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De plus, il y a 5 animaux magnétiques qui s'ouvrent en laissant apparaître un bébé de la forme géométrique du parent.
Enfin, l'enfant va pouvoir jouer dans le bain : le pingouin peut monter sur chacun des 3 animaux bouées et cracher de l'eau par pression. La tortue chante lorsqu'elle est dans l'eau, et peut s'accrocher comme un train aux 2 autres animaux !
En 1956, Romain Gary remporte le Prix Goncourt pour son livre Les racines du ciel. Dix-huit ans plus tard, désireux de redevenir un inconnu que l'on juge avec un regard neuf, il invente l'écrivain Émile Ajar, à qui son petit cousin, Paul Pavlowitch, prête son visage. Gary fabrique de toutes pièces la vie et l'œuvre de cet auteur inexistant… dont le succès est fulgurant.
La vie devant soi obtient le Prix Goncourt 1975 et Ajar devient le chouchou des critiques. Gary est pris à son propre piège. Mais pourquoi s’obstine-t-il au secret ? La réponse à cette question se trouve dans le passé, dans l’enfance de Gary. La clé d’Ajar est à Vilnius, où il est né. Mais pour la trouver, il faut écarter les voiles, les fausses pistes que Gary a disposés lui-même. Véritable œuvre d'art par sa durée (quatre romans publiés en sept ans) et son ampleur (La vie devant soi s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires), l'affaire Ajar constitue une mystification sans précédent dans le milieu littéraire français. Au moyen de films et d'images d'archives – notamment celles de Romain Gary sur les plateaux télés des années 1970 et dans l'intimité de son bureau –, Philippe Kohly évoque les démons de l'écrivain, son enfance compliquée entre une mère trop exigeante et un père absent et en dresse un portrait passionnant. Les témoignages des personnages impliqués dans l'affaire Ajar (dont Paul Pavlowitch) permettent de retracer l'histoire d'un homme qui aura vécu caché derrière de multiples identités.
Christine et Mike mènent une petite vie tranquille dans la banlieue de Londres avec leur fils Sebastian. C'est le début de la soirée. Le couple prépare le dîner, répond au téléphone, ouvre une bouteille de vin. C'est alors qu'on frappe à la porte... Commence alors pour eux un long calvaire.
Quoi qu’il fasse, Joann Sfar arrête rarement de dessiner. Véritable star de la « nouvelle bande-dessinée », il a publié plus de 150 albums à ce jour, dont la célèbre série Le Chat du Rabbin, adaptée à l’écran. Parmi ses multiples créations, on trouve un rabbin débonnaire, une sémillante chanteuse yiddish, un vampire fan de musique klezmer, et Imhotep, le chat du rabbin, doué de parole, inquisiteur et sensuel, alter ego de l’artiste, qui pose son regard sceptique et pénétrant sur le monde qui l’entoure.
Des personnages haut en couleur, bien souvent inspirés de ses aïeux, des Juifs originaires d’Afrique du Nord et d’Europe de l’Est.
C'est une occasion unique : Mathieu Amalric a accompagné Joann Sfar dans quelques-uns des lieux où il croque ses personnages - devant la cage de l'orang-outan Nénette au Jardin des Plantes, au marché aux poissons de Rungis, dans une salle de dissection de la faculté de médecine, au restaurant, dans un bar de nuit... Sans jamais cesser de dessiner, Sfar parle de sa pratique, de la nécessité du dessin d'après nature, de sa frustration de ne jamais parvenir à saisir ce qu'il voit réellement et de la manière dont cette frustration nourrit son imaginaire.
Des séquences entrecoupées par la lecture de morceaux (très bien) choisis des Carnets, sorte de journal intime du dessinateur, publié par L'Association.