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Clara mène une vie bien tranquille et solitaire, au grand dam de sa famille qui souhaiterait la voir s'épanouir au bras de quelqu'un. Suite au décès subit de sa tante, Clara hérite de son animal de compagnie et les ennuis commence. Une rencontre va changer les choses..
Un soir de réveillon, en compagnie d'une bouteille de champagne, Emilie, 35 ans, va sur Internet et s'inscrit sur un site de rencontres. Elle a une bonne résolution pour la nouvelle année : trouver l'amour. Et, en effet, le choix est vaste : des cyniques, des comiques, quelques loustiques et même de grands romantiques. Emilie est loin d'imaginer ce qui l'attend pourtant dans la "vraie vie".
Au Pays basque, Arnaud Daguin a établi sa maison d’hôtes Hegia dans une superbe bâtisse du XVIIIe siècle. Il pourrait se contenter d’y recevoir ses pensionnaires venus du monde entier, mais il s’engage de tout son être dans la promotion de l’agriculture biologique et de l’alimentation raisonnable. Il entretient le lien avec un réseau d’amis producteurs bio et artisanaux, et soutient aussi le projet Garroa, une initiative municipale organisée autour d’un château du XIIe siècle dont les terres sont consacrées à la production bio. Devant nous, Arnaud Daguin prépare leurs produits et nous révèle tout l’art de vivre d’une région.
Reconnecter la cuisine et le sol, c'est l'ambition de Luke Burgess. En quelques années, ce jeune chef installé à Hobart a réussi à créer, pour son restaurant Garagistes, un réseau de producteurs lui fournissant des ingrédients exceptionnels, des huîtres à coquille lisse de Bruny Island au bœuf wagyu élevé bio dans le nord-ouest de l’île en passant par d’étonnants vins nature produits sur une croupe sablonneuse en bord de mer. Sans oublier d’authentiques truffes noires. Une cuisine symphonique et inspirée qui est comme la traduction en saveurs de l’île toute entière.
Un village chinois près de la rivière Tumen, qui marque la frontière entre la Chine et la Corée du Nord. Dans cette région au climat rigoureux, de nombreux Nord-Coréens tentent de fuir leur pays ou de venir chercher des vivres et des médicaments. Chang-ho, 12 ans, et sa sœur muette Soon-hee se lient d’amitié avec un jeune réfugié nord-coréen, Jeong-jin. Mais les trafics frontaliers et le flot incessant d'émigrés a bientôt raison de la patience des villageois. Tandis qu'un drame survient pour Soon-hee, la fidélité de Chang-ho vis-à-vis de son nouvel ami est mise à l’épreuve…PUISSANCE EXPRESSIVE" La mise en scène minimaliste et cristalline, les cadrages mélancoliques, les images poétiques, le silence glacial, l’absence de musique et l’usage bouleversant du hors-champ imposent avec force une émotion poignante et une puissance expressive extraordinaire. Après Grain in ear (2006) et Desert dream (2007), Zhang Lu revient avec un splendide et bouleversant mélodrame au cœur d’une région oubliée du monde et qui ne cesse d’habiter son œuvre." (Catalogue du Festival Paris Cinéma 2010)
Alma a 26 ans, dont cinq passés au service d’un des gangs les plus violents du Guatemala. Condamnée à mort par ses anciens frères d'armes pour avoir voulu quitter la "Mara", elle a survécu de justesse à leur tentative d'assassinat, mais ne peut plus se déplacer qu'en fauteuil roulant. Face à la caméra, elle fait le récit de son initiation et des crimes les plus horribles dont elle a été complice pour le compte de sa "clique". Une mise à nue poignante et sans concession d'une criminelle en quête de rédemption.
Tortionnaire et victime
Passages à tabac, rackets, séquestrations, meurtres… : au fil de cet entretien, Alma décrit les atrocités qu'elle a infligées à ses victimes avec un détachement et un sens du détail stupéfiants, parfois insoutenables. Les seuls moments où elle laisse affleurer son émotion sont ceux où elle relate les drames qui ont jalonné sa vie et l’ont entraînée sur la voie de la criminalité. Un récit intense, en face à face, juste complété par quelques coupures de journaux, photos et dessins. Ce film saisissant illustre le quotidien infernal des habitants des quartiers déshérités du Guatemala, entre guerre des gangs et misère sociale.
