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Nouveauté
LivreNon disponible
Recueil de trois histoires sur la rentrée à l'école. Avec des conseils issus de l'émission télévisée La maison des maternelles.
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Nouveauté
LivreNon disponible
De Guillaume Apollinaire à Graham Greene, d'Agatha Christie à Jean Giraudoux en passant par Lawrence Durrell et Albert Londres, une anthologie qui met en évidence les thèmes majeurs de la littérature autour de ce train mythique reliant Paris à Istanbul.
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Nouveauté
Bande dessinéeNon disponible
A partir de son expérience de médiateur numérique, l'auteur livre un témoignage sur les pièges et les richesses que présentent Internet, les nouvelles technologies et la prolifération des données. Ce récit est aussi un guide pour mieux vivre dans un monde connecté et garder la maîtrise de ses outils.
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Nouveauté
Tome :
2
Bande dessinéeNon disponible
Trois aventures mettant en scène Betty, une fillette de 6 ans à l'imagination débordante, qui préfère inventer des histoires plutôt que de croire celles des adultes.
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Nouveauté
LivreNon disponible
Engagé dans la lutte contre la catastrophe écologique, l'astrophysicien explique comment la science est utilisée pour faire le constat du délitement du monde par ses algorithmes et ses machines toutes-puissantes. Celle-ci peut pourtant jouer un rôle salvateur et contribuer au renouveau des symboles et des valeurs. Un plaidoyer pour la libérer et la réinvestir de sa charge poétique.
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Nouveauté
JeuNon disponible
Note Principe du jeu : Cette batterie aux zones colorées, propose 3 modes de jeux associés chacun à un symbole sur la batterie :
- le mode Découverte (symb. avec l'ampoule) dans lequel l'enfant va découvrir des mélodies ou créer de nouvelles chansons,
- le mode Action (symb. note de musique dans un cône) pour ajouter des bandes sons et sons à la musique
- le mode Jeux (symb. note de musique et spirale) qui permet d'ajouter des sons rigolos à la musique.
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Nouveauté
CDNon disponible
Pour son Deutsches Requiem, Johannes Brahms avait puisé les textes dans différentes sources des Écritures saintes. Passionné de polyphonie - sa propre musique chorale l'atteste -, il s'inspirait de modèles issus de la grande tradition luthérienne de la fin de la Renaissance et du baroque. Depuis de nombreuses années, c'est avec la même passion qu'avec Vox Luminis, nous explorons ce fantastique répertoire ancien tout en vouant une admiration sans faille au chef-d'oeuvre de Brahms ; c'est finalement sans surprise que nous avons constaté que certains textes choisis par le maître romantique avaient déjà été sublimés par ses illustres prédécesseurs. Il nous restait à parcourir ce chemin dans les partitions, autant de méditations sur la mort, et à constituer cet autre Deutsches Requiem animé ici par les émotions du baroque luthérien.
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VinyleDisponible
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Analysant avec rigueur plus de 175 extraits de films, la réalisatrice Nina Menkes montre qu'un sexisme systémique guide la représentation des femmes au cinéma. Le septième art, "langage commun de la culture du viol" ?

De Metropolis à Eyes Wide Shut en passant par The Breakfast Club, Il était une fois à Hollywood¸ After Hours de Scorsese ou même Titane, de Julia Ducournau, Nina Menkes analyse plus de 175 extraits de films sur une période allant de 1896 à 2020 en focalisant son attention sur les plans de femmes dans le cinéma de Hollywood (soit 80 % des contenus de "divertissement" diffusés à travers le monde) et d'ailleurs. L'essayiste et réalisatrice déconstruit chaque scène à partir d'éléments invariables : la relation sujet/objet, le cadrage, les mouvements de caméra et l'éclairage, soit les quatre paramètres qui permettent d'établir la "position narrative d'un personnage". Elle fait ainsi apparaître une structure sexiste systémique dans l'ensemble de ces prises de vues, parfois même en décalage total avec le rôle attribué à l'actrice.

