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En forme d’enquête internationale, un panorama éclairant des écarts financiers genrés et du chemin à parcourir pour parvenir à l’égalité financière des femmes, seule garante de leur émancipation économique.
Instrument de domination
Rigoureuse, cette enquête internationale lève le voile sur la situation financière des femmes dans des pays occidentaux prétendument plus avancés que ceux du Sud en matière de droits. Cette réalité systémique d’écarts de richesse et de revenus entre les sexes, qui se creusent au fil des années – moins de gains, d’épargne, de retraite et de patrimoine… –, montre le long chemin à parcourir pour atteindre l’égalité, y compris dans la pionnière Islande. Alors que les Françaises ont dû attendre 1965 pour ouvrir un compte bancaire sans l’autorisation de leur mari, les femmes et les hommes entretiennent toujours un rapport différent à l’argent, entretenu par l’éducation et les assignations de genre. Au travers de témoignages et d’éclairages d’experts, cette investigation montre aussi combien l’argent reste un instrument de domination. Pourtant, des progrès notables ont été accomplis ces dernières années, notamment avec le congé de paternité – huit mois en Suède et quatre en Espagne, mais vingt-cinq jours seulement en France… Tandis que le Forum économique mondial estime qu’il faudra quelque cent soixante-neuf ans pour combler ce fossé financier, ce documentaire en deux volets dresse un constat lucide mais porteur d’espoir pour parvenir enfin à une émancipation économique des femmes.
Réalisé par Wolfgang Staudte en 1946, un grand classique du cinéma allemand d’après-guerre et l'une des premières productions de la Defa.
Berlin, 1945. Susanne Wallner, une jeune photographe rescapée des camps de concentration, rentre chez elle. Son appartement est occupé par Hans Mertens, un ancien soldat qui noie ses souvenirs dans l’alcool. Susanne s’installe avec lui et l’aide à se reconstruire. Un jour, l’ancien commandant de Mertens, qui, en 1942, a fait assassiner des civils sur le front russe, réapparaît. Il dirige désormais une entreprise prospère qui recycle les vieux casques. Mertens décide que Brückner doit expier ses péchés…
Réalisme froid
Premier film allemand de l’après-guerre, Les assassins sont parmi nous est projeté le 15 octobre 1946 à Berlin. Il répond parfaitement aux visées didactiques et critiques de la Deutsche Film AG (Defa), le studio de la RDA créé la même année, pour lequel il représente une production majeure. La Defa lance à cette occasion sa première star, Hildegard Knef. Le cinéaste Wolfgang Staudte y affirme son style, cultivant un réalisme sobre et froid, ponctué de séquences brèves et de contrastes qui font apparaître le monde comme totalement désorienté. Traitant en profondeur la question des crimes de guerre, de la culpabilité et de la conscience, Staudte a obtenu un succès extraordinaire avec ce film.
Elle devient accro à son téléphone et addict à un homme toxique. Va-t-elle finir comme un produit en promotion au rayon frais d'un petit supermarché ?