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Un groupe d’enfants napolitains sillonne la ville à la recherche de sapins de Noël, amassant leur mystérieuse collecte dans une cour désaffectée des Quartieri Spagnoli.
Disponible en version originale sous-titré en anglais.
Miguel Hilari revient filmer le village andin de son père, Santiago de Okola en Bolivie, au bord du lac Titicaca, où seul l’un de ses oncles demeure encore.
Entre rumeur, western et légende, portrait d’un chasseur de la campagne romaine qui croit dur comme fer qu’une panthère noire se cache au fond du bois.
La croissance - Après un mouvement de libéralisation de l’économie entamé dans les années 1980, le Viêt-nam a été présenté comme l’une des nouvelles success stories asiatiques. Aujourd’hui, des indicateurs soulignent la fragilité de cette réussite. Est-ce la fin du miracle économique ?
L'histoire - Le Viêt-nam a rencontré de nombreux obstacles sur le chemin de l'indépendance, gagnée en 1954. C’est seulement en 1975 qu'est réellement né le pays tel qu’on le connaît aujourd’hui, après vingt ans de division entre le Nord et le Sud. Le Dessous des cartes retrace le parcours chaotique de la nation vietnamienne.
Belleville, 1975. Madame Rosa, ancienne "respectueuse" (prostituée) et rescapée d'Auschwitz, a ouvert à Paris "une pension sans famille pour les gosses qui sont nés de travers", autrement dit une maison clandestine où les filles de la rue abandonnent plus ou moins leurs rejetons. Débrouillard et sensible, Momo, l'un de ses pensionnaires, l'aide dans ses tâches quotidiennes. Dans ce film, il raconte son amour pour cette maman, la seule qu'il lui reste.Après avoir triomphé pendant trois ans au théâtre dans le rôle de Mme Rosa (qui lui a valu le Molière de la meilleure comédienne en 2008), Myriam Boyer a réalisé elle-même cette adaptation de La vie devant soi. Du roman de Romain Gary (publié sous le nom d'Émile Ajar), Prix Goncourt 1975, elle a tiré un très joli conte. "Je voulais moins raconter Mme Rosa, que remettre au coeur du film l'esprit du roman et cette histoire de Belleville, imprégnée de tolérance. C'est un milieu que j'aime et que je crois savoir raconter, puisque j'en viens. S'il est souvent un peu vu d'en haut, je veux, quant à moi, le prendre de l'intérieur et des tripes. J'ai habité Belleville dans ces années-là et c'était vraiment comme ça, un mélange harmonieux. Personne, alors, ne songeait à parler d'intégration. Mais le plus terrible, c'est que trente ans après, les mêmes questions demeurent. Pour moi, La vie devant soi est une fable extraordinaire sur l'humanité, la vieillesse, la maladie et la mort. Romain Gary n'essaie pas de donner de réponses, mais il a l'âge de s'interroger, comme Mme Rosa".