93 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Hier comme aujourd'hui, l'histoire des banques française est une histoire surprenante, brillante, irrationnelle, burlesque et tragique. Alors que la question de la place des banques dans notre société est primordiale, jamais l'exploration de leur histoire n'aura été plus urgente. Ce film mettra en lumière des événements dont les conséquences conditionnent la vie de tous aujourd'hui.
À la suite d'un putsch militaire en Indonésie, plus d’un million de personnes – accusées, entre autres, d’être des sympathisants du parti communiste récemment interdit – furent torturées et massacrées par des troupes paramilitaires, avec la bénédiction de Suharto, le futur chef d'État. Ce génocide perpétré en Indonésie entre 1965 et 1966 est l’un des plus méconnus du siècle. Les coupables n’ont jamais été inquiétés, et pour cause : certains d’entre eux tiennent toujours les rênes du pouvoir. Les cinéastes Joshua Oppenheimer et Christine Cynn ont souhaité rencontrer ces criminels qui semblent sans remords. Devant la caméra, les tortionnaires Anwar Congo et Herman Koto retournent sur les lieux du crime et y évoquent leurs souvenirs, avec un détachement glaçant. Le documentaire prend alors un tour inattendu : les bourreaux, anciens mafieux dans le milieu du cinéma, décident de se mettre en scène dans un film dont ils seront les acteurs. Dans des séquences surréalistes inspirées de films de gangsters américains ou du cinéma fantastique indonésien, ils rejouent les tueries avec délectation et fierté, en se grimant et en convoquant des figurants en nombre pour incarner les victimes de leurs tortures, viols et assassinats.
Histoire monstrueuse
Le titre original de ce documentaire, "The act of killing", joue sur la confusion qui s’installe entre l’acte criminel et la performance d’acteur. C’est un document de cinéma profondément dérangeant, sans aucun commentaire, où les protagonistes d’une histoire monstrueuse se transforment en mauvais comédiens de série B. Indonésie 1965 – Permis de tuer a bouleversé les spectateurs du Festival du cinéma de Toronto lors de sa présentation en 2012. C’est le premier volet d’un diptyque dont la seconde partie donnera la parole aux survivants, contraints de vivre aux côtés de leurs bourreaux, près de cinquante ans après les faits.
Après la chute du Mur, Berlin a dû relever de nombreux défis : devenir la capitale unifiée de l'Allemagne, en accueillir les institutions et poursuivre son développement économique pour rattraper les villes de l’ouest du pays. Dans ce second volet, Le dessous des cartes retrace le chemin parcouru par Berlin depuis la réunification.
Un couple, Eric reporter confirmé et Leila sa compagne, redécouvrent les sensations vitales du désir amoureux et de l’engagement social. Lorsqu’Éric apprend que rien ne va plus, que ses cellules s’emballent telles des herbes folles, l'impatient devient patient. Pendant cette période de vacuité, le héros converse avec l’Ankou en passant le balai dans la cuisine de sa maison bretonne, essaie de faire l’amour clandestinement dans sa chambre d’hôpital, gamberge sur ce crabe qui lui déglingue sexualité et mémoire. Se remémore des scènes vécues par le reporter qu’il fut.
Au coeur de l'été, une troupe de scouts part en forêt. C'est le temps des feux de camp et des baignades, des idylles et des flirts sous la tente, sous l'oeil bienveillant d'une nature luxuriante. Dernier court métrage de Bavo Defurne avant son passage au long avec "Sur le chemin des dunes"
À quelques jours de Noël, Peter est assis tranquillement au volant de sa voiture lorsque le Père Noël en personne atterrit par accident sur son toit ! Le Père Noël n'est pas blessé, mais il est totalement amnésique et a tout oublié... Ne se souvenant ni de son nom, ni de son métier et encore moins de la liste de cadeaux à distribuer aux enfants, il va devoir compter sur l'aide de Zack, un garçon haut comme trois pommes, pour l'aider à retrouver la mémoire et accomplir sa mission avant la nuit de Noël...
Dès 6 ans
Raconter Cartier c'est traverser le miroir du futile pour aller vers le précieux, de la coquetterie à la provocation, du minimalisme chic à l'extravagance démesurée. Raconter Cartier c'est aussi partir d'une histoire privée pour parler en biais de plus de 160 ans d'Histoire de France. Le film entrelacera les repères historiques de la Maison, sortira du musée, exhumera des archives, jouera de l'anachronisme en télescopant les époques ; pour redonner vie à ces objets précieux, et ouvrir les coffres ; les présenter sur les corps et les peaux, support sensuel et destination finale d'un bijou. Splendide.