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Seul survivant, à 121 ans, de la bataille de Little Big Horn, où il combattit avec les Cheyennes, sa tribu d'adoption, Jack Crabb (Dustin Hoffmann, époustouflant) retrace sa très longue existence de "go-between" entre deux cultures ennemies.

À 121 ans, le vieux Jack Crabb, se prétendant le seul survivant de la bataille de Little Big Horn, qui vit la défaite du général Custer, fait le récit de sa vie tumultueuse dans l'Ouest américain à un journaliste. Recueilli enfant par une tribu de Cheyennes et leur chef qui le surnomme "Little Big Man" ("petit grand homme"), il retrouve à l'adolescence la société blanche et ses valeurs prétendument chrétiennes dans la maison d'un pasteur. Dès lors, son parcours oscille sans cesse entre les deux sociétés…

Entre tragédie et bouffonnerie
Adapté du roman Mémoires d'un visage pâle de Thomas Berger, Little Big Man, devenu culte, marque la première démystification de l'Ouest américain au cinéma. Flash-back historiques, alternance d'épisodes tragiques et de scènes bouffonnes : Arthur Penn, au sommet, signe un western atypique et offre à Dustin Hoffman un de ses premiers grands rôles. Une prouesse, car l'acteur, époustouflant, y incarne tous les visages de l'anti-héros. Un film picaresque qui dénonce la violence américaine envers les Améridiens mais fait aussi écho, à l’époque, au bourbier de la guerre du Viêtnam. Un (grand) classique.

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Cette fiction porte à l’écran avec justesse une réalité tristement banale.

Avocate spécialisée dans les violences sexuelles, Annabelle Martinelli est appelée par une femme qui subit depuis deux ans des violences conjugales. La victime, Doreen Markowitz, s’est déjà retrouvée à l’hôpital suite aux coups de son mari. Craignant ses représailles, elle n’a pas osé dévoiler au personnel médical les circonstances qui l’ont amenée là : officiellement, il s’agissait d’une tentative de suicide. Annabelle demande immédiatement qu’une protection policière soit mise en place pour sa cliente et lui trouve une place dans un foyer pour femmes. Pendant ce temps, les enquêteurs Victory Acheampong et Branko Dragovic découvrent au domicile conjugal des preuves de maltraitance. Mais lorsqu’ils apprennent que Léon, le mari, est lui-même dans la police, les deux agents minimisent les faits et dissimulent la pièce à conviction. Au tribunal, des témoignages obscurcissent davantage l’affaire, notamment le récit d’une amie de Doreen, affirmant que la jeune femme présenterait des comportements autodestructeurs et serait, elle aussi, violente envers son mari. Malgré ses certitudes, Annabelle se sent aculée… Comment obtenir la justice pour sa cliente ?

Parcours de la combattante
Dépeignant avec réalisme le calvaire que subit au quotidien une victime de violences conjugales et l’éreintant parcours qui l’attend après avoir porté plainte, cette fiction de l’Allemand Lars Becker plonge dans le travail d’une avocate à poigne, incarné par l’éblouissante Natalia Wörner (lauréate d’un prix Romy pour la série Les piliers de la terre). Il dévoile les rouages psychologiques complexes qui entrent en jeu dans ces affaires, véritables pièges judiciaires où se multiplient les zones grises et la logique du “parole contre parole”.

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Grâce à sa position géographique stratégique, sa croissance économique impressionnante, son rôle clé dans la défense du continent face à la Russie et le volontarisme de son Premier ministre Donald Tusk. Des défis demeurent, notamment sa démographie en déclin et les tensions politiques internes.

Depuis son entrée dans l'UE en 2004, la Pologne a transformé son économie, réduisant drastiquement le chômage et attirant des investissements grâce aux aides européennes. Aujourd'hui, elle joue un rôle militaire majeur, augmentant considérablement ses dépenses de défense et renforçant sa position face à la menace russe. Des défis demeurent, notamment sa démographie en déclin et les tensions politiques internes, mais la Pologne semble bien décidée à occuper une place centrale dans l’Europe de demain.

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Au fil de ce concert filmé, un retour sur la carrière et sur l’engagement puissant de cette reine du jazz et de la soul.  

