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Une délégation indienne, dirigée par Kuldip Badhwar, se rend en France pour concrétiser l'achat de quatre réacteurs nucléaires nouvelle génération. Le représentant indien est accueilli à la centrale de Cateneau par Blandine Maurizet, chargée par le ministère de l'Industrie d'organiser la visite du site. Kuldip Badhwar exige des garanties sur la sûreté des installations et demande un test d'arrêt d'urgence du réacteur. Le ministère, sûr de sa technologie, donne son accord. Mais la manœuvre, qui ne devait être qu'une simple opération de routine, vire au cauchemar... Quand la réalité rattrape la fiction : le 30 septembre 2008, le premier ministre indien Manmohan Singh et le président français Nicolas Sarkozy ont signé un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil. Pour la France, les retombées commerciales seraient énormes : on estime que, en contrepartie, les entreprises françaises pourraient rafler 20 milliards d'euros de contrats en Inde dans les quinze prochaines années.
Dans un château, isolé en plein coeur de l'hiver, vit une étrange famille: Hugo, la quarantaine; Eléonore, sa femme; tante Agathe, soeur de Hugo, vieille fille attachée aux traditions; Sébastien, frère d'Eléonore, à qui il voue une affection trouble. Frédéric un jeune étudiant est accueilli par la famille et reste au château quelques temps pour faire des recherches sur un ancêtre de la famille. Commence alors un jeu complexe de manipulations, orchestré par l'ensemble des membres de la famille, au cours duquel Frédéric rencontre l'amour, au péril de sa vie... Dans Château en Suède, Guillaume Depardieu est Sébastien. Dandy cynique et décadent, il a été introduit par sa soeur Éléonore dans la famille Falsen. Il partage son temps entre un ennui viscéral et une relation tout à fait incestueuse avec sa soeur. Mais il se réjouit déjà de la venue de "l'invité", qui promet quelques distractions à son esprit mal intentionné...
Plombé par des déficits publics de plus de 500 milliards de dollars et une dette internationale qui explose, tout autre pays que les Etats-Unis aurait été emporté, avec sa monnaie, par un ouragan financier. Pourtant la patrie de l’oncle Sam n’est pas à feu et à sang ; ses dirigeants gardent leur calme et la population vaque à ses occupations. Qu’il grimpe ou qu’il dégringole, c’est toujours pour les autres que le dollar semble induire des conséquences négatives.
Ce « privilège exorbitant » d’exporter ses déficits chez les autres est l’effet du statut de monnaie de réserve et de paiement international. Cette position privilégiée, pratiquement jamais remise en cause, s’est construite progressivement depuis la deuxième guerre mondiale avec la montée en puissance de l’Amérique. En ce sens, le dollar est le symbole même de l’efficacité économique des Etats-unis, de leur impérialisme ou de leur hyper puissance.Toute la question étant de savoir si, aujourd’hui, nous assistons ou non à la fin de ce cycle historique.
Grâce au Pacte Végétarien, tous les animaux vivent en paix et en harmonie. Tous sauf un : la hyène Crevel qui n'arrive pas à digérer l'idée de ne plus manger de la viande. Décidée à calmer son appétit, elle va une nuit au cimetière pour manger des cadavres. Mais, à sa grande surprise, il ne reste aucun! Le lion Pérsicus et son conseiller, le tigre Altaicus, ont organisé un réseau pour maintenir leurs habitudes carnivores. Crevel les découvre. Une lutte animale et féroce commence.
Guy de Saint-Cyr emmène sa troupe de passionnés à la pointe de la corne de l'Afrique, un lieu d'une extrême intensité géologique au croisement des trois plaques continentales. Ce voyage les conduit sur le lac Abhé : cette cavité asséchée aux allures de paysage lunaire a servi de décor au film "La planète des singes".
Angles sur L'Anglin, petit village du Poitou-Charentes. Ici, au pied d'une falaise calcaire, dans un abri sous roche appelé le Roc aux sorciers, se cache le plus beau joyau de la sculpture du paléolithique : une frise sculptée longue de plus de trente mètres, datant de 15 000 ans avant J.-C, une véritable "grotte de Lascaux de la sculpture". Ses auteurs : des Magdaléniens, ancêtres installés dans une grande partie de l'Europe de 18 000 à 11 000 ans avant notre ère, qui ont probablement disparu sous l'effet d'un brusque changement climatique.
Partant de ce site unique et des fouilles qui y sont menées, dotées des technologies les plus avancées, ce documentaire promène un regard passionné sur les hommes et les oeuvres. Où l'on découvre les outils utilisés et comment les sculptures avaient partie liée avec l'habitat - les anneaux intégrés à un bison servant ainsi à tendre des peaux pour séparer les aires de vie ; et surtout la place exceptionnelle réservée à l'art par les Magdaléniens. Une pratique qui aurait eu ses maîtres, transmise à l'aide de tablettes gravées, et un style que l'on retrouve jusqu'en Égypte. Si les représentations animales dominent, d'autres motifs, plus rares - symboles de la féminité, profils et visages - témoignent d'une réelle intention artistique.
Liouba, 48 ans, trime dans un kolkhoze de la région de Novgorod, dans le nord de la Russie, pour élever sa tribu d’enfants. En tout, elle en a neuf, qu’elle a emmenés avec elle en fuyant un mari violent et alcoolique. Sa fille aînée Alessia lui prête main-forte, contrairement aux deux grands fils : le plus vieux est en prison, l’autre traîne sa mauvaise humeur en attendant l’armée...
Torrents d’amour
Antoine Cattin et Pavel Kostomarov ont partagé trois années de la vie de Liouba – prénom qui en russe signifie “amour” –, dans une complicité sans faille. À l’arrière-plan, la bande rigolarde des petits forme un choeur antique éternellement joyeux. Il y a aussi la grande misère et la dureté du monde, dans cette campagne russe ravagée par la pauvreté et l’alcoolisme. Constamment proche la caméra magnifie le combat quotidien des deux femmes contre le chaos qui les environne, plongeant le spectateur dans un maelström d’émotions, amour et détresse mêlés.
Il est porteur d'un message qui touche le cœur de chacun et qui dépasse son identité de moine et de bouddhiste. Le Dalaï-Lama a développé une dimension d'humanité qui le rend universel. Sa vie exceptionnelle, ne l'a pas mis à l'abri des épreuves. Au contraire et c'est sans doute à travers la souffrance acceptée, assumée et dépassée qu'il trouve la force de nous exhorter à construire un monde meilleur, plus fraternel, fondé sur des valeurs qui donnent un sens à la vie. Le film, qui fait alterner entretiens et images d’archives, donne également des clefs pour comprendre la situation actuelle du Tibet. À noter : le tournage a eu lieu en février 2008, juste avant les émeutes qui se sont déroulées à Lhassa.