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Un grand voyage océanique avec trois femelles requins qui doivent donner la vie pour perpétuer leur espèce.
Pour donner la vie, certaines femelles requins se lancent dans de grands voyages. Des périples durant lesquels elles vont risquer leur vie. Elles devront s’orienter dans l’immensité des océans, se nourrir, trouver un partenaire, tisser des alliances, échapper à leurs prédateurs et parfois aux hommes. Ainsi une jeune requin-marteau nous entraîne depuis l’archipel des Galápagos vers différentes îles au large du Costa Rica et de la Colombie. Une doyenne requin-baleine traverse le Pacifique une dernière fois pour mettre bas et une femelle grand blanc en exil quitte la côte sud-africaine pour rejoindre l’Australie.
Leurs odyssées sont l’occasion de découvrir la grande famille des squales, composée de plus de 400 espèces. Le requin le plus rapide, le roi de l’illusion, le nettoyeur des mers, ils sont tous différents, tous dotés de capacités aiguisées par des millions d’années d’évolution. Nous découvrons des animaux sensibles et fragiles, bien loin de la caricature qu’en a faite Hollywood. Le danger pour les humains est tout autre : les requins sont gravement menacés et l’équilibre des océans avec.
Francis, petit comptable officiant dans un cabaret miteux de Charleroi, a des soucis conjugaux avec Martine, son épouse. Après une violente dispute, il se réveille un matin pour découvrir une bien mauvaise nouvelle dans son propre congélateur. C’est le point de départ macabre et loufoque d’un polar burlesque parfumé de « gueuze » bien fraîche, de musique tzigane, sous fond de déni de la désagrégation du couple, où vont se croiser toutes les variétés de névroses et de folie.
Au cours de ses trente ans de carrière, Brad Pitt n'a eu de cesse de briser son image archétypale de sex-symbol. Retour sur la trajectoire inattendue d’un acteur cinéphile et audacieux, parvenu à s'émanciper des carcans du glamour.
C'est un gamin élevé à Springfield, Missouri, au sein d'une famille conservatrice, qui grandit au contact d'une nature préservée. Tombé amoureux du cinéma à l’adolescence, il se rêve en Robert Redford. Un jour, sans prévenir personne, l’audacieux quitte son paisible cocon pour tracer sa route vers Hollywood et y tenter sa chance. L’aventure débute à la télévision. Mais alors qu’il s’y sent vite à l’étroit, son apparition dans une publicité pour une célèbre marque de jeans dévoile toute la puissance de son sex-appeal...
La quête de l'imperfection
Aux yeux du grand public, Brad Pitt est né comme un archétype : un ange blond tombé du ciel, sous l'apparence de l'auto-stoppeur qui tape dans l’œil de Geena Davis dans Thelma et Louise. Bien que son talent crève l'écran (en plus de sa plastique, Ridley Scott sait mettre en valeur son désarmant naturel), il devient vite un homme objet. D’autant qu’Et au milieu coule une rivière, Entretien avec un vampire ou Légendes d'automne l'érigent en sex-symbol absolu des années 1990. Le comédien le déplore, assailli par les cris d'admiratrices en folie sur le plateau du célèbre talk-show d'Oprah Winfrey. De Seven à Inglourious Basterds en passant par Fight Club ou Le stratège, il va cependant réussir à substituer une autre image à ce cliché : celle d'un acteur à la présence intense abîmant volontiers sa jolie gueule et doué pour l'autodérision, qui met son statut de star au service de rôles audacieux... Adrien Dénouette et Thibaut Sève, déjà auteurs de l'excellent Jim Carrey L'Amérique démasquée, retracent le parcours aussi brillant qu'intègre d'un sex-symbol devenu un acteur phare de son époque.
Mars 2008. Dans la jungle colombienne, la plus vieille guérilla communiste au monde vit ses derniers instants. Raul Reyes, numéro 2 des FARC, est tué dans un bombardement par l'armée colombienne et la CIA. Il laisse derrière lui un document inouï : dix ans de correspondance où se croisent tous les acteurs du conflit, témoignage d'une lutte acharnée pour la révolution.
Et si le changement climatique et les pandémies étaient les véritables causes du déclin de l’Empire romain ? Partant en quête des preuves scientifiques étayant cette hypothèse, Frédéric Wilner reconstitue la succession des événements qui ont conduit à son effondrement.
Pourquoi l’Empire romain, qui a dominé l’Europe et la Méditerranée pendant cinq siècles, s’est-il inexorablement affaibli jusqu’à disparaître ? Archéologues, spécialistes des pathologies anciennes et historiens du climat accumulent aujourd’hui des indices convergeant vers les mêmes facteurs : un puissant refroidissement et des pandémies. Une maladie, dont les symptômes décrits par le médecin grec Galien rappellent ceux de la variole, aurait ainsi frappé Rome en 167, ravageant bientôt son armée, avant qu’une probable fièvre hémorragique venue d’Égypte ne décime à son tour la population à partir de 251. Parallèlement, un brusque désordre climatique en cours jusqu’en Eurasie aurait fait chuter les rendements agricoles et entraîné la migration des Huns vers l’ouest. En proie à des difficultés économiques et militaires, attaqué de toutes parts par les tribus barbares, l’édifice romain s’est alors peu à peu fissuré. Puis, en 536, lorsque Justinien partit de Byzance pour reconquérir la partie occidentale de l’Empire, c’est une catastrophe naturelle qui stoppa net sa marche sur Rome : en plongeant l’Europe dans le noir, une éruption volcanique aurait provoqué une baisse spectaculaire des températures. Ce refroidissement et la terrible épidémie de peste bubonique qui se déclara en 541 pourraient avoir sonné le glas d’un Empire qui tentait pour la dernière fois de se relever.
