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Aujourd’hui, un enfant meurt toutes les 16 secondes dans le monde d’une maladie évitable par vaccination. Comment expliquer que ces pathologies qu'on pourrait éradiquer comptent encore parmi les premières causes de mortalité ? Le Dessous des cartes analyse les limites de la couverture vaccinale de base.
Par ses multiples interprétations par le cinéma contemporain, l’univers d’Edward Hopper est familier au public. Sa figuration inclassable tisse un dialogue entre les apparences et la lumière, les évidences et les énigmes. En s’attachant à la vie personnelle de l’artiste dans le contexte de l’Amérique du XXe siècle, « La Toile blanche d’Edward Hopper » témoigne de l’indépendance farouche d’un peintre, conscient des enjeux de l’art de son temps, hostile à l’enfermement auquel pouvait le conduire un art moderne américain opposant réalisme et abstraction. Le film donne chair à l’artiste, transpose sa poésie réaliste et métaphysique.
Le dessous des cartes s'aventure en forêt et consacre deux émissions à son observation. Dans ce premier numéro, Jean-Christophe Victor évoque l’histoire de la forêt française et nous fait découvrir le patient travail d’inventaire. Suite au succès de l'Atlas junior du Dessous des cartes et du livre de Jean-Christophe Victor Itinéraires géopolitiques en grand format, ces deux ouvrages, coédités par ARTE Éditions et Tallandier, viennent de paraître dans une version compacte et actualisée, à prix réduit. La maquette de l'Atlas junior a été revisitée afin d'être plus accessible au public "jeune ado" auquel le livre est destiné.
Au cœur de l'Amazonie, le géographe François-Michel Le Tourneau, membre du CNRS, part explorer une région hostile, aux confins du Brésil, du Surinam et de la Guyane française, tombée dans l’oubli depuis plus de quarante ans. Ici, près des sources du fleuve Jari, les moyens modernes destinés à recueillir des informations géographiques peinent à percer la couverture nuageuse permanente des monts Tumucumaque. Même les optiques haute définition des satellites ne fournissent que des images déformées par le relief tourmenté.
Mythique Eldorado
Située à la croisée d'anciennes routes de commerce des ethnies amérindiennes, cette région a pourtant fait l’objet de nombre de convoitises pendant trois cents ans. Aux XVIIIe et XIXe siècles, certains y ont cherché le mythique Eldorado décrit par les conquistadors. C'est sur les traces de ces grands explorateurs du passé qu'en août 2011, l’expédition Mapaoni entreprend de marcher, en suivant également le chemin emprunté en 1937, sous le régime nazi, par une expédition naturaliste allemande. Une remontée sur plus de 750 kilomètres du fleuve Jari, affluent méconnu de l'Amazone, jusqu'à la borne marquant la frontière entre les trois pays. L'objectif ? Cartographier la région. Avec vingt hommes et trois pirogues, la mission va tenir un mois en autonomie complète dans cette forêt tropicale réputée inaccessible.
Près de la moitié des 80 millions d’Éthiopiens sont chrétiens. Ils considèrent que l’Église orthodoxe éthiopienne est la plus proche du christianisme des origines.
Dans la province du Tigré, dans le nord du pays, il existe un territoire reculé et dédié à la vie monastique, le Woldeba. Là-bas vivent environ un millier de moines et d’ermites qui mènent, à l’abri des regards et loin du monde profane, une vie d’abstinence, de jeûne et de prière. Pour ces religieux, mourir au Woldeba, c’est accéder directement au paradis.Alors qu'il n’existait aucun document filmé de cette région, François Le Cadre, chercheur au Centre des mondes africains, a pu s'y rendre pour observer les pratiques religieuses des moines et glaner des informations sur un homme très connu en Éthiopie, saint Samuel. Il a fondé au XIVe siècle le plus important monastère de cette "terre des moines". Son enseignement s’est inspiré de celui de saint Antoine, un des pères du désert.
Tom et Gerry forment un couple heureux mais tous n'ont pas cette chance. Autour d'eux, s'accumulent les échecs sentimentaux, les malentendus et les dérivatifs pour tenir le coup. Les saisons passent, les sentiments demeurent, parfois incontrôlés... L'un des sommets du festival de Cannes 2010. Un film drôle et sensible, dur et noir, délicatement baigné des couleurs et lumières saisonnières.
Une génération sépare Vincent et Daniel. Pourtant, ces deux ingénieurs ont subi le même traumatisme : une mise au placard brutale et inexpliquée. Oublié lors du déménagement de son service pour l'un, relégué dans un bureau lugubre pour l'autre, ils ont été victimes, comme nombre de leurs collègues, du durcissement des méthodes manageuriales. Symptomatique de cette tendance, le plan d'économie Next a consisté, entre 2004 et 2007, à obliger le personnel visé à quitter l'entreprise. Mutations arbitraires, congés maladie forcés et stratégies de déstabilisation ont alors été utilisés sans aucune considération pour l'humain…
Femmes qui s'effeuillent, défilés de mode qui font la part belle aux transparences, séries TV à la féminité affichée, vidéoclips, pub… : assisterait-on au retour du sein dans l'art et la culture ? Symbole de pureté ou d'émancipation, source nourricière ou objet érotique, la représentation que l'on s'en fait a souvent été associée à la place des femmes dans la société. Après des années 1990 assurément androgynes, les seins repointent le bout du téton, entre retour au naturel (écologie et allaitement) et désir de perfection esthétique.Avec son regard plongeant, la réalisatrice Laure Michel ("Nulle part ailleurs", "Déshabillez-nous") propose un voyage culturel, sensuel et poétique dans le sein des seins, en compagnie d'artistes (peintre, photographe, dessinatrice), de spécialistes chevronnés (strip-teaseuse, critique de bande dessinée) et autres fous de nichons.
De la chanteuse Olivia Ruiz ("Au bout de mes tout petits seins") aux animateurs potaches de la cérémonie des Gérard, de Kitten Natividad, l'ex-égérie du cinéaste Russ Meyer, à la députée conservatrice allemande Vera Lengsfeld ("Les dames en décolleté, ce n'est pas une invention de gauche !"), de la lingerie coquine de Chantal Thomass aux seins pointus de Madonna confectionnés par Jean Paul Gaultier, elle s'interroge avec humour et légèreté sur l'une des obsessions les mieux partagées du monde, de celles qui alimentent les fantasmes et nourrissent la création.