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Piotr Tchaïkovski, né en 1840 en Russie, entreprit d'écrire ce qui serait sa dernière symphonie, la Symphonie n° 6 en si mineur dite La Pathétique, en 1893. La première de l'oeuvre, que le compositeur russe dirigea lui-même à Saint-Pétersbourg en octobre 1893, laissa le public indifférent. C'est pourtant aujourd'hui l'une des symphonies les plus jouées et les plus enregistrées au monde. La Pathétique est dotée de tous les attributs de l'oeuvre légendaire, ne serait-ce que parce que Tchaïkovski mourut quelques jours après l'avoir créée - officiellement du choléra. Les circonstances de sa composition ont longtemps été entourées de mystère. On pense aujourd'hui qu'elle a été inspirée au compositeur par sa passion malheureuse pour son neveu Vladimir, à qui elle est dédiée. Si l'on en croit les confidences de Tchaïkovski, la Pathétique est une oeuvre à clef. C'est en tout cas une partition à la forme nouvelle, qui se conclut sur un mouvement lent - cette innovation a longtemps choqué interprètes et auditeurs.
Tout commence en 1928 avec une souris née sous le crayon d'un jeune dessinateur qui a des ambitions de metteur en scène.
En 1935, Walt Disney parcourt l'Europe avec sa femme et en rapporte quantité de livres illustrés et de gravures. Puis il s'entoure d'une équipe d'artistes hors pair, formés en Europe et émigrés aux États-Unis. Le travail des studios Disney peut commencer, dans la fièvre créatrice et les difficultés financières. Il consiste à puiser dans le Vieux Monde pour en créer un nouveau. Sur le fond, Disney recycle une bonne partie de la bibliothèque enfantine européenne.
Sur la forme, chaque dessinateur apporte sa pierre (et sa culture) à l'édifice. Pinocchio et Fantasia sont teintés d'expressionnisme allemand. Les fabuleux décors de La Belle au bois dormant s'inspirent des primitifs hollandais et italiens. Blanche-Neige a des ancêtres chez les préraphaélites anglais. Et les animaux, grandes vedettes des films de Disney, ont des cousins germains chez Benjamin Rabier, Honoré Daumier et Gustave Doré... Un documentaire foisonnant et passionnant sur un singulier mariage culturel entre l'Europe et l'Amérique, avec de nombreux extraits des meilleures productions Disney.
Il y a l'Amérique qu'on connaît bien et puis, il y a l'autre versant : celui des penseurs, des philanthropes, des excentriques, des artistes underground et des migrants.
C'est à la poursuite de cette Amérique-là qu'Ariel Wizman s'est lancé, dans un périple qui l'a mené de New York à San Francisco, via Miami, l'Arizona, Las Vegas et Los Angeles. Dans ce film au rythme nerveux, penseurs (comme le professeur noir Cornel West), journalistes et artistes engagés (le danseur Tommy the clown en tête) font montre d'une étonnante aptitude à l'autocritique, dénonçant sans relâche les dérives qui minent leur pays : désinformation, immaturité...
Animée d'une formidable volonté de rédemption, cette "autre Amérique" ne manque pas d'imagination pour proposer des alternatives. Des médias contestataires - par exemple le collectif Vice qui a emmené un groupe de trisomiques aux conventions démocrates et républicaines pour confronter les hommes politiques à de vraies questions - au club de strip-tease autogéré, en passant par le monde artistique et associatif, un bouillonnant laboratoire du vivre autrement s'élabore outre-Atlantique.
Sa survie ne tient qu'à quelques fils : entendre de l'autre côté de la cloison le cheval voisin se coucher dans la paille à la nuit tombée, attendre le jour et l'arrivée de Martine, auxiliaire de vie et exquise pousse-au-crime, puis celle du jeune Edmond, 17 ans, cavalier d'une grâce inouïe, dont la prestance n'a d'égale que l'économie de parole.
Au mystérieux orgasme féminin on a longtemps opposé la simplicité apparente du fonctionnement de la sexualité de l'homme. La question de l'orgasme masculin ne se poserait donc pas, puisque son équation est censée être connue de tous : excitation, érection, pénétration (ou masturbation), éjaculation. Mais l'orgasme masculin est-il aussi évident que le laisse à penser la description de ce mécanisme ? Cette vision simpliste du plaisir de l'homme n'est-elle pas illusoire ?
Pour de nombreux sexologues, la majorité des hommes n'expérimente en fait qu'une jouissance physique fugace. Obnubilés par le but final, ils en oublient leur plaisir en chemin. D'autres, libérés du culte de la performance, découvrent une volupté bien plus grande.Au centre de ce film, il y a la parole d'hommes, novices ou expérimentés, hétérosexuels ou homosexuels, fleur bleue ou don juans. Ils nous confient les mille et une nuances de leur plaisir. À travers leurs témoignages, l'orgasme masculin apparaît dans toute sa complexité.
Ces hommes parlent aussi du rôle prédominant des émotions dans la découverte du plaisir. "Chez les hommes, comme chez les femmes, le principal organe sexuel se situe dans la tête ! À l'origine d'un problème fonctionnel, il y a bien souvent un blocage émotionnel", explique le sexologue Sylvain Mimoun
Au début des années 80, après l’avènement de Deng Xiaoping et des réformes économiques, dans la même logique, le Parti a érigé ce village en nouveau modèle du "capitalisme à la chinoise".
Des usines ont été créées, qui appartiennent toutes au village. Et le résultat ne s’est pas fait attendre : ce nouveau « libéral communisme » a provoqué l’enrichissement des habitants du village modèle : les deux mille villageois ont bénéficié de maisons individuelles de 400 m2 avec tout le confort moderne et d'une ou plusieurs voitures particulières. Le village est entouré de murs, et il est gardé par des policiers en uniforme. Dans les rues, des haut-parleurs diffusent en permanence des chansons de propagande à la gloire du Parti.