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Une bulle euphorique qui fait le pied-de-nez aux tragédies sociales et au contexte politique tendu de l'Angleterre thatchérienne. De 1979 à 1986, le groupe Madness enflamme les scènes et les cœurs avec sa fusion délirante de punk anglais hérité des Sex Pistols et de blue beat, l'appellation générique qui regroupe le shuffle, le ska, le rocksteady et le reggae popularisés par l'immigration jamaïcaine. "One Step Beyond", "Our House", "Night Boat to Cairo"… : égérie du jeune label 2 Tone Records aux côtés de The Specials, Madness pond des tubes au kilomètre et fait souffler un vent de folie dans les oreilles anglaises, à grands coups de danses désarticulées, de rythmes bondissants, de clips déjantés et d'énergie scénique. La police et les secours, appelés par des habitants terrifiés par un tremblement de terre en cours, évacueront ainsi trois immeubles londoniens... avant de découvrir qu'il ne s'agissait que d'un concert des nutty boys ("gamins débiles", l'un de leurs surnoms). 

Taper du pied 
Peu de formations auront su durer comme Madness : si une pause a été nécessaire aux Londoniens en 1986, l'éclatant succès de leur retour sur scène en 1992, suivi d'un best of qui s'est arraché, a démontré l'importance du groupe dans le cœur des Britanniques et ouvert la voie à cinq nouveaux albums et des tournées triomphales. En 2012, le sextet s'est même produit pour le jubilé de diamant d'Élisabeth II, depuis le toit de Buckingham Palace ! Le documentaire de Christophe Conte, qui alterne images d'archives de l'Angleterre des années 1980 et témoignages des grandes figures de la vague ska punk, se regarde comme on écoute un disque du groupe : sourire aux lèvres et en tapant du pied.

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Des reconstitutions complétées d’analyses d’historiens et de musiciens, dont la violoniste Anne-Sophie Mutter, retracent le fascinant parcours du "prêtre roux", homme de son temps et artiste visionnaire. 

Compositeur parmi les plus joués aujourd’hui, Antonio Vivaldi fut un artiste tout autant acclamé de son vivant, au parcours aussi passionnant qu’atypique. C’est dans la dynamique et libérale République de Venise que Vivaldi naît en 1678 d’un père barbier et violoniste. En parallèle de l’étude du violon, le jeune virtuose embrasse une carrière ecclésiastique. Il est engagé comme professeur de musique à l’hospice pour orphelines l'Ospedale della Pietà, où il forme le premier orchestre féminin de l'histoire. Il composera pour les pensionnaires de nombreuses pièces de musique sacrée, chorales et instrumentales, avant d’écrire ses premiers opéras, dont le triomphal Orlando furioso. Au sommet de son art, Vivaldi verra ses œuvres – notamment ses Quatre saisons, l’une des premières musiques dites "à programme" de l’histoire – triompher dans toute l’Europe. Tombée en désuétude à la fin de sa vie, sa musique restera oubliée pendant plus de deux cents ans avant de connaître un extraordinaire renouveau au XXe siècle.

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La célébrité et l'argent deviennent pour elle une malédiction. Ce qui monte vite, tombe vite.

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Tridan Lagache a passé sa vie au Club Med, à changer d’amis tous les 8 jours. À 50 ans, il démissionne du club de vacances mexicain où il est né, bien décidé à retrouver, 42 ans plus tard, son grand amour d’enfance, Violette. Il débarque à Paris, naïf et perdu mais heureux d’être hébergé chez Louis, un demi-frère dont il ignorait l’existence. Pour se débarrasser d’un Tridan encombrant, Louis supplie une de ses conquêtes, Roxane, de se faire passer pour Violette que Tridan croit reconnaître au premier regard.

