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Les bonobos ne se trouvent qu'en République démocratique du Congo, l'ex-Zaïre. Dans ce pays ravagé par la guerre civile, ils sont doublement menacés : chassés pour leur viande, ils sont aussi la cible des trafiquants.
Au Lola ya bonobo (paradis des bonobos), à 50 km de Kinshasa, Claudine André recueille, depuis douze ans, les jeunes singes dont les parents pour la plupart ont fini sur les étals des boucheries. Grâce à cette jeune femme belge et à son équipe, quelque 300 orphelins ont déjà été sauvés. Dominique Hennequin a suivi le petit Lomami, arrivé depuis quelques jours, devenu extrêmement craintif après avoir eu le bout des doigts mutilé par des braconniers.
Mais aussi la première naissance d'un bébé singe à Lola. Si elle accepte le petit, sa mère retrouvera-t-elle les gestes pour l'allaiter ? Si des liens de parenté se nouent dans le groupe d’orphelins, Claudine André aura franchi un pas de géant : permettre aux bonobos de retrouver une vie indépendante, peut-être même dans leur habitat naturel.
Le capitaine Michel Stephan, à bord du navire postal Enez Eussa, assure depuis plusieurs années la liaison Brest-Molène-Ouessant, transportant marchandises, courrier et passagers. En hiver, quand les tempêtes se déchaînent, il est l'une des rares embarcations à pouvoir prendre la mer. Il emprunte le redoutable chenal de Fromveur, croise à mi-parcours l'écueil de Men Tensel (la "roche hargneuse"), sur lequel se dresse le célèbre phare Kéréon. Sur la pointe nord-ouest d'Ouessant, c'est celui de Créac'h qui indique la route aux navires. Au total, pas moins de six phares, parmi les plus puissants d'Europe, sont nécessaires pour assurer la sécurité de la navigation.
Bouleversé par la vision d'une carte postale de Belle-Île-en-Mer, Nicolas, un jeune garçon vivant dans une famille d'accueil, fugue pour rallier ce lieu de fascination. Après quelques jours d'auto-stop, il arrive à la périphérie de Nantes, où il fait la connaissance de Charly, une jeune fille qui vit dans une caravane et se prostitue pour assurer le quotidien. "A l'instinct, Isild Le Besco, "princesse chinoise aux yeux bridés", grave ses images fondamentales dans nos âmes." Gérard Lefort - Libération
Existe-t-il une recette pour vivre plus longtemps ? Dans une enquête fouillée, des chercheurs décryptent les mécanismes du vieillissement et explorent de nouvelles stratégies pour le freiner voire l’inverser.
Aujourd’hui, le vieillissement n'est plus considéré par les chercheurs comme un phénomène irréversible mais comme une maladie que l’on pourrait soigner. Pour y parvenir, les scientifiques explorent différentes pistes dans le but de réduire l’âge biologique qui, contrairement à l’âge chronologique, reflète l’état physiologique ou fonctionnel de l’individu. Administration d'un populaire médicament antidiabétique pour prévenir les pathologies liées à l'âge, destruction des cellules vieillissantes en les ciblant par un traitement pharmacologique, transfusion de sang d’un individu jeune sur un plus âgé, thérapie génique grâce à une reprogrammation rajeunissant les cellules… Autant d’innovations qui séduisent un nombre croissant de milliardaires de la Silicon Valley, toujours à l'affût d'investissements prometteurs. Mais, si ces techniques ne sont pas encore développées à grande échelle, l’activité physique et la pratique du jeûne, deux anti-âge parmi les plus efficaces selon les études, peuvent se pratiquer régulièrement et à moindre coût.
Bien vieillir
Faisant intervenir une dizaine de scientifiques et d’entrepreneurs internationaux, cette nouvelle enquête du prolifique duo de réalisateurs Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade (Un monde obèse, Microbiote – Les fabuleux pouvoirs du ventre, Le jeûne, une nouvelle thérapie ?) dévoile l’avancement de recherches aux allures de science-fiction. Visuellement créatif et usant d'analogies pour faciliter la compréhension des mécanismes biologiques, le film éclaire sur un enjeu majeur de santé publique : bien vieillir en bonne santé.
Perseverance est le tout dernier astromobile conçu par la Nasa pour explorer Mars. Une merveille de technologie qui devrait contribuer à la préparation d’une future mission habitée sur la planète rouge.
