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Dans 20 ans, avec 8 milliards d’habitants et la croissance économique de nouvelles puissances, la compétition pour l’accès aux ressources va s’intensifier et pourrait provoquer de nouveaux types de conflits. Le Dessous des Cartes cherche à comprendre où, et comment, pourraient éclater ces nouveaux conflits.
Aujourd’hui, les principaux conflits sont concentrés au cœur d’un arc de crise, qui s’étend du Sahel à la frontière afghano-pakistanaise. D’ici 2030, l’imbrication potentielle de ces différents conflits pourrait avoir des répercussions sur le reste du monde, et l’arc de crise pourrait s’étendre. Le Dessous des Cartes analyse ces possibles extensions géographiques en 2030.
Un an après la "révolution de jasmin" et le départ de Ben Ali, où va la Tunisie ? Comment se fait l'apprentissage de la démocratie ? Qui sont les islamistes qui viennent de remporter les élections ? Immersion au coeur d'une société en pleine ébullition. La Tunisie est aujourd'hui devenue le baromètre de tout le monde arabo-musulman. Un an après la chute du régime de Ben Ali, ce film plonge au coeur de cette démocratie naissante : il capte les enthousiasmes, les espoirs, la formidable énergie d'un pays qui découvre la liberté, mais pointe aussi les menaces, les peurs et les combats à venir. Il raconte de l'intérieur, à travers des histoires particulières, les paradoxes de la Tunisie nouvelle. Des témoignages complétés par des interviews exceptionnelles, en particulier un entretien exclusif avec Moncef Marzouki, le nouveau président tunisien.
Carnet de route
Conçu comme un carnet de route, le documentaire nous emmène des sables du désert jusqu'à Tunis en passant par les zones minières du centre du pays, la ville de Sidi Bouzid (où le jeune protestataire Mohamed Bouazizi s'est immolé) ou encore Kasserine, Sousse et Monastir. Dans la ferveur de la campagne pour l'élection de l'Assemblée constituante, Fabrice Gardel et Franck Guérin croisent des personnages étonnants : un ancien policier de Ben Ali ému aux larmes de voter sans bourrer les urnes, de jeunes démocrates qui racontent l'immense "claque" qu'a représenté pour eux le résultat des élections, des défenseurs des droits de l'hommes pris à partis par des salafistes haineux, des sages-femmes parlant de sexualité avec liberté dans des dispensaire de campagne, des écolières qui racontent ce que la démocratie a changé pour elles, des avocats qui s'attaquent à la corruption endémique...
Partout où elle va, la cinéaste nomade pointe sa caméra sur ceux qu'elle rencontre, artistes célèbres ou artisans du quotidien, composant ainsi une oeuvre à son image.
Sont-ce des ballons que j’ai envoyés comme des cartes postales de voyage ou est-ce moi qui voyage de bulle en bulle, de ci de là ?
En avion jusqu’à Berlin, où l’on marche parmi les ours et où Joseph Beuys a sculpté de la matière grasse ; en voiture à Francfort, pour voir pleurer des femmes; à la nage pour converser avec Pierrick Sorin dans son aquarium; en autobus pour une « perm’ à Nantes » vers Jacques Demy; en taxi au Mexique pour trinquer avec des squelettes; en métro à Paris pour rendre visite au chat Guillaume-en-Egypte qui garde l’atelier de Chris Marker; en bateau à Sète pour écouter Pierre Soulages; en parapluie au Portugal pour poser avec Manoël de Oliveira et sa femme. A nous trois, on totalisait 276 ans...
Aujourd’hui avec la démocratisation et la mondialisation de l’enseignement supérieur, les étudiants sont de plus en plus nombreux et de plus en plus mobiles. Le Dessous des Cartes analyse les nouveaux rapports de force dans le domaine du savoir, et notamment les stratégies des grands acteurs de ce secteur : les étudiants, les établissements d’enseignement supérieur, les États et les entreprises.
Petits creuseurs des mines d’or burkinabaises ou des mines de mica indiennes, mendiants touaregs dans les rues de Ouagadougou, gamins des décharges en République dominicaine, petites Mexicaines ouvrières agricoles dans les champs de tabac ou de piment aux États-Unis… : à travers ce documentaire éloquent, Hubert Dubois, déjà auteur de L’enfance enchaînée en 1992, reprend son enquête pour mesurer les progrès réalisés, mais aussi alerter sur leur fragilité, en particulier en temps de crise.
La cause des enfants
L’Indien Kailash Satyarthi, fondateur en 1980 d’une ONG qui libère les enfants réduits en esclavage pour les envoyer à l’école, est le fil conducteur de l’enquête, menée dans quatre pays et trois continents. Cet infatigable activiste parvient à mettre face à leurs responsabilités les grandes industries du tapis, de la chaussure de sport, du tabac, du cacao ou de la confection, les obligeant à faire le ménage dans leurs chaînes d’approvisionnement. Comme lui, à travers le monde, des hommes et des femmes fortement engagés pour la cause des enfants poursuivent le combat, parfois au péril de leur vie. Résultat : depuis une quinzaine d’années, le nombre de petits travailleurs a significativement baissé. 215 millions d’enfants restent néanmoins touchés par ce fléau, preuve que la mobilisation ne doit en aucun cas se relâcher.
Après douze ans d'absence, le jeune cinéaste revient auprès de ses parents dans un petit hameau de Haute-Savoie. Quand leur pavillon avait été vendu aux enchères suite à la faillite de son père, il les avait littéralement fuis. Eux sont restés là à vivoter dans des logements de fortune, sans eau courante, avec pour seul bien sauvé de la déroute, un jardin qu’ils cultivent amoureusement. Comment revenir, renouer les liens après tant d'années de relation en pointillé ? L'ART DE LA DISTANCE Délicate partition à quatre temps qui, de l’automne à l’hiver, conte la reconquête d’un amour perdu, Hors saison tire toute sa force et sa qualité d’un dispositif qui travaille avec soin la distance : partant des cadres essentiellement fixes, observant d'abord le trio qu'il forme avec ses parents par les yeux d'un cadreur extérieur, le cinéaste s’empare de la caméra pour renouer directement avec ses parents, s’approcher de plus en plus près. Jusqu’à cet instant fragile où sa main effleure celle de son père. Jusqu’à ce que la caméra caresse le visage de sa mère… Une rare émotion cinématographique qui se conclut par un bain de lumière aveuglant qui absorbe l’image fragile d’un père.