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Fantaisie, adolescence, apprentissages sexuels... Six courts-métrages (2001/2008) remarqués et primés qui ont défini l'univers de Pascal-Alex Vincent avant son premier long-métrage "Donne moi la main". Des films souvent joyeux et décomplexés, qui se placent esthétiquement dans la filiation des oeuvres que le jeune cinéaste affectionne et aime entremêler : l'anime japonais, les comédies musicales populaires de Bollywood, les portraits ambigus de la jeunesse façon Gus Van Sant ("Bébé Requin" fut présenté dans section court-métrage de la compétition officielle du Festival de Cannes)...
Alors qu'une foule en vacances longe les côtes méditerranéennes à bord du Costa Concordia (4 ans avant son naufrage), deux enfants réinventent la politique en forçant leurs parents au débat. Qu'est devenu le berceau de la démocratie ? Godard filme la légendaire méditerranée et livre pour bilan une "symphonie en trois mouvements" dont les invités sont Bernard Maris, Elias Sanbar ou Alain Badiou.
En pleine période de migrations estivales, deux enfants de dix ans, Adama et Lucien, contraints de rester dans leur cité, décident d'un commun accord de partir eux aussi en vacances. Et pour y parvenir, tous les moyens sont bons et tous les coups sont permis.
Stéphane Breton a fait de nombreux séjours chez les Wodani des hautes terres d'Irian Jaya, en Nouvelle-Guinée. Il parle la langue de ces gens qui se promènent nus avec leur arc, qui vivent en disputant des jardins à la forêt et qui ont la tête près du bonnet comme des paysans de chez nous. Peu à peu, il s'est fait accepter, même s'il n'est pas évident pour les Wodani de comprendre pourquoi il s'intéresse à eux. Est-ce un missionnaire ? Vient-il du pays des morts ? En tout cas, ils le font participer à la vie du village et à leurs conflits incessants.
Comment une oeuvre apparemment aussi simple a-t-elle pu devenir le plus grand succès du répertoire classique ? Enquête sur le mystère du Boléro composé par Maurice Ravel. On a dit que l’argument du Boléro était une scène de séduction, la danse d’une belle Andalouse cherchant à séduire un toréador. Cet aspect “érotique” a certainement contribué à la notoriété de l’oeuvre. Cela suffit-il à expliquer sa célébrité planétaire ? Quel est le secret de cette universalité et de la fascination que le Boléro exerce sur les cinéastes (Patrice Leconte, Jean Boyer…), les chorégraphes (Maurice Béjart, Odile Duboc…) ou sur des personnalités aussi diverses que les soeurs Labèque, Jean Echenoz ou Kurt Masur ? Comment cette oeuvre qui ne ressemble à aucune autre a-t-elle pu influencer, en même temps qu’elle le préfigure, le courant le plus prolifique de la musique d’aujourd’hui : la musique répétitive ou minimaliste ?