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Renvoyé de l’armée et averti du décès de sa mère, Thomas retourne à Jerichow, petite ville d’une région pauvre d’Allemagne. Le jeune homme veut rénover la maison familiale et démarrer une nouvelle vie. Mais l'argent manque. Il fait bientôt la rencontre d'Ali qui lui offre un travail à ses côtés. Lors d’une excursion au bord de la Baltique, Thomas va se rapprocher de la femme de son nouvel ami... Une nouvelle version du "Le Facteur sonne toujours deux fois" revu et corrigé par le chef de file du nouveau cinéma allemand avec son égérie, Nina Hosse ("Yella").
La maison est au 9 bis, vieille route de Landerneau, en haut du Donegal. Non, ce n’est pas le propriétaire qui fera les visites, parce qu’il n’est plus là, mais il y a quelqu’un qui connaît bien.
Dans une colonie d'immigrants juifs d'Entre Rios, en Argentine, à la fin du 19e siècle, l'histoire de Gertrudis. Sa famille l'a toujours trouvée laide, qu'elle soit bébé, petite fille ou adolescente. Devenue femme, les gens du village s'accordent aussi à la trouver décidément laide. C'est seulement quelques année plus tard, mariée et mère de famille, qu'elle sera vue autrement par un photographe français, artiste surréaliste, qui gagne sa vie en faisant des portraits de famille. Il va être le seul à découvrir, avec un autre regard, la beauté particulière de cette femme, la richesse et la créativité de son monde intérieur. A travers son "regard", Gertrudis commencera à "se voir".
Philippines, début du 20° siècle. Les premiers retentissements de la guerre annoncent l'arrivée des troupes américaines. Une mère et son fils décident de fuir vers la montagne à la recherche d'une vie plus sûre. Un jour, au milieu de la forêt, le fils découvre le corps gisant d'une femme abusée qu'il décide de ramener dans leur abri. Les années passent. Le fils devenu homme, la femme et son enfant vivent isolés, reculés du chaos ravageant le pays. Mais un orage soudain bouleverse leurs existences pendant que les troupes américaines approchent."Film inclassable et brillant, Independencia tient autant de la fantasmagorie que de l'acte politique."Positif - Nicolas Bauche
De la France au Canada en passant par les Pays-Bas, le Danemark, le Royaume-Uni et les États-Unis, le réalisateur a retrouvé les membres dispersés de la famille Samater. Somaliens et musulmans, ils ont fui dans les années 1990 leur pays déjà déchiré par la guerre. Après vingt ans d'efforts pour se construire une nouvelle vie et une situation sociale, ils répondent sans détours à la question que tout immigré est amené un jour à se poser dans son pays d’accueil : se sentent-ils devenus citoyens à part entière ou ont-ils le sentiment de rester des étrangers ?
Pendant près d’un an, les réalisateurs ont suivi le quotidien quelque peu azimuté de quatre physiciens de Paris VII-CNRS.
Dans leur laboratoire aux allures d’atelier d’artistes ou sur le terrain (en pleine forêt ou au milieu du désert), Stéphane, Étienne, Simon et Sylvain tentent de décrypter des phénomènes tels que “le chant des dunes” ou la forme des feuilles. Par des procédés imaginatifs (dessins d’animation, travail sur la musique et les voix off), les réalisateurs restituent avec humour et finesse l’intimité, les états d’âme, les doutes et les rêves de ces quatre passionnés. Ils nous font redécouvrir la recherche fondamentale, souvent incomprise du grand public en raison du peu d’applications à court terme.
Pourtant, cette science qui ne se préoccupe que de l’avancée des connaissances humaines est à l’origine de toutes les grandes découvertes. Grâce à "Cherche toujours !", le travail des chercheurs apparaît enfin pour ce qu’il est : une aventure concrète, excitante et parfois pleine d’émotions. Comme lorsque les physiciens parviennent à écouter le chant des dunes : “On avait les larmes aux yeux. Quand tu sens que ça part, c’est vraiment comme avec un groupe de rock !”