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Comment une oeuvre apparemment aussi simple a-t-elle pu devenir le plus grand succès du répertoire classique ? Enquête sur le mystère du Boléro composé par Maurice Ravel. On a dit que l’argument du Boléro était une scène de séduction, la danse d’une belle Andalouse cherchant à séduire un toréador. Cet aspect “érotique” a certainement contribué à la notoriété de l’oeuvre. Cela suffit-il à expliquer sa célébrité planétaire ? Quel est le secret de cette universalité et de la fascination que le Boléro exerce sur les cinéastes (Patrice Leconte, Jean Boyer…), les chorégraphes (Maurice Béjart, Odile Duboc…) ou sur des personnalités aussi diverses que les soeurs Labèque, Jean Echenoz ou Kurt Masur ? Comment cette oeuvre qui ne ressemble à aucune autre a-t-elle pu influencer, en même temps qu’elle le préfigure, le courant le plus prolifique de la musique d’aujourd’hui : la musique répétitive ou minimaliste ?
Une marquise confite dans le deuil et un chevalier au coeur brisé s’éprennent l’un de l’autre, à leur grande surprise, mais pas à celle de leurs domestiques. Lisette, tête bien faite et langue pendue de même, et Lubin, soupirant d’icelle, valet sans malice mais non sans charme, complotent pour unir leurs gémissants maîtres respectifs. Il leur faut pour cela déjouer les assiduités d’un Diafoirus au petit pied et d’un Casanova vieillissant… La seconde surprise de l’amour est l’une des comédies les plus émouvantes de Marivaux. Mis en présence l’un de l’autre, la veuve inconsolable et l’amoureux trahi se découvrent, se confient. Surgit la question qui, plus que toutes, a passionné le dramaturge : comment naît l’amour ? Comment une amitié devient-elle ce qu’on appelle “dangereuse” ? La mise en scène de Luc Bondy, créée à Vidy-Lausanne et reprise en tournée (notamment au Festival d’Automne 2007 et aux Amandiers de Nanterre), fonctionne à la perfection. Une version subtile et limpide à la fois, qui fait résonner Marivaux avec une force renouvelée.
L'économiste ultralibéral Milton Friedman conseillait aux hommes politiques d'imposer immédiatement après une crise des réformes économiques douloureuses avant que les gens n'aient eu le temps de se ressaisir. Il qualifiait cette méthode de traitement de choc. La journaliste pamphlétaire Naomi Klein la qualifie de "stratégie du choc". Ce film revient sur la nécessité d'y réagir.
Depuis les montagnes célestes jusqu'au sommet des tours de Shangai, deux jeunes paysans doivent quitter leur village pour rejoindre la mégapole. Métamorphoses et mutations chinoises au cœur de Shanghai. Un court-métrage d'animation en 3D de Hendrick Dusollier
Le 18 mai 2007, au lendemain de l'élection de Nicolas Sarkozy, Rachida Dati est nommée ministre de la Justice. Femme, jeune, d'origine maghrébine, elle ne fait pas partie du personnel politique classique. Elle n'a pas fait l'ENA, n'a jamais été ministre, et devient aussitôt un symbole de l'intégration. Un an et demi plus tard, c'est la désillusion : Rachida Dati est sur la sellette. Que s'est-il passé ? En retraçant l'étonnant parcours de cette femme née de parents immigrés dans une banlieue pauvre, parvenue jusqu'aux sommets de la République, les réalisateurs cherchent à comprendre quels sont les ressorts de son ascension et pourquoi l'exercice du pouvoir s'est finalement révélé difficile. Ils retournent sur les lieux de son enfance, donnent la parole à ceux qui l'ont croisée tout au long de son parcours : amis, professeurs, personnalités politiques, journalistes. Amis ou adversaires, ils dressent un portrait tout en ombre et lumière d'une femme politique en ce début de XXIe siècle.
A Bethléem, en Palestine, Mouna et son fils Fadi rêvaient d'Amérique. Or voici que l'occasion se présente. Les voici partis rejoindre soeur et cousines dans une banlieue banale de l'Illinois où elles vivent depuis quinze ans. Mais entretemps l'Amérique est partie en guerre contre l'Irak du "diable" Saddam et elle s'avère bien moins accueillante qu'ils ne l'avaient idéalisé.
Une sacrée gaffe ! Simon Foster, ministre du gouvernement britannique, a donné une interview et a qualifié d'« imprévisible » une guerre américaine au Moyen-Orient. Il tente de se rattraper mais rien n'y fait et les choses s'aggravent lorsqu'un conseiller en communication particulièrement nerveux et misanthrope s'en mêle. Les camps opposés, pacifistes et bellicistes, des deux côtés de la Manche, sont saisis d'un même vent de panique, fou et absurde. Un premier long-métrage inspiré la propre série initiée par le réalisateur à la BBC,"The Thick of it" qui mettait en scène conseillers et experts... surtout en manipulation de l'opinion. Une satire politique corrosive.