupé par Hans Mertens, un ancien soldat qui noie ses souvenirs dans l’alcool. Susanne s’installe avec lui et l’aide à se reconstruire. Un jour, l’ancien commandant de Mertens, qui, en 1942, a fait assassiner des civils sur le front russe, réapparaît. Il dirige désormais une entreprise prospère qui recycle les vieux casques. Mertens décide que Brückner doit expier ses péchés…

Réalisme froid
Premier film allemand de l’après-guerre, Les assassins sont parmi nous est projeté le 15 octobre 1946 à Berlin. Il répond parfaitement aux visées didactiques et critiques de la Deutsche Film AG (Defa), le studio de la RDA créé la même année, pour lequel il représente une production majeure. La Defa lance à cette occasion sa première star, Hildegard Knef. Le cinéaste Wolfgang Staudte y affirme son style, cultivant un réalisme sobre et froid, ponctué de séquences brèves et de contrastes qui font apparaître le monde comme totalement désorienté. Traitant en profondeur la question des crimes de guerre, de la culpabilité et de la conscience, Staudte a obtenu un succès extraordinaire avec ce film.

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Elle devient accro à son téléphone et addict à un homme toxique. Va-t-elle finir comme un produit en promotion au rayon frais d'un petit supermarché ?

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D'après le livre d'Artur London. A Prague, en 1951, un homme est persécuté par le système malgré son passé irréprochable. Sa femme le désavoue en public et il finit par avouer n'importe quoi avant d'être réhabilité, alors que les chars russes entrent dans la ville.
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Une ouvrière et ses collègues sont confrontées à l'arrivée de jeunes tunisiennes qu'elles doivent évaluer en quatre jours. Festival international du cinéma de Huesca 2023 - Premier prix compétition internationale ; Prix Unifrance du court-métrage 2022 - Prix RTBF et Prix d'interprétation féminine.
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Avec cette adaptation du film d’Alejandro Amenábar "Ouvre les yeux", Cameron Crowe signe un thriller d’anticipation intense à la distribution trois étoiles : Penélope Cruz, Tom Cruise et Cameron Diaz.

David Aames a tout pour plaire. L’argent (une fortune laissée par son père ainsi que le contrôle majoritaire d’une grande compagnie d’édition) et un physique de play-boy. Sa vie, sans anicroche, se compose de fêtes somptueuses et de femmes charmées, comme Julie, qui ne veut pas se résumer à une conquête passagère. Mais un jour, David rencontre Sofia, une jeune danseuse d’origine espagnole. Après une soirée passée à ses côtés, il est convaincu d’avoir enfin trouvé l’amour. Le lendemain, Julie l’attend en bas de l’immeuble de Sofia et le persuade de monter en voiture avec elle. Folle de rage et d’amour, elle accélère jusqu’à provoquer un accident qui la tue sur le coup et laisse David défiguré. Sa vie changera-t-elle à son réveil ?

Délire schizophrène
Adaptation américaine du film d’Alejandro Amenábar Ouvre les yeux, où Penélope Cruz incarnait déjà la ravageuse Sofia, ce premier film de Cameron Crowe lança sa carrière grâce à un succès fulgurant, dû notamment au trio de stars complété par Tom Cruise et Cameron Diaz, parfaites têtes d’affiche pour cette fausse comédie romantique. Car ce qui s’annonce comme une bluette entre un riche playboy et une jeune candide dépasse bien vite ce cadre pour basculer dans la plus pure science-fiction. Pourquoi David Aames raconte-t-il son histoire d’amour depuis une cellule où il est accusé de meurtre ? Et pourquoi confond-il Julie et Sofia, sans réussir à déterminer qui est qui ? Un thriller d’anticipation intense, qui se joue des codes pour mieux plonger en plein délire schizophrène. 

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Autour de trois beaux portraits de femmes blessées (Sandrine Kiberlain, Nicole Garcia et Mathilde Seigner), Claude Miller orchestre un chassé-croisé aux ressorts inattendus.

Après plusieurs années passées à New York, Betty, jeune romancière couronnée de succès, rentre vivre en région parisienne avec Joseph, son fils de 4 ans. Alors qu’elle héberge pour quelque temps sa mère, Margot, dont les troubles psychiatriques entravent douloureusement leur relation, Joseph perd brutalement la vie dans un accident. Pour tenter d’alléger la peine de sa fille, accablée par le chagrin et la solitude, Margot lui ramène un jour un petit garçon du même âge que celui qu’elle vient de perdre, pioché à la sortie de l’école… De l’autre côté de la ville, la jeune mère de l’enfant enlevé, Carole, semble vivre ce drame avec un étonnant détachement.
 
Variations sur la maternité
Adapté d’un roman de la prolifique Britannique Ruth Rendell, le douzième long métrage de Claude Miller assume avec malice les tours improbables de son scénario, oscillant entre drame, comédie douce-amère et thriller psychologique. Cet inclassable chassé-croisé n’en offre pas moins trois poignants portraits de femmes abîmées par la vie, variations sur l’amour maternel dans ses nuances, ses ambivalences et ses tabous, toutes magistralement interprétées : Betty (Sandrine Kiberlain), mère fusionnelle et fragile accablée par le deuil ; l’égocentrique Margot (Nicole Garcia), qui, faute de savoir exprimer la tendresse, maquille un rapt d’enfant en geste d’amour ; et Carole (Mathilde Seigner), serveuse hédoniste embarrassée par sa progéniture, pour qui cette disparation fait presque l’effet d’une délivrance. Autour de ce trio évoluent de savoureux seconds rôles, comme celui d’Alex, faussaire, gigolo et arnaqueur à la petite semaine, incarné par Édouard Baer dans un plaisant contre-emploi.

