Aller au contenu principal

83 résultat(s) trouvé(s)

Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !

Nouveauté
Film VODNon disponible
En 2008, des avocats de la ville de Cleveland, assignent en justice 21 banques qu’ils jugent responsables des saisies immobilières qui dévastent leur ville. Celles-ci empêchent par tous les moyens l’ouverture d’une procédure. Alors, le cinéma prend le relais... Voici le procès "reconstitué", avec les véritables protagonistes, dans leur propre rôle, témoignant de leur histoire.
Veuillez vous connecter
Nouveauté
Film VODNon disponible
Venant d'Amsterdam, la belle et mystérieuse Alexa arrive aux USA sac à dos et caméra à la main, avec l'intention de réaliser un film sur la vie gay dans une petite ville. Lors de sa première nuit en boite, elle rencontre Jennifer, une artiste lesbienne pleine d'assurance. Cette rencontre va bouleverser les certitudes d'Alexa, qui n'était jusqu'à présent jamais tombée amoureuse, et encore moins d'une femme...
Veuillez vous connecter
Nouveauté
Film VODNon disponible

Belleville, 1975. Madame Rosa, ancienne "respectueuse" (prostituée) et rescapée d'Auschwitz, a ouvert à Paris "une pension sans famille pour les gosses qui sont nés de travers", autrement dit une maison clandestine où les filles de la rue abandonnent plus ou moins leurs rejetons. Débrouillard et sensible, Momo, l'un de ses pensionnaires, l'aide dans ses tâches quotidiennes. Dans ce film, il raconte son amour pour cette maman, la seule qu'il lui reste.Après avoir triomphé pendant trois ans au théâtre dans le rôle de Mme Rosa (qui lui a valu le Molière de la meilleure comédienne en 2008), Myriam Boyer a réalisé elle-même cette adaptation de La vie devant soi. Du roman de Romain Gary (publié sous le nom d'Émile Ajar), Prix Goncourt 1975, elle a tiré un très joli conte. "Je voulais moins raconter Mme Rosa, que remettre au coeur du film l'esprit du roman et cette histoire de Belleville, imprégnée de tolérance. C'est un milieu que j'aime et que je crois savoir raconter, puisque j'en viens. S'il est souvent un peu vu d'en haut, je veux, quant à moi, le prendre de l'intérieur et des tripes. J'ai habité Belleville dans ces années-là et c'était vraiment comme ça, un mélange harmonieux. Personne, alors, ne songeait à parler d'intégration. Mais le plus terrible, c'est que trente ans après, les mêmes questions demeurent. Pour moi, La vie devant soi est une fable extraordinaire sur l'humanité, la vieillesse, la maladie et la mort. Romain Gary n'essaie pas de donner de réponses, mais il a l'âge de s'interroger, comme Mme Rosa".

Veuillez vous connecter