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Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.
Marseille 1957 : la ville accueille de nombreux réfugiés politiques du bassin méditerranéen. Jeanne fait partie de ces Espagnols qui ont fui le régime de Franco à la fin des années 1930. Elle est mariée et mère d'une petite fille, travaille dans une savonnerie et mène une vie paisible jusqu'au jour où elle est sollicitée pour faire passer des tracts au sein de son usine aux travailleurs algériens. Elle accepte. Son geste devient peu à peu un engagement. Elle rencontre alors Ali. C'est un activiste du FLN...
A Brooklyn, l'écrivain John F. Romanoff enquête sur l'histoire de ses ancêtres pendant la Révolution Russe. Divertissant et stimulant, le film défie les conventions et questionne la réalité de ce qui se passe devant et derrière la caméra. Conçu à la fois comme "un hommage et le dernier clou sur le cercueil du cinéma soviétique", le film souhaite s'inscrire quelque part entre les westerns de Sergio Leone et les déconnades des Monthy python... Chiche !
Rites mystérieux dans un pensionnat de filles, isolé dans une épaisse forêt, à l'abri du monde. Une allégorie envoutante, premier long métrage de l'auteur de "La Bouche de Jean-Pierre" qui laisse ici émaner de la douceur ouatée de ses séquences un malaise vénéneux.