113 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Une année au Conservatoire national d'art dramatique de Paris en compagnie d'apprentis comédiens, entre rêves de théâtre, répétitions et premières expériences professionnelles. Dans À l'école du théâtre, Claire Laborey et Juliette Maugard suivent de jeunes comédiens du Conservatoire qui se confrontent à leurs rêves et font l’expérience de leurs propres limites par le jeu.
Pourquoi a-t-il fallu attendre le XXe siècle et l'art contemporain, pour voir des artistes se réapproprier ce symbole avec force, proposant des oeuvres provocantes et scandaleuses? Sous la forme d'une enquête menée dans différents pays, ce film montrera comment l'église a détourné, à son profit et pendant des siècles, l'image de la crucifixion en utilisant toutes les ressources possibles de l'iconographie, créant ainsi la première campagne de communication réussie de l'histoire.
Salma et Marylin habitent la même banlieue de Chicago. Tandis que Salma est sans cesse opprimée par sa belle-mère et trime dans l’épicerie familiale, Marylin découvre que son mari la trompe et se fait licencier du jour au lendemain. Elle décide alors de tout plaquer pour réaliser son rêve : participer au fameux concours de danse du ventre, à Las Vegas. Sa route va alors rapidement croiser celle de Salma, elle aussi bien décidée à fuir sa belle-famille. Les deux jeunes femmes vont alors sillonner l’Amérique, insouciantes, au rythme des répétitions et des représentations jusqu’au jour où Marylin découvre que Salma est recherchée par la police…
Ai Weiwei, artiste dissident de l’ère numérique, inspire l’opinion publique internationale et brouille les frontières entre art et politique. Arrêté par les autorités chinoises le 3 avril 2011, libéré sous caution le 22 juin, Ai Weiwei est, à ce jour, interdit de sortie du territoire. Portrait d’un artiste engagé qui affronte sans relâche l’Etat chinois et nous rappelle de manière essentielle notre besoin de liberté individuelle, politique et artistique.
La jeunesse est une invention sociale récente. Au fil du XXe siècle, elle acquiert de plus en plus de place dans la société.
Pendant les Trente Glorieuses, elle conteste les modèles anciens, s'invente des codes et des noms (des zazous aux rockers en passant par les yé-yé) jusqu'à l'explosion de Mai-68. Dans les années 1970, elle se politise, les rébellions se succèdent. Ensuite, tout s’accélère… Retraçant le fil des mouvements de jeunesse au cours d’une histoire pleine de musique et de révolte, le film compose un puissant tableau de ce qui est à la fois un état personnel transitoire et un groupe social.
Auberge des jeunes
Ayant grandi puis vieilli au fur et à mesure que la société se "jeunifiait", à une époque où la jeunesse passait du rôle de figurante de l’histoire à celui de vedette, Cédric Klapisch et Jacques Royer surfent avec bonheur sur une histoire qui est en partie la leur, tout à la fois amusés et un brin mélancoliques. De même que la jeunesse est une entité plurielle, difficile à cataloguer, voire insaisissable par des adultes qu’elle fascine et agace, leur récit adopte un ton qui lui ressemble : très sérieux quant à la chronologie, mais sans jamais vraiment se prendre au sérieux ! Pour raconter cette histoire impossible, Jacques Royer s’appuie sur des extraits d’archives télé judicieusement choisis ainsi que sur les travaux d’une historienne de la jeunesse, Ludivine Bantigny, auteur en 2007 du livre Le plus bel âge ? (Fayard). Pour épicer cette évocation de quelques interprétations décalées, il fait appel aux jeunes humoristes Norman et Hugo, stars du Web dont les vidéos (Norman fait des vidéos, Hugo tout seul) affichent des millions de vues sur Internet. Entre étude argumentée et délires réjouissants, entre légèreté et souvenirs personnels, le réalisateur de L’auberge espagnole et son complice parviennent ainsi à saisir le caractère kaléidoscopique de cette chose que l’on n’apprend vraiment à apprécier qu’au moment où on la perd.
Dans l’euphorie de l’après-guerre fleurit une flopée de petits cabarets où une jeunesse avide de nouveauté et de liberté s’entasse avec délices pour écouter ses chanteurs préférés. Transformant ses caves et ses arrière-salles en minuscules scènes, Saint-Germain-des-Prés devient le point de ralliement. Une nouvelle génération d’interprètes émerge. Ils ne sont ni apprêtés, comme Juliette Gréco qui se produit en “noir de travail”, ni grands ni beaux comme Aznavour qui mettra dix ans à percer. Ils chantent avec leur sensibilité et leurs aspérités des textes poétiques, fantaisistes ou libertaires, et cela plaît.
Des p'tits zinzins
Le Milord l’Arsouille, Le Tabou, L’Écluse, Le Vieux Colombier, L’Échelle de Jacob... : entre 1945 et 1968, plus de deux cents cabarets ouvrent à Paris, à Saint-Germain-des-Prés, puis dans le quartier de la Contrescarpe. Véritable vivier que ces petites scènes de minuit où débuteront Barbara, Brel, Ferré, Mouloudji, les Frères Jacques, Aznavour, Gainsbourg, Ferrat, Bobby Lapointe... Orchestrant des archives foisonnantes (chansons, reportages, entretiens), ce documentaire fait revivre cette période effervescente. Tout en se dandinant, un Gainsbourg intimidé explique qu’il est “plus facile d’attaquer que d’encaisser”. Barbara se défend d’être un auteur-compositeur ou un poète : “Je fais juste des p’tits zinzins qui me vont.” Une Anne Sylvestre aux yeux de biche s’agace d’une carrière qui met du temps à démarrer. Le film comporte aussi de nombreuses interviews d’artistes comme Juliette Gréco, Jean Rochefort, particulièrement en verve, Charles Aznavour, Pierre Perret, Serge Lama, Anne Sylvestre, Paul Tourenne des Frères Jacques ou le parolier Henri Gougaud, conseiller sur ce film.
Les couches culottes jetables sont devenues un sérieux problème environnemental, le plus important concernant les ordures ménagères car elles sont fabriquées à base de composants pétrochimiques et ne sont ni biodégradables ni recyclables.
Portées seulement quelques heures, ces couches, symbole de notre société aux aspirations modernes et consuméristes, sont devenues un cauchemar écologique. De plus, les principaux fabricants, tout en tentant de s’adapter au déclin des naissances en Occident en retardant l’apprentissage de la propreté chez l’enfant, commencent à s’implanter massivement sur les marchés émergents, en Chine et en Inde. Le film incarne également la quête personnelle de la réalisatrice à la recherche d'une alternative à la fois respectueuse de l'environnement et des contraintes de la vie moderne, en observant les pratiques et solutions inventées dans d'autres cultures.