50 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Piotr Tchaïkovski, né en 1840 en Russie, entreprit d'écrire ce qui serait sa dernière symphonie, la Symphonie n° 6 en si mineur dite La Pathétique, en 1893. La première de l'oeuvre, que le compositeur russe dirigea lui-même à Saint-Pétersbourg en octobre 1893, laissa le public indifférent. C'est pourtant aujourd'hui l'une des symphonies les plus jouées et les plus enregistrées au monde. La Pathétique est dotée de tous les attributs de l'oeuvre légendaire, ne serait-ce que parce que Tchaïkovski mourut quelques jours après l'avoir créée - officiellement du choléra. Les circonstances de sa composition ont longtemps été entourées de mystère. On pense aujourd'hui qu'elle a été inspirée au compositeur par sa passion malheureuse pour son neveu Vladimir, à qui elle est dédiée. Si l'on en croit les confidences de Tchaïkovski, la Pathétique est une oeuvre à clef. C'est en tout cas une partition à la forme nouvelle, qui se conclut sur un mouvement lent - cette innovation a longtemps choqué interprètes et auditeurs.
Pour venir en aide à son petit fils hospitalisé, une grand-mère cherche un petit boulot pour récolter de l'argent. Maggie se retrouve ainsi au Sexy World, un cabaret de Soho où sa main masturbatrice fait le bonheur des clients... Sujet délicat mais un drôle de film, délicat et romantique, où Marianne Faithfull trouve un rôle magnifique dans ce deuxième film de l'auteur du "Tango des Rachevski".
Mozambique, 1969, un camp militaire pendant la guerre coloniale. Le capitaine Costa entretient une relation secrète avec Vicente, un jeune et bel infirmier. Mais cet amour interdit est difficile à vivre et à préserver au sein de la garnison. L’attaque inattendue de la guérilla lors de la nuit de Noël va raviver toutes les tensions... Les secrets de cette armée pourront-ils résister jusqu'à la levée du jour ? Entre violence de la guerre et violence des passions, le réalisateur acclamé de la nouvelle vague portugaise, Joaquim Leitão, signe avec "L’Assaut" un film troublant sur la vie militaire à une époque où l'homosexualité dans l'armée était encore taboue.