En 1965, en plein mouvement des droits civiques aux États-Unis, Nina Simone s’envole pour l’Europe. Le 25 décembre, à Loenersloot, près d’Amsterdam, lors d’un concert retransmis à la télévision, l’icône du jazz à la voix déchirante interprète, derrière son piano, ses chansons infusées de révolte, à commencer par "Mississippi Goddam". Composé après l’attentat commis par le Ku Klux Klan en 1963 dans une église de Birmingham (Alabama), ce cri de rage marque un tournant pour Nina Simone qui utilise dès lors sa musique comme un instrument de lutte contre les discriminations. Avec "Brown Baby", l’artiste appelle sa communauté à la résistance en relevant la tête, alors que "Go Limp", portrait d’une jeune manifestante mise en garde par sa mère, contient une critique voilée de la non-violence prônée par Martin Luther King. Coiffure afro et robe d’été, l’altière Nina Simone happe le public, plus renversé encore par sa sublime reprise de "Tomorrow Is My Turn" de Charles Aznavour. Une heure intense qui vibre du pouvoir libérateur de la musique, à un moment charnière de la vie de la pianiste, privée d’une carrière de concertiste à cause de sa couleur de peau. Alors que, dans ces années 1960, ses textes protestataires dérangent une Amérique qui la menace, la musicienne trouve en Europe, avec ces concerts filmés, l'opportunité de s'exprimer sans entraves et de dénoncer, devant des millions de spectateurs, l'oppression des Noirs dans son pays.

Arme de dénonciation massive
"Tomorrow is my turn, no more doubts, no more fears"... Au fil de ce concert d’une Nina Simone au sommet de sa gloire, filmé en noir et blanc, ce documentaire retrace le parcours de la musicienne, du classique – sa grande passion déçue – au jazz, et montre comment l’indocile a mis son art au service d’un combat implacable pour l'égalité des droits et la liberté. Influencées par elle, la pianiste Gabriela Montero et les chanteuses Angélique Kidjo et Lizz Wright expliquent comment sa musique s’est révélée une arme efficace de mobilisation. La soprano Victoria Randem, quant à elle, rappelle que la diva a inspiré des générations d’artistes par son talent et son activisme, mais aussi par son authenticité et l'émotion unique qu’elle transmettait sur scène. Un hommage à la géniale auteure de "Little Girl Blue", à l'immense héritage.

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Bien qu'enfermée à double tour, Aya laisse éclore sa joie de vivre. L'enfant espiègle, intelligente et drôle… refait surface au quotidien. Elle trouve du réconfort auprès de sa voisine, une amie et une complice. La fête de l'Aïd approche et Aya n'a qu'un seul rêve : rentrer chez elle !

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Avec Burt Lancaster et Audrey Hepburn, un western flamboyant de John Huston contre les mensonges de la conquête de l'Ouest. 

Au lendemain de la guerre de Sécession, dans les grandes plaines du Texas, le clan Zachary habite un ranch isolé, près duquel repose le père, mort en défendant les siens contre les Indiens kiowa. Ben, qui a appris la langue de ces derniers en grandissant, et refuse de communier dans la haine des "Rouges" qui cimente la bourgade voisine, tient le rôle de chef de famille auprès de sa mère Mathilda, de ses frères cadets et de leur sœur adoptive, Rachel. Un jour, celle-ci croise un vieil illuminé qui affirme la connaître. Peu après, trois Kiowa viennent au ranch des Zachary réclamer la jeune fille, qu'ils disent être leur sœur de sang…

Ambiguïtés
À contre-courant des scénarios manichéens alors de mise à Hollywood, John Huston signe un faux classique du western, émaillé de chevauchées fantastiques et de fusillades, mais sous-tendu par l'ambiguïté. La mère (Lillian Gish) vit dans le mensonge, le frère et la sœur adoptive (Burt Lancaster et Audrey Hepburn) sont épris l'un de l'autre, et les pionniers incarnent la face sombre de la conquête de l'Ouest. Installant son casting de haut vol dans un paysage grandiose et impitoyable, le génial touche-à-tout, pour son premier western, subvertit les codes du genre sans renoncer à sa grande tradition. Un an plus tard, avec Les désaxés, il l’enterrera sans fleurs ni couronnes.

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À la veille de l’élection présidentielle du 18 mai, retour sur l’année de transition vécue par la Pologne et la cohabitation difficile entre le gouvernement proeuropéen de Donald Tusk et le chef de l’État Andrzej Duda, proche du parti nationaliste PiS. 