Ça crève les yeux
Hommes et femmes sont filmés différemment. De ce constat implacable et rigoureusement étayé, Nina Menkes met en évidence la réification des protagonistes féminines dans le cinéma, message plus ou moins conscient qui aboutit selon elle à un "langage commun de la culture du viol". Car dans l'immense majorité des cas exposés, les femmes sont montrées à l'écran comme objet du regard, souvent silencieuses, décorrélées de leur environnement, fragmentées à l'image (poitrine, fesses...) et réduites à une simple fonction sexuelle. Le ralenti, par exemple, est utilisé pour les filmer en tant que corps sur lesquels le regard s'attarde, tandis qu'au masculin on n'y recourt que pour des scènes d'action. Désormais confronté à la critique féministe, le milieu du cinéma ne semble pas prêt à se réformer en profondeur. Fondée aussi sur l'une de ses conférences ("Sexe et pouvoir : le langage visuel du cinéma") et sur les témoignages d'actrices et d'essayistes, à l'instar de Laura Mulvey (qui a défini en 1975 le "male gaze", le "regard masculin"), la démonstration de Nina Menkes crève littéralement les yeux (et l'écran). La réalisatrice revient également sur sa propre expérience de spectatrice soumise à son corps défendant au diktat du male gaze pour nous interroger avec acuité : comment réinventer la représentation des femmes ?   

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Une édifiante enquête d'investigation sur Rosatom, la puissante agence russe de l'énergie atomique, redoutable instrument géopolitique de Vladimir Poutine pour accroître son influence dans le monde.

Un cargo russe à destination des États-Unis, qui croise dans les eaux européennes, doit faire une escale technique dans le port de Rostock, en Allemagne. À son bord, les autorités découvrent du bois de bouleau provenant de l'usine d'un oligarque. Soumise à des sanctions européennes, la matière première est saisie. Mais le navire transporte aussi de l'uranium, qui poursuit son voyage. Il provient de Rosatom, la puissante agence russe de l'énergie atomique. Leader mondial pour la construction de centrales nucléaires et l'enrichissement de l'uranium, son réseau opaque de filiales, qui ne cesse de s'étendre, crée des monopoles, rendant l'Europe et les pays de l'OTAN dangereusement dépendants à l'égard du Kremlin. "Poutine a compris qu'avec le nucléaire il pouvait assujettir des pays occidentaux beaucoup plus efficacement qu'avec le gaz et le pétrole. Rosatom, c'est le gouvernement russe", résume un ancien collaborateur de l'agence. Car si l'Occident a réduit ses importations d'hydrocarbures russes, le rentable commerce de l'uranium, matière première ultraconvoitée, la vente de barres de combustible ou encore la collaboration technologique avec Rosatom se développent, comme en atteste la coopération avec la Russie de Framatome, filiale d'EDF, qui se refuse à commenter. Les États-Unis, eux, comptent le plus grand nombre de centrales nucléaires au monde, et espèrent tripler leur capacité d'ici 2050. Mais si ses sous-sols renferment d'importants gisements d'uranium brut, longtemps négligés faute de rentabilité, le pays s'est laissé distancer pour l'enrichissement, dont la Russie contrôle aujourd'hui près de la moitié de la capacité mondiale – une situation héritée de négociations menées à la fin de la guerre froide. Après l'effondrement de l'URSS, Washington rachète à bas prix à Moscou son excès d'uranium de qualité militaire : d'anciennes munitions de guerre sont ainsi recyclées comme combustibles de centrales pour produire 10 % de l'électricité américaine ! Alors que le système Rosatom s'emploie à régner en se rendant indispensable, par quels moyens les puissances occidentales parviendront-elles à s'en émanciper ? Comment exclure les risques d'espionnage et de sabotage ?

L'Occident sous perfusion de Rosatom
Sur trois continents, cette investigation, qui convoque le témoignage d'experts, de cadres de cette industrie et d'opposants russes, met au jour les arcanes de l'omniprésent Rosatom, au cœur du pouvoir de Poutine. Comment le maître du Kremlin s'attache-t-il de nouvelles dépendances via l'énergie atomique ? Qui sont les acteurs des accords nucléaires passés avec la Russie ? Pourquoi les États de l'Union européenne, et notamment la France, continuent-ils à faire des affaires avec Moscou, malgré la guerre en Ukraine ? Depuis le début du conflit, les bénéfices réalisés par l'agence à l'étranger ont doublé. Sous le feu des bombardements, l'Ukraine produit 50 % de son électricité à partir de ses centrales nucléaires, toutes de fabrication russe, comme celle occupée de Zaporijia, dont Trump voudrait prendre le contrôle. À l'heure de la renaissance, prônée par Emmanuel Macron, du programme nucléaire en France, un très instructif éclairage sur un redoutable instrument de pression géopolitique doublé d’une menace militaire.

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