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In-young, lycéenne, suit une formation de danse classique coréenne dans une école réputée. Cette adolescente pétillante s'entraîne dur avec ses camarades afin de préparer le soixantième anniversaire de son école de danse. Malheureusement, un terrible drame vient brutalement briser tous ses rêves. En effet, lorsque sa mère meurt dans un accident de voiture, elle se retrouve livrée à elle-même, sans aucune aide. Elle est rapidement expulsée de son appartement en raison des loyers impayés et elle décide alors de s'installer discrètement dans l'école de danse. Mais la directrice de l'établissement se rend vite compte de sa situation...
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En 1970, une vaste mission photographique s'emploie à dresser un état des lieux de la situation environnementale aux États-Unis. Quatre-vingt mille clichés, arrachés à l'oubli, présentent le même visage d'un paysage ravagé et d'une population insouciante face au drame qui se joue. Un formidable récit documentaire doublé d'une véritable claque visuelle et mémorielle.

Une maison modeste et un carré de jardin, à l'ombre des gigantesques tours d'une centrale nucléaire ; trois enfants qui se baignent derrière une inscription "danger", sur fond de paysage industriel enfumé ; les décharges à ciel ouvert des quartiers pauvres des grandes villes ; ou la languette d'une canette émergeant d'une dune immaculée. En 1970, le projet "Documerica" voit cent photographes livrer plus de 80 000 clichés sur la situation environnementale des États-Unis à l'administration Nixon, après deux catastrophes environnementales marquantes : une rivière pleine de produits pétroliers ayant pris feu dans l’Ohio et une marée noire sur les plages de Santa Barbara, en Californie. Le président Nixon n'a aucun goût pour l'écologie mais il a du flair politique : en plein pic de la "contre-culture", le sujet sera capital dans sa campagne de réélection. Mais après que son armada de photographes s'est déployée dans le pays, le projet est enterré et tombe finalement dans l'oubli.

Capsule temporelle
"On avait la technologie pour envoyer un homme sur la Lune, mais on était infoutus de garder nos rivières propres !", s'insurge aujourd’hui Boyd Norton, l’un des photographes du projet "Documerica" interrogés dans le documentaire de Pierre-François Didek. Ce portrait géant des États-Unis des années 1970, tombé dans les oubliettes de l'histoire et finalement exhumé par le réalisateur, n'est pas sans rappeler le projet de la Farm Security Administration (Agence pour la sécurité agricole), qui documenta par le même procédé la manière dont vivaient les populations mises à terre par la Grande Dépression. Une troublante capsule temporelle, d'une grande émotion pour le spectateur d’aujourd’hui, qui ravive le souvenir d'une population captée sur le vif, dans ses habits du quotidien. Malgré la grande diversité des clichés, "Documerica" dévoile le visage d'une même société, indifférente au paysage ravagé qui est devenu la norme. Habilement, les images les plus frappantes du gigantisme de la pollution sont mises en parallèle avec la propagande consumériste des années Nixon, où pullulent les publicités pour l'American way of life d'une classe moyenne ayant explosé au sortir de la Seconde Guerre mondiale. On ne peut s'empêcher de se demander quel tour aurait pris le combat écologique si "Documerica" en avait été la pierre fondatrice, avec trente à quarante ans d'une précieuse avance sur la prise de conscience mondiale...

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À l'été 2000, le sous-marin nucléaire K-141 Koursk appareille pour de grandes manœuvres en mer de Barents. Les hommes d'équipage, qui accumulent les arriérés de solde, n'ont guère d'espoir de toucher la prime promise pour leurs tirs d'essai, qui visent, entre autres démonstrations de force, à prouver aux Russes que l'armée garde toute sa puissance, comme le président Poutine, récemment élu, le leur a garanti. Mikhail Averine vient d'abandonner sa montre de sous-marinier au magasin d'État pour offrir à l'un de ses jeunes camarades des noces à peu près dignes. Mais il quitte Tanya, sa femme enceinte, et leur petit garçon sans état d'âme, heureux de retrouver la vie à bord et les 188 hommes de son équipage que les difficultés de l'heure rendent encore plus solidaires. Le 12 août, dès le début de l'exercice, une double explosion de grande ampleur dans la chambre de tir détruit une partie du sous-marin, qui sombre dans les fonds glacés. Le temps presse pour entreprendre le sauvetage des 23 hommes encore vivants et piégés dans l'épave du sous-marin...