Chef du restaurant Manresa à Los Gatos (Californie), David Kinch, pionnier de la haute cuisine respectueuse de la terre, a fait ses classes en France, en Espagne, en Allemagne et au Japon. À quelques pas de son restaurant, d’un côté les puces électroniques de la Silicon Valley, de l’autre les girolles qu’on ramasse le long des sentiers de forêt dans les collines de Santa Cruz. Ici, le vin est produit en biodynamie au cœur des bois de chênes, les ormeaux élevés sous les pontons de Monterey dans les eaux marines les plus pures du monde, et les fabuleux agrumes proviennent du jardin-conservatoire de Gene Lester. Une abondance californienne superbement mise en valeur par David Kinch que l'on suit en cuisine, mais aussi en cueillette et dans le potager de Love Apple Farms, qui fonctionne exclusivement par contrat avec le restaurant.
Son trait de pinceau se résume dans ses célèbres bandes de couleur de 87 millimètres de large, imprimées industriellement sur des textiles, des papiers, des miroirs. Pour sa Monumenta en 2012, le peintre de la troisième dimension prévoit de donner vie à un énorme labyrinthe, légèrement suspendu, flottant dans l’air et dont la beauté et la complexité nous inviteront à entrer et à nous perdre… Pour ARTE, le réalisateur Heinz Peter Schwerfel a pu s’entretenir avec l’artiste et filmer toute la mise en place de cette oeuvre gigantesque. Critique d’art et cinéaste, Heinz Peter Schwerfel réalise depuis 1985 des portraits filmés d’artistes (Georg Baselitz, Rebecca Horn, Alex Katz, Annette Messager...) primés dans de nombreux festivals.
Un peu partout sur la planète, des populations aisées se retranchent dans des résidences sécurisées cernées de hauts grillages ou même de barbelés. De l’autre côté de ces remparts, des ghettos d’un autre genre abritent les plus défavorisés. Au Brésil, Rio de Janeiro offre un exemple manifeste de ce clivage entre deux mondes. La classe moyenne, qui a vu ses revenus décoller, se réfugie dans des condominios – sortes de villages privés gardés par une police armée, et équipés de magasins, de bars, de piscines et de salons de beauté – tandis que les favelas, gangrénées par le trafic de drogue et la guerre des gangs, s’étalent sur les hauteurs. À Toulouse, des dizaines de résidences fermées sont sorties de terre à deux pas du Mirail, un quartier déserté par la police, où la sécurité repose sur une poignée de jeunes de la cité. De son côté, la ville de Bagdad est ceinturée par des kilomètres de murs en béton depuis la décision américaine de séparer les communautés religieuses pour lutter contre le terrorisme.
Comment expliquer l'augmentation foudroyante des cas d'autisme diagnostiqués ces dernières décennies ? Et si l'environnement jouait un rôle ?
L'autisme est aujourd'hui la maladie qui se développe le plus rapidement dans le monde industrialisé : l'amélioration des diagnostics ne peut expliquer à elle seule que les cas recensés aient augmenté de 600 % en l'espace de vingt ans. La science, qui l'a d'abord attribuée à des causes psychiques, puis génétiques, demeure perplexe devant cette énigme alarmante. Aussi certaines recherches, pour l'instant peu ou pas connues du public, explorent-elles désormais une piste radicalement nouvelle : l'environnement, et en particulier l'alimentation, pourraient jouer un rôle décisif. En effet, 70 % des enfants autistes souffrent aussi de symptômes gastro-intestinaux : le lien entre les microbes intestinaux et les fonctionnalités du cerveau se pose aujourd'hui d'une manière inédite.
Du continent américain à l'Europe du Nord, ce documentaire part à la rencontre des microbiologistes qui s'efforcent de tester la validité de l'hypothèse "bactérienne", et de deux mères qui se battent pour leur enfant autiste. D'origine somalienne, l'une d'elles travaille en étroite collaboration avec les chercheurs qui tentent de comprendre pourquoi la prévalence de l'autisme est particulièrement forte dans sa communauté. L'autre, engagée dans une démarche scientifique expérimentale, reste persuadée que le traitement mis au point pour guérir son fils de ses problèmes gastriques lui a aussi permis d'apprendre à parler et à communiquer avec les siens.