Février 2021. Toujours opérationnel, le rover Curiosity, qui explore Mars depuis 2012, attend la relève. Son séjour sur la planète rouge a permis de confirmer que l'eau liquide avait un jour coulé à sa surface, et qu'elle aurait pu héberger la vie… il y a trois milliards d'années. Perseverance, nouvel astromobile conçu par la Nasa, le rejoint avec à son bord un arsenal technologique bénéficiant des progrès scientifiques des dix dernières années. Objectif : le cratère Jezero, un ancien lac où gisent des sédiments contenant peut-être des traces anciennes de vie microbienne.
Dialogue intersidéral
La moindre des actions de Perseverance est retransmise en direct (ou presque, car vingt minutes séparent le temps martien du nôtre) dans les salles de contrôle américaines de la Nasa. Un étonnant dialogue intersidéral s’instaure alors entre le rover et ses programmeurs. Ce film en rend compte à travers des images spectaculaires, que des planétologues et exobiologistes éclairent de leurs commentaires. Parmi eux, l’équipe française du CNES (Centre national d’études spatiales) qui a conçu l’instrument SuperCam, une caméra munie d’un faisceau laser permettant à Perseverance d’analyser la composition du sol et des roches. Les difficultés rencontrées et les premiers retours des informations qu’il nous transmet sont mis en perspective par le discours scientifique, en laboratoire ainsi que depuis l’île espagnole de Lanzarote, dont les paysages volcaniques sont similaires à ceux de la planète rouge. La préparation à une mission habitée sur Mars et les questionnements éthiques font aussi partie des retombées attendues de la mission Perseverance, dont on espère pouvoir étudier les ultimes résultats vers 2030. Une nouvelle page de l'histoire humaine, qui s'écrit aujourd’hui à quelque 400 millions de kilomètres de la Terre.
En février 2022, Vladimir Poutine a justifié son invasion de l’Ukraine par la menace que ferait peser sur sa sécurité l’adhésion à l’OTAN de certains pays frontaliers. Depuis les révolutions de couleurs, en Géorgie, en Ukraine, l’obsession du Kremlin de ne pas perdre son influence dans l’ex-espace soviétique a franchi une étape supplémentaire avec la violation russe des frontières de l’Ukraine déclenchée en février 2022.
L’occasion pour Le Dessous des cartes d’explorer, au-delà du cas ukrainien, la relation ambiguë qu’entretient la Russie de Vladimir Poutine avec ses anciens États satellites depuis la fin de l’URSS. Des pays baltes à l’Asie centrale en passant par l’Ukraine, la Biélorussie et le Caucase, la Russie semble encore considérer l’espace post-soviétique comme sa zone d’influence naturelle. Pression militaire, arme économique, soft power : le président russe, Vladimir Poutine, cherche à tout prix à garder la main sur cet “étranger proche”.
Le monde entier a les yeux braqués sur la centrale nucléaire de Zaporijia en Ukraine. Situé sur la ligne de front, le site SUBIT des bombardements depuis le début du conflit, faisant planer le risque d’un accident nucléaire, réveillant le traumatisme des catastrophes de Tchernobyl et Fukushima.
L’occasion pour Le Dessous des cartes de vous proposer un tour du monde du nucléaire civile. Avec ses faibles émissions des CO2 et ses avantages en matière de souveraineté énergétique (notamment pour éviter les hydrocarbures russes) l’énergie nucléaire reste une option dans les mix énergétiques du XXIème siècle. Pourtant, l’extraction de l’uranium, combustible indispensable pour la réaction nucléaire, le stockage des déchets ainsi que le risque de catastrophe nucléaire sont autant d’enjeux qui questionnent le développement de cette énergie.
C’est un pays de contrastes entre glace et lave. Perdue au milieu de l’Atlantique nord, l’Islande fascine par sa géographie singulière : 130 volcans actifs émaillent son territoire dont 10% est constitué de glaciers. Le Dessous des Cartes vous embarque à la découverte du seul pays à générer une électricité 100% renouvelable également pionnier sur la question de l'égalité hommes/femmes.
Riche de ses ressources énergétiques et de sa position stratégique l’Islande intéresse les géants américain, russe et chinois. Reykyavick exporte notamment vers Pékin son savoir-faire en matière de géothermie, énergie qui pourrait remplacer jusqu’à 25% des besoins en charbon de la Chine.