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Une génération sépare Vincent et Daniel. Pourtant, ces deux ingénieurs ont subi le même traumatisme : une mise au placard brutale et inexpliquée. Oublié lors du déménagement de son service pour l'un, relégué dans un bureau lugubre pour l'autre, ils ont été victimes, comme nombre de leurs collègues, du durcissement des méthodes manageuriales. Symptomatique de cette tendance, le plan d'économie Next a consisté, entre 2004 et 2007, à obliger le personnel visé à quitter l'entreprise. Mutations arbitraires, congés maladie forcés et stratégies de déstabilisation ont alors été utilisés sans aucune considération pour l'humain…
Femmes qui s'effeuillent, défilés de mode qui font la part belle aux transparences, séries TV à la féminité affichée, vidéoclips, pub… : assisterait-on au retour du sein dans l'art et la culture ? Symbole de pureté ou d'émancipation, source nourricière ou objet érotique, la représentation que l'on s'en fait a souvent été associée à la place des femmes dans la société. Après des années 1990 assurément androgynes, les seins repointent le bout du téton, entre retour au naturel (écologie et allaitement) et désir de perfection esthétique.Avec son regard plongeant, la réalisatrice Laure Michel ("Nulle part ailleurs", "Déshabillez-nous") propose un voyage culturel, sensuel et poétique dans le sein des seins, en compagnie d'artistes (peintre, photographe, dessinatrice), de spécialistes chevronnés (strip-teaseuse, critique de bande dessinée) et autres fous de nichons.
De la chanteuse Olivia Ruiz ("Au bout de mes tout petits seins") aux animateurs potaches de la cérémonie des Gérard, de Kitten Natividad, l'ex-égérie du cinéaste Russ Meyer, à la députée conservatrice allemande Vera Lengsfeld ("Les dames en décolleté, ce n'est pas une invention de gauche !"), de la lingerie coquine de Chantal Thomass aux seins pointus de Madonna confectionnés par Jean Paul Gaultier, elle s'interroge avec humour et légèreté sur l'une des obsessions les mieux partagées du monde, de celles qui alimentent les fantasmes et nourrissent la création.
Darius Milhaud (1892-1974) est l'auteur d'une œuvre musicale puissante, inspirée par son attachement aux traditions populaires, aux grands mythes grecs, à une spiritualité juive et œcuménique autant que par son ardent combat pour la liberté.
Théoricien de l'écriture "polytonale" et membre du célèbre "groupe des Six" (qui rejetait la musique impressionniste et le wagnérisme), il est l'un des fondateurs de la musique contemporaine.
De la Provence de sa jeunesse à la Californie où il trouva refuge pendant la Seconde Guerre mondiale, le film retourne sur les lieux où il vécut et travailla, et nous convie à une véritable traversée du siècle.À partir des témoignages de Madeleine, son épouse et collaboratrice, mais aussi de son fils Daniel, de ses élèves et de musicologues, Cécile Clairval-Milhaud est partie sur les traces de cette personnalité hors du commun : à Rio de Janeiro, où il fut attaché culturel à l'ambassade de France, à New York et au Mills College où il fut longtemps professeur, sans oublier Israël et Jérusalem, où il se rendit avec son librettiste Armand Lunel pour composer son grand opéra David. Riche en archives rares, ce portrait est ponctué d'interprétations vocales et instrumentales spécialement enregistrées pour le film.
Paris. Une bourgeoise octogénaire est assassinée chez elle, après avoir reçu des photos anthropométriques datant des années 1940. La signature de l'assassin laisse penser que ce meurtre a trait au passé de résistante communiste de la victime. Le commandant Masselot, aux prises avec l'IGS pour avoir couvert un collègue, est chargé de l'enquête. Rapidement, il est sommé par sa hiérarchie de clore l'affaire, alors que des liens apparaîssent entre cet assassinat et une affaire très médiatisée de rétro commissions sur des ventes d'armes dans laquelle est mêlé un ancien ministre.
Vingt ans après la fin de l’URSS, Adieu Camarades ! raconte l'un des évènement majeur du 20e siècle: l'apogée et la chute du communisme.Extraits de films soviétiques, chansons dissidentes ou archives privées ressuscitent un monde perdu et explorent la face cachée du bloc de l’Est.
Le 28 novembre 1989, à Prague, alors que des milliers de manifestants occupent les rues, une banderole est hissée sur l'immeuble de l'ancienne télévision d'État : « Pologne 10 ans ; Hongrie 10 mois ; Allemagne de l'Est 10 semaines ; Tchécoslovaquie 10 jours ». Bientôt, à Bucarest, on ajoutera : « Roumanie 10 heures ». Ce timing, c'est celui de la chute du Rideau de fer. C'est celui de la fin du communisme. C'est le timing de la plus formidable accélération de l'histoire qui n'ait jamais eu lieu.
Dans 20 ans, avec 8 milliards d’habitants et la croissance économique de nouvelles puissances, la compétition pour l’accès aux ressources va s’intensifier et pourrait provoquer de nouveaux types de conflits. Le Dessous des Cartes cherche à comprendre où, et comment, pourraient éclater ces nouveaux conflits.
Aujourd’hui, les principaux conflits sont concentrés au cœur d’un arc de crise, qui s’étend du Sahel à la frontière afghano-pakistanaise. D’ici 2030, l’imbrication potentielle de ces différents conflits pourrait avoir des répercussions sur le reste du monde, et l’arc de crise pourrait s’étendre. Le Dessous des Cartes analyse ces possibles extensions géographiques en 2030.