Compte à rebours
Que s'est-il passé à bord du Koursk ? Les offres de secours britanniques et norvégiennes, que la Russie mit quatre jours à accepter, auraient-elles changé la donne ? Vingt-cinq ans après, les causes exactes de l'explosion demeurent inexpliquées, mais l'incurie des autorités russes ne fait aucun doute. Autour du personnage fictif d'Averine et des siens, Thomas Vinterberg, ex-cinéaste du Dogme 95 efficacement converti au film à gros budget, retrace avec intensité cette tragédie qui tint le monde en haleine sept jours durant. Même si l'issue est connue, le compte à rebours n'en est pas moins terrible. Le film déroule en parallèle les derniers moments des survivants dans le noir et le froid, et la bataille désespérée de leurs familles restées à terre pour contraindre l'armée à envoyer des secours et à leur dévoiler la vérité, ainsi que les efforts d'un haut gradé anglais (Colin Firth) pour faire accepter l'aide de son vaisseau. Tandis que Poutine, vingt-quatre heures après l'"incident" rapporté avec six heures de retard par la marine, jugeait bon de prolonger ses vacances en Crimée, la colère et la détresse des proches sont évoquées de façon saisissante. L'expression de leur rage apparaît cependant d'une étonnante liberté comparée au présent. Même si, comme le rappelle également le scénario, basé sur l'enquête de Robert Moore, les militaires n'hésitèrent pas, pour la faire taire, à droguer devant des caméras de télévision une mère folle de douleur – la plupart des victimes étaient de très jeunes appelés.

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À travers des archives saisissantes et les récits bouleversants de témoins des événements, cette série offre une plongée dans l’histoire contemporaine de six pays emblématiques, soumis, comme le reste du continent, aux desseins des États-Unis.

Épisode 1 - Coup

Au Brésil, en 1964, l’armée, soutenue par les États-Unis, renverse le président démocratiquement élu João Goulart. Une nouvelle forme de dictature émerge en Amérique latine. Les opposants trouvent refuge au Chili, où Salvador Allende tente d’instaurer légalement un régime socialiste. Le 11 septembre 1973, il meurt lors du coup d’État militaire mené par le général Pinochet. Le nouvel homme fort du pays s’allie avec les dictateurs de la région pour lancer l'opération "Condor". Les opposants aux juntes sont traqués où qu’ils soient, sous le regard complaisant de Richard Nixon. Mais lorsque, en septembre 1976, les services secrets chiliens tuent à Washington un ancien ministre d’Allende, le nouveau président Jimmy Carter refuse de collaborer avec ces régimes autoritaires. En 1977, il redonne au Panamá le contrôle de son canal et, deux ans plus tard, laisse les rebelles sandinistes triompher au Nicaragua. Mais l’élection de Ronald Reagan en 1980 annonce une nouvelle ère. 

Retrouver les autres épisodes de la série documentaire en cliquant ici.

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Retour tout en muscles sur l’art du culturisme et son absorption progressive par le consumérisme.

Si Arnold Schwarzenegger a popularisé le bodybuilding dans le monde, l’histoire de cette discipline spectaculaire commence bien avant ses films. Dès le XIXe siècle, des hommes et des femmes à la force surhumaine impressionnent le public des cirques itinérants. Mais au tournant du siècle suivant, les performances de culturistes comme Eugen Sandow changent la donne : leurs corps deviennent source d’inspiration et bientôt, certains y voient un modèle très lucratif Pour qui peut se l’offrir, des maîtres culturistes comme Jack LaLanne ou Joseph Pilates développent des cours, fabriquent des machines et ouvrent des studios pour partager – et monnayer – leur savoir. Le corps musclé devient un idéal censément atteignable par tous…

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