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Comment s’est-elle imposée au cœur de la confrontation commerciale et géopolitique entre Pékin et Washington ? À l'approche de la décision sur l'avenir de Tiktok aux États-Unis, cette plongée dans les arcanes de la plate-forme révèle la guerre des données que se livrent les États. 

Épisode 1 - Naissance d’un géant chinois

En 2012, Zhang Yiming, un brillant ingénieur de Pékin, crée sa start-up, Bytedance, avec l’ambition d’égaler les leaders de la Silicon Valley. À cette époque, la Chine, intégrée au commerce mondialisé, mise sur l’innovation, associée à une certaine forme de libéralisme économique. Profitant de ce contexte, Zhang se lance sur le marché de la presse en ligne avec l’application Toutiao ("Les titres du jour"), qui rencontre un succès fulgurant. Puis, en 2016, ce sera au tour de Douyin, une plate-forme de partage de vidéos dont la réplique mondiale, Tiktok, basée sur le même algorithme révolutionnaire, déferle sur la planète l’année suivante. Entre-temps, le Parti communiste chinois (PCC) a pris le contrôle de Bytedance et d'autres entreprises de la tech, sommées de mettre à disposition leurs données et applications. L’objectif est double pour Xi Jinping : asseoir son pouvoir, en plaçant ces sociétés au cœur du système de surveillance et de répression du PCC, et contester l’hégémonie numérique et économique des États-Unis.

Retrouver l'épisode 2 en cliquant ici.

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Chacha et Marc, qui bouclent leur Tour de France des mini-golfs, tentent de répondre aux questions naïves et maladroites d’Hadrien tandis que Gautier, venu ici pour trouver l’amour, regrette d’avoir laissé son calepin pour noter les scores au petit Alain, 11 ans.
À chaque histoire sa “difficulté”, son “obstacle” au sens propre comme au sens figuré : Au fond du trou raconte les tranches de vie d’une douzaine de personnes qui se croisent cet après-midi-là et dont le point commun est d’avoir voulu se détendre un club de golf à la main. Leur autre point commun : avoir des difficultés avec le concept de détente.
Dans ce théâtre dérisoire, cette micro-société bariolée où l’on on vient avec l’obligation de s’amuser, il paraît impensable qu’un adulte puisse perdre son sang froid. En théorie. Mais qu’arrive-t-il pour celles et ceux qui n’arrivent pas à voir en “jeu” et “enjeu” des mots réellement différents ?

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Cruella d'Enfer est le seul de ses personnages avec lequel Glenn Close n'a pas sympathisé en secret. Mais elle s'est follement amusée dans le rôle, malgré les fourrures écrasantes et les escarpins impossibles de la spectaculaire méchante des 101, puis 102 dalmatiens. Comme le reste des centaines de costumes qu'elle a portés dans 43 autres films, l'actrice a obtenu par contrat le droit de les conserver. Peut-être parce que de ses premières années, passées en liberté dans la ferme de ses grands-parents, dans le Connecticut, elle garde le souvenir d'une fête annuelle : la représentation de Casse-Noisette, mis en scène à New York par l'un de ses oncles. En coulisses, elle découvre un soir l'habit du rôle-titre accroché sur un mur. "À partir de là, j’ai toujours eu le sentiment qu’on crée d’abord le costume et que l'acteur vient lui donner vie, mouvement et sens." Au travers de cette collection unique en son genre, ce portrait revisite son éclatante carrière au fil de ses incarnations les plus marquantes : la blouse d'infirmière de l'indestructible Jenny (dans Le monde selon Garp, son premier grand rôle au cinéma, en 1982), le manteau de cuir de la "bouilleuse de lapin" psychotique de Liaison fatale, les robes-armures et les corsets de la marquise de Merteuil (Les liaisons dangereuses, diffusé à l'antenne d'ARTE avant ce portrait), la livrée de la majordome irlandaise travestie par nécessité d’Albert Nobbs, dont elle a coécrit le rôle…

La rescapée 
C'est avec l'hommage débordant d'émotion à ses grands-mères et à sa mère, prononcé en 2019, lorsque The Wife lui vaut son troisième Golden Globe, que Catherine Ulmer Lopez ouvre ce documentaire. Croisant les extraits de ses films avec des entretiens d'archives – et une rencontre exclusive en forme de clin d'œil –, la réalisatrice met en regard la jubilation de l'actrice à se fondre dans ses rôles et sa franchise sans détours dans la vraie vie. Confiée à 7 ans avec ses frère et sœurs par leurs parents au mouvement évangélique du Réarmement moral, qu'elle dénonce comme une secte répressive, elle n'a cessé de lutter pour surmonter les inhibitions engendrées par cette longue réclusion. "Sauvée" par le théâtre, qu'elle découvre à 22 ans à l'université, elle a fait de ses traumatismes de jeunesse la source de son féminisme instinctif et de sa compassion pour ses personnages – de l'Alex de Liaison fatale, en qui elle voit une victime d'inceste, à la grand-mère white trash d'Une ode américaine (2020), adapté du livre autobiographique du désormais vice-président J. D. Vance, adversaire politique qu'elle combat aujourd’hui dans les manifs proavortement.

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