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Été 2010, l'Afrique accueille pour la première fois la coupe du monde de football. À l'occasion de ce grand rendez-vous sportif de portée mondiale, Le Dessous des Cartes retrace l'histoire du football moderne, phénomène par excellence de la mondialisation.
Les biocarburants connaissent une forte croissance : ce sont des énergies renouvelables, propres en termes de CO2, mais ils ne sont qu'une des solutions pour réduire la dépendance aux hydrocarbures et les émissions de gaz à effet de serre. En terme physico-chimique, comment obtient-on au juste un agrocarburant, qu'on appelle aussi biocarburant ? Comme le nom l’indique, ces carburants sont d’origine végétale. Cela vient du grec bios, la vie, le vivant ; et du latin carbo, c’est-à-dire charbon. Ces carburants ne sont donc pas d’origine fossile puisqu'ils viennent de la biomasse. On utilise la masse biologique disponible pour fabriquer des carburants à partir de matériaux organiques.
Chaque année, les migrants envoient vers leurs pays d'origine plus de 300 milliards de dollars sous forme de transferts d'argent. Que représente cette manne financière, comment est-elle utilisée ?
Les lions ne seraient plus qu'une trentaine de milliers sur tout le continent africain. Ainsi, dans le Massaïaland, au Kenya, les bergers, toujours plus nombreux, ont exterminé la majorité de ces fauves. À Mbrikini, au pied des collines de Chyulu, alors que les tueries par empoisonnements et la chasse traditionnelle faisaient des ravages, un groupe de Morrans, des guerriers Massaï, participent au programme "Living with lions" développé par des scientifiques. De chasseurs, ils sont devenus les protecteurs des fauves. Problèmes de société, d'écologie, de conservation : ce film pose un regard objectif sur les difficultés que présente la cohabitation avec les prédateurs dans l'une des contrées où la faune est la plus spectaculaire.
En décembre, le climat est au centre de négociations mondiales à Copenhague. Quels sont les enjeux nationaux et internationaux de ce sommet ? Quels sont les moyens envisagés par les pays riches - pollueurs - et les pays en développement - pollueurs également, mais qui revendiquent un droit à la croissance ? Le réchauffement du climat dessine un avenir inquiétant pour la planète et les générations futures. Dans les années 1990, le sommet de Rio et le protocole de Kyoto ont défini plusieurs principes d'action : précaution, responsabilité et droit au développement.
Le réchauffement du climat dessine un avenir inquiétant pour la planète et les générations futures. Dans les années 1990, le sommet de Rio et le protocole de Kyoto ont défini plusieurs principes d'action : précaution, responsabilité et droit au développement.
L'An 2008 met en scène une collection d'archétypes de la mondialisation : le consommateur insouciant, la sociale dumper chinoise, le défricheur amazonien, le voleur de plaques d'égouts, la tuvaluane inondée, le surendetté américain, le trader inconséquent, la veuve écossaise, etc. Tous ces personnages, à la fois dérisoires et emblématiques, vont s'interpeller mutuellement, s'accuser des maux qu'ils subissent et s'excuser pour les dommages qu'ils provoquent.Des bureaux de La City aux usines du Guangdong, des marchés de Lagos aux villas de Beverly Hills, ce chassé-croisé picaresque va peu à peu dessiner la folle escalade de l'économie mondialisée.
Pendant près d’un an, les réalisateurs ont suivi le quotidien quelque peu azimuté de quatre physiciens de Paris VII-CNRS.
Dans leur laboratoire aux allures d’atelier d’artistes ou sur le terrain (en pleine forêt ou au milieu du désert), Stéphane, Étienne, Simon et Sylvain tentent de décrypter des phénomènes tels que “le chant des dunes” ou la forme des feuilles. Par des procédés imaginatifs (dessins d’animation, travail sur la musique et les voix off), les réalisateurs restituent avec humour et finesse l’intimité, les états d’âme, les doutes et les rêves de ces quatre passionnés. Ils nous font redécouvrir la recherche fondamentale, souvent incomprise du grand public en raison du peu d’applications à court terme.
Pourtant, cette science qui ne se préoccupe que de l’avancée des connaissances humaines est à l’origine de toutes les grandes découvertes. Grâce à "Cherche toujours !", le travail des chercheurs apparaît enfin pour ce qu’il est : une aventure concrète, excitante et parfois pleine d’émotions. Comme lorsque les physiciens parviennent à écouter le chant des dunes : “On avait les larmes aux yeux. Quand tu sens que ça part, c’est vraiment comme avec un groupe de rock !”
Gianni, la soixantaine, vieux garçon fauché et un peu alcoolique, vit avec sa mère bientôt centenaire dans un vaste appartement dont il ne parvient plus à payer les charges. À la veille du week-end du 15 août, le plus férié des jours fériés italiens, le syndic, profitant de cette dette, lui impose pour deux jours sa propre vieille mère et sa tante octogénaire. Et son ami médecin, venu l'ausculter à domicile sur des douleurs cardiaques, en profite pour lui confier à son tour sa maman.
Funambules.
Autour de Gianni et de ses quatre pensionnaires, il ne se passe pratiquement rien, comme dans ce temps ralenti du très vieil âge et de la touffeur estivale, quand une expédition à l'épicerie du coin constitue le grand événement d'une journée. Ce Déjeuner du 15 août renoue pourtant avec la trépidante tradition de la comédie à l'italienne. Scénariste consacré (Gomorra lui a valu un grand prix à Cannes), Gianni Di Gregorio parvient dans ce premier film funambule à suggérer de grandes émotions avec une stupéfiante économie de moyens. Cela tient en partie à sa propre interprétation (puisée dans son expérience personnelle), comme à ses comédiennes, débutantes formidables choisies pour "leur forte personnalité". Le succès de son alter ego de cinéma, archétype de mâle italien aussi drôle que pathétique, lui a permis de nouvelles aventures, toujours flanqué de sa mère fictive : Gianni et les femmes est sorti en France cette année.