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Botero est l’artiste le plus exposé au monde, son style est aisément reconnaissable. Mais derrière le peintre, quel personnage, quelle vie. Fernando Botero, âgé de 86 ans. Nous suivons un peintre autodidacte inconnu de la province de Medellin en 1932, qui se propulse au sommet du monde de l'art. Le film réunit l’homme et son art pour capturer l’essence de Botero : la résolution tranquille et la force de caractère qui lui ont permis de vaincre la pauvreté, des décennies de critiques acerbes et la mort tragique de son fils de quatre ans. C’est une chronique poétique d’une vie inspirante et un regard en coulisse sur le pouvoir d’une vision artistique unique.
Lorsque son premier grand amour disparaît du jour au lendemain, Asako est abasourdie et quitte Osaka pour changer de vie. Deux ans plus tard à Tokyo, elle tombe de nouveau amoureuse et s’apprête à se marier... à un homme qui ressemble trait pour trait à son premier amant évanoui.
À Verderonne, petit village de l’Oise, c’est le premier jour de l’été et Claire Darling se réveille persuadée de vivre son dernier jour... Elle décide alors de vider sa maison et brade tout sans distinction, des lampes Tiffany à la pendule de collection. Les objets tant aimés se font l’écho de sa vie tragique et flamboyante. Cette dernière folie fait revenir Marie, sa fille, qu’elle n’a pas vue depuis 20 ans.
Le face-à-face touchant entre une mère et sa fille, délicatement mis en scène par Julie Bertuccelli.
Réalisant son rêve, Thomas Pesquet s'envole pour l'espace. Depuis la station spatiale, il livre des images inédites du quotidien des astronautes mais aussi, des planètes et phénomènes cosmiques, filmées à 450 kilomètres de la Terre. Durant ces six mois se tisse un dialogue entre l'astronaute et l’œuvre visionnaire de Saint-Exupéry qu’il a emportée avec lui.
Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (...12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Dans le programme proposé ici, d'une durée totale de 2h16), deux épisodes ont été regroupés : "La Grande Rivière" (79 min) et "La "Rivière sèche (57 min.). Dans le premier, à l'embouchure de la Moisie, Mistapichu, les trois soeurs de Michel évoquent leur jeunesse, quand, avec leurs parents, elles partaient, à pied et en canot, pour leur territoire de chasse situé à 500 km au nord. Et les hivers où elles manquaient de nourriture. Et où leur père mourait. Le sage Innu, Mathieu André, à côté de Shefferville, indique les pistes indiennes qui se croisaient dans ces lieux. Puis dans le campement indien, installé l'été sur la rive de la Mistashipu, nous participons à la pêche au saumon, surveillés par les gardes-pêche et leurs acolytes. Cérémonies traditionnelles., religieuses, baptême, rêves chantés avec le teiukan, etc. Dans la deuxième partie, "La Rivière sèche" (57 min), dans une vieille chaloupe à moteur un couple d'Innus remontent la rivière asséchée. Avec quelques autres familles, ils ont quitté la réserve et vont s'installer en amont avec leurs enfants. Nous jouerons avec les enfants et nous ferons des pirouettes avec eux. Nous édifierons les tentes et nous installerons à l'intérieur un tapis fait de branches de sapin que nous sommes allés couper. Nous pêcherons la truite. Nous tuerons le porc-épic. Nous le ferons cuire et nous le mangerons. Nous invoquerons l'Esprit du froid à l'aide d'une poignée de branchages vers le ciel pour le conjurer... >> Durée totale du programme 2h16.
Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.