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Une galerie de portraits intimes de femmes au travail. "Je ne suis pas un documentariste, prévient le réalisateur. Plutôt un amateur de visages, de mains et d'objets. Rendre compte de la réalité ne m'attire pas. La réalité n'est qu'un mot, comme sa soeur jumelle, la fiction, que je pratique par ailleurs, avec un plaisir différent. Dans cette deuxième série de 12 portraits qui font chacun 13 minutes : la gaveuse d'oie, la romancière, la roulotteuse, la fleuriste, la cordonnière, la marchande de journaux, l'opticienne, la souffleuse de verre, l'illusionniste, l'accordeuse de piano, la corsetière et l'archetière.
Les réalisateurs nous conduisent sur les rives du Jourdain, à la rencontre de touristes israéliens. Hommes et paysages restent marqués par la politique, la religion et les valeurs sionistes. Weiss et Borenstein interrogent leur propre rapport avec Israël, qu'ils ont quitté il y a dix ans. Une quête subtile, une narration sobre et ludique sous une apparence faussement légère et une manière élégante d'évoquer ces endroits chargés d'histoire et de mythes.
Pratique millénaire, les pèlerinages connaissent un succès grandissant. Comment expliquer cet engouement ? À quoi ressemblent les pèlerinages du 21ème siècle ? Dessous des Cartes tente de répondre à ces questions à travers plusieurs exemples comme La Mecque, Lourdes ou Amarnath?
Il existe huit espèces d’ours sur la terre. Toutes ont des problèmes de cohabitation avec l’homme et se trouvent au cœur d’enjeux complexes, qu’ils soient territoriaux, environnementaux, historiques, politiques ou symboliques. Le dessous des cartes dresse une cartographie des ours à l’échelle mondiale, européenne et locale, dans les Pyrénées.
Influencé par le peintre allemand Hans Holbein, Félix Vallotton (1865-1925) regarde les corps en clinicien, tenu par l'obligation de vérité héritée de son éducation protestante. Graveur et illustrateur subversif, dessinateur prolifique, peintre de portraits, de nus, de scènes mythologiques et de paysages, le peintre suisse est multiple.
Fait rare, c’est aussi un homme de plume à qui l'on doit critiques d'art, essais, pièces de théâtre et romans. L'homme comme l'œuvre sont complexes. Pour les comprendre, Juliette Cazanave (auteure du très beau portrait intimiste "Sandrine Bonnaire, actrice de sa vie") convie le spectateur à un délicat jeu de pistes, nourri d'images d'archives, des œuvres et des écrits de l'artiste.
À travers ses différents styles de l'artiste, deux indices émergent : l'obsession de l'eau et surtout sa distance au monde : "J'aurai été celui qui, de derrière une vitre, voit vivre et ne vit pas", écrit-il alors âgé de 50 ans. Une force mystérieuse qui le tenait hors de la vie mais nourrisait aussi sa créativité débordante. Une créativité qui sut conquérir l'avant-garde parisienne et le monde entier.