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Profitez de 2 films pour 1 crédit seulement et découvrez « Ponyo sur la falaise » et « Les souvenirs de Marnie », deux grands films des Studios Ghibli pour tous les âges, dont les aventures se passent près de la mer.
Ponyo sur la falaise
Le petit Sosuke, cinq ans, habite un village construit au sommet d'une falaise qui surplombe la Mer Intérieure. Un beau matin, alors qu'il joue sur la plage en contrebas, il découvre une petite fille poisson rouge nommée Ponyo, piégée dans un pot de confiture. Sosuke la sauve, et décide de la garder avec lui dans un seau. Ponyo est aussi fascinée par Sosuke que ce dernier l'est par elle.
À partir de 4 ans
Les souvenirs de Manie
Adolescente solitaire, Anna a perdu ses parents très jeune, et vit en ville avec ses parents adoptifs. Lorsque son asthme s’aggrave, sa mère adoptive l’envoie chez des parents, les Oiwa, qui vivent près de la mer dans un petit village au nord d’Hokkaïdo. Pour Anna, c’est le début d’un été d’aventures qui commence par sa découverte d’une grande demeure construite au coeur des marais, non loin du village. Même si elle semble avoir quelque chose de familier pour elle, La Maison des Marais, comme l’appellent les villageois, est inhabitée depuis bien longtemps. Et c’est là-bas qu’elle va faire la rencontre d’une étrange et mystérieuse fille : Marnie…
À partir de 11 ans
Dans un institut de beauté de Beyrouth, cinq femmes parlent des hommes, de sexe, de maternité...
À Beyrouth, cinq femmes se croisent régulièrement dans un institut de beauté, microcosme coloré et sensuel où plusieurs générations se parlent et se confient. Layale aime Rabih, mais Rabih est marié. Nisrine est musulmane et son mariage prochain pose problème : elle n’est plus vierge. Rima est tourmentée par son attirance pour les femmes et vit au rythme des visites d’une belle cliente aux cheveux longs. Jamale refuse de vieillir. Rose a sacrifié sa vie pour s’occuper de sa sœur âgée…
Aigre-doux
"Le titre du film vient de la pâte épilatoire faite à la manière orientale : un mélange de sucre, de citron et d’eau que l’on fait bouillir jusqu’à ce qu’il devienne du caramel. On étale ce mélange sur du marbre pour qu’il refroidisse un peu. Et l’on en fait une pâte qui sert à épiler. Mais Caramel, c’est aussi l’idée du sucré-salé, de l’aigre-doux, du sucre délicieux qui peut brûler et faire mal. (…) Le salon, c’est un lieu où, même si l’on est regardé dans ce qu’on a de plus intime, on n’est jamais jugé. La femme qui nous épile nous voit toute nue, au sens propre comme au sens figuré…" (Nadine Labaki)