Les secrets des arbres
Des catacombes de la Ville éternelle, où une équipe d’archéologues français étudie un surprenant empilement de squelettes, à l’Institut Max-Planck de Leipzig, où des spécialistes cherchent à identifier les pathogènes de l’époque romaine à partir d’ossements prélevés sur des chantiers de fouilles, Frédéric Wilner (Il était une fois le musée du Louvre…, Paris-Berlin, destins croisés) propose un passionnant panorama des dernières découvertes susceptibles d’éclairer la fin de l’Empire romain. Il dévoile notamment le patient travail des dendrochronologues, qui lisent dans les cernes du bois les fluctuations du climat à travers les siècles. Appuyées par des animations en 2D et 3D, les explications, limpides, des chercheurs dessinent les étapes de ce lent crépuscule, qui présente de troublantes similitudes avec notre époque.
Invitées en maison de repos pour explorer leurs malaises sexuels, trois jeunes femmes occupent les jours et les nuits à apprivoiser les démons intimes. Sous la supervision tranquille d’une thérapeute allemande et d’un travailleur social bienveillant, le groupe tente de garder un équilibre fragile. Pour la jeune Geisha, la sombre Léonie et l’imprévisible Eugénie, il s’agit pour 26 jours d’éviter les cris, d’apprivoiser les chuchotements du temps présent et de considérer l’avenir.
La petite fille est insomniaque. La mère est une artiste. Le chien s’appelle Marcel. La petite fille aime passionnément sa mère, mais sa mère aime Marcel plus que tout. Un événement imprévu permettra-t-il à ces chaînes d’amour de se reconnecter ?
De son portrait du chancelier Adenauer (1966) à ses débuts fracassants au sein de la Sécession viennoise, ce documentaire remonte le fil des souvenirs du peintre autrichien, dont l’œuvre traverse l’histoire de l’Europe au XXe siècle.
En ce 1er avril 1966, Oskar Kokoschka retrouve, dans une villa des bords du lac de Côme, le chancelier allemand Konrad Adenauer, dont il doit réaliser le portrait. Pendant les séances de pose, le peintre autrichien confie à son modèle les souvenirs d’une vie de création ayant embrassé les soubresauts du XXe siècle européen. Né en 1886, le protégé de Gustav Klimt fait une entrée tonitruante sur la scène artistique à 22 ans, à la faveur d’une grande exposition organisée pour le jubilé de l’empereur François-Joseph. Entre pièces de théâtre et portraits expressionnistes, "l’enfant terrible de la Sécession viennoise" choque en mettant à nu les passions d’une société finissante. Kokoschka arpente inlassablement le continent européen, pinceau à la main, à partir de 1923. Considéré comme un "artiste dégénéré" par les nazis, il s’exile à Londres avec son épouse, Olda, en 1938. Après-guerre, alors que la peinture abstraite connaît son heure de gloire, Kokoschka, installé en Suisse, s’érige en champion de la figuration. Formant la jeunesse au sein de son École du regard, ouverte à Salzbourg en 1953, il œuvre sans relâche à l’écriture de sa propre légende : celle d’un artiste et intellectuel antifasciste engagé pour la paix.
Au-delà du mythe
Partant de la rencontre entre ces deux géants, orchestrée par le magnat allemand des médias Axel Springer, ce documentaire déroule la trajectoire de Kokoschka, de ses provocations originelles à la déconstruction de son mythe par une nouvelle génération d’historiens de l’art. Au travers d’analyses de spécialistes et de fascinantes archives, Stéphane Ghez (Joan Mitchell – Une femme dans l’abstraction, Xenakis révolution – Le bâtisseur du son) met en lumière son génie, capable de percer l’intériorité de ses modèles au rayon X, et ses inébranlables convictions européennes, sans éluder ses zones d’ombre. Il révèle ainsi les failles de son récit, fruit d’un patient travail d’autoglorification : son rapport particulier aux femmes, ainsi que ses amitiés, après-guerre, avec des artisans de l’entreprise de spoliation des œuvres d’art menée par les nazis.
Jérôme est un menteur compulsif. Sa famille et ses amis ne supportent plus ses mensonges quotidiens. Ils font tout pour qu’il change d’attitude. N’écoutant pas ce qu’on lui reproche, Jérôme s’enfonce de plus en plus dans le mensonge jusqu’au jour où une malédiction divine le frappe : tous ses mensonges prennent vie. Commence alors pour lui un véritable cauchemar.