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Hongrie, 2012. Des familles entières de la communauté tsigane sont littéralement traquées et assassinées par des milices, la nuit. Mira décide alors de partir vivre au Canada avec sa fille et son jeune fils. En attendant, ils font tout pour ne pas se faire remarquer. Mais où qu'ils aillent, ils se trouvent face à la menace, au danger.
En s'appuyant sur quatre magnifiques plans dessinés entre les XVIe et XVIIIe siècles, le Dessous des Cartes étudie le Paris de l'époque de la Renaissance, montrant l’influence du pouvoir monarchique sur l’esthétique de la ville ; puis présente les évolutions urbaines qui ont transformé la capitale jusqu'à la Révolution française.
C’est aux alentours de 50 av. JC que pour la première fois apparaît dans le récit de Jules César, « La Guerre des Gaules », la ville de Lutèce. Avec ce premier volet, le Dessous des Cartes retrace, à l’aide de cartes et de reconstitutions en 3D, l'évolution de Paris depuis l’époque gallo-romaine jusqu'au Moyen-âge.
Le 21 novembre 1783 à Paris, un ballon conçu par les frères Montgolfier avec, à son bord, Pilâtre de Rozier et le marquis d'Arlandes, s’élève dans les airs devant une foule de spectateurs médusés. L'un des plus vieux rêves de l'humanité vient de se réaliser : pour la première fois, l'homme peut voler. Pour rééditer l’exploit des pionniers de la conquête de l'air, une équipe d’aérostiers passionnés, menée par un de leurs descendants, Guillaume de Montgolfier, s'est lancé le défi de reconstruire une réplique de leur premier ballon et de le faire voler dans les conditions de l’époque.
Course aux records
Problèmes techniques, demande d'autorisation de vol… : au fil des espoirs et des désillusions de ces aérostiers chevronnés, le documentaire suit la reconstruction du ballon à air chaud original des frères Montgolfier. Un chantier extraordinaire et inédit, dont les étapes nous font revivre les émois et les découvertes technologiques de ces premiers vols en ballon. L'occasion de revenir sur la course aux records et à l'innovation qui a vu alors s'affronter en l'espace de quelques semaines inventeurs et aérostiers. Car dix jours après ce vol parisien, le ballon à hydrogène de Jacques Alexandre Charles, grand rival des Montgolfier, rééditera l’exploit. Et quelques mois plus tard, l'Anglo-Américain John Jeffries et le Français Jean-Pierre Blanchard réaliseront la première traversée de la Manche par les airs.
Où l’on dévoile les fantasmes sexuels, ces mises en scène imaginaires qui hantent chacun de nous, par le biais de l’art et des artistes. À Paris et à Barcelone, Jean-Marc Barr et Sergi Lopez racontent leurs fantasmes, mais évoquent aussi les films qu'ils ont tournés et qui ont fait d'eux des objets de fantasme : Chroniques sexuelles d’une famille d’aujourd’hui, réalisé par Jean-Marc Barr, ou Une liaison pornographique, dans lequel Sergi Lopez tient le premier rôle. Roy Stuart, le maître américain de l’imagerie érotique, ouvre les portes du Studio A, où il a filmé et photographié pendant trente ans d’insolentes beautés qui assouvissent leurs fantasmes dans l’extase. La dessinatrice de BD Nine Antico nous fait revivre en flash-back les destins croisés de la star porno Linda Lovelace, de la pin-up Bettie Page et du créateur de Playboy Hugh Hefner, héros de son album Coney Island baby (2010). La créatrice japonaise Atsuko Kudo, qui habille Rihanna, Beyoncé et Lady Gaga, et dont les défilés de mode, chics et érotiques, font frissonner Londres et New York, nous promène dans l’univers du latex. Le réalisateur Jean-Jacques Annaud nous révèle les coulisses des scènes érotiques du Nom de la rose et de L’amant. L’Allemande Petra Joy, pionnière du porno féministe, nous explique comment elle réinvente le cinéma classé X à travers le fantasme. La romancière américaine Sylvia Day décrit avec humour les scènes les plus crues de sa trilogie Crossfire, traduite dans trente-neuf pays… Des images et des témoignages rares sur l’imaginaire sexuel.
D'ici à 2050, la consommation mondiale de viande devrait doubler. Or, jusqu'à quel point peut-on développer un élevage intensif, gourmand en eau et en énergie, producteur de gaz à effet de serre et sans égard pour la souffrance des animaux ? Dès 1932, Winston Churchill, pourtant fin gourmet, dénonçait ce gaspillage et rêvait d'un moyen de "fabriquer des ailes et des cuisses sans élever tout un poulet". Le 17 avril 2013, une équipe du chercheur hollandais Mark Post exauçait ce vœu à sa façon en créant le premier hamburger à base de viande in vitro. Prix de ce premier petit morceau de viande au goût plutôt satisfaisant : 300 000 euros. Ce coût pourrait évidemment baisser si l'on développait cette fabrication à l'échelle industrielle.
STEAKS-ÉPROUVETTE
Aux États-Unis, la start-up de Gabor Forgacs fabrique elle aussi un morceau de viande de synthèse en utilisant une imprimante 3D fonctionnant avec de l'encre biologique. Les deux équipes mènent leurs travaux grâce aux subsides de riches mécènes, mais la recherche publique s’y intéresse, car elle espère ainsi trouver une solution pour nourrir l'ensemble de la planète. Mais le consommateur acceptera-t-il de troquer son filet mignon contre un équivalent artificiel ? Et quel serait l'impact sur l'environnement d'une viande de synthèse produite en masse ? Menée aux quatre coins du globe auprès de scientifiques, d'ingénieurs, d'éleveurs, d'un responsable d'association de défense des animaux et de consommateurs, cette remarquable enquête offre un copieux tour d'horizon des recherches autour de la viande et de ses alternatives. Le film aborde avec limpidité des notions complexes : par exemple, la fabrication du steak in vitro expliquée à l'aide d'interviews, d'infographies, de gros plans et d'images prises au microscope. Le film pointe aussi les risques d'une trop grande consommation de viande et examine d'autres pistes que celle de du steak de synthèse comme celle des insectes, riches en protéines et déjà appréciés dans certaines parties du monde.