Après avoir été dirigée par le parti nationaliste d’extrême droite Droit et Justice (PiS) de 2015 à 2023, la Pologne vit depuis un peu plus d’un an une cohabitation malaisée : alors que le gouvernement de coalition du proeuropéen Donald Tusk s’attelle à rétablir progressivement l’État de droit, notamment à travers un retour de l’indépendance de la justice et de la liberté de la presse, le président Andrzej Duda, proche du PiS, met son veto à nombre de ces initiatives législatives. Cette année de transition, qui amorce un retour à la démocratie et coïncide aussi avec la présidence tournante de l’Union européenne, s’apprête à s’achever par des élections cruciales pour le pays : le 18 mai prochain (puis le 1er juin, si une majorité absolue ne se dégage pas au premier tour), les Polonais se rendront aux urnes pour élire un nouveau président. Ayant déjà effectué deux mandats, Andrzej Duda ne peut se présenter, mais un autre candidat du PiS, Karol Nawrocki, va affronter Rafal Trzaskowski, représentant la Coalition civique, dans un duel que les sondages prévoient au coude à coude. 
À la veille d’un scrutin déterminant pour leur avenir, quel regard portent les Polonais sur cette année de transition ? Comment les changements amorcés par Donald Tusk se sont-ils traduits dans leur quotidien et qu’attendent-ils du futur président ? Parcourant le pays, ce documentaire dresse un état des lieux et propose une analyse éclairante sur les enjeux de cette présidentielle.

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Premier mouvement authentiquement américain, l’expressionnisme abstrait, né dans le New York de l’après-guerre, est une déflagration dans le paysage artistique mondial, imposant une nouvelle manière de peindre – spontanée, non figurative, puissamment émotionnelle. Autour des "stars" de la première génération comme Mark Rothko ou Jackson Pollock se tiennent des femmes, souvent plus jeunes, dont le génie et l’audace n’ont rien à envier à leurs homologues masculins : Lee Krasner (1908-1984), héritière du cubisme, compagne de Pollock, avec qui s’échangeront de riches inspirations mutuelles, et qui se réinventera plusieurs fois au cours de sa longue carrière ; Joan Mitchell (1925-1992), qui glisse du cubisme aux paysages abstraits puissamment rythmés ; ou Helen Frankenthaler (1928-2011), initiatrice de la technique du "Soak and Stain" – des nappes mouvantes de couleur fluide –, s’exprimant sur de très grands formats. 

Couleur et geste spontané 
Des années 1950 jusqu’aux dernières décennies du XXe siècle, de New York à Paris, ce documentaire s’attache à retracer les trajectoires parallèles de trois artistes puissantes aux œuvres empreintes d’une grande force évocatrice, toutes trois portées par un esprit d’innovation faisant fi des règles établies et transfigurant la couleur par le geste spontané. Bien qu’elles adoptent des approches similaires à celles de leurs collègues masculins et remportent des succès d'exposition, Krasner, Mitchell et Frankenthaler ont été reléguées dans les marges par un marché de l’art alors émergent qui préférait miser sur les hommes, et par une histoire de l’art largement écrite par ces derniers. 

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Dans la Lettonie soviétique de 1979, résister au KGB peut encore coûter cher, comme l’apprend à ses dépens un jeune costumier de théâtre tombé amoureux de la metteuse en scène finlandaise qu’il devait espionner. Le début de la fin de l’URSS à Riga dans une vibrante comédie romantique en forme de plaidoyer pour la liberté.

Épisode 1

Riga, 1979. Dans une Lettonie sous le joug de l’URSS, Renars travaille comme costumier dans un théâtre et marchande en parallèle des produits de l’Ouest. Le jeune homme, peu impressionné par l’autorité, est surveillé de près par Maris, officier du KGB qui veut l’utiliser comme mouchard, notamment auprès d’une metteuse en scène finlandaise, Tina. Quand Renars et Tina nouent une relation amoureuse, Maris, également sensible au charme de celle-ci, profite d’une provocation à son encontre pour expédier à l’hôpital psychiatrique son insolent rival.

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Stratégie militaire, influence géopolitique, bataille de l’information : Vladimir Poutine use de tous les moyens pour venir à bout de l’Ukraine. Comment réagit son économie face aux sanctions internationales et aux contraintes de la guerre ?

Malgré les sanctions qui frappent son secteur énergétique et technologique, la Russie affiche une croissance de son PIB grâce à la diversification de ses exportations d’hydrocarbures, notamment à destination de l’Asie. Mais cette résilience cache des faiblesses : inflation galopante, pénuries de main-d'œuvre et dépendance croissante envers la Chine. L’économie russe pourra-t-elle surmonter ces défis ?

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