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Pour comprendre pourquoi la chaussure exerce un tel pouvoir sur les femmes, "God Save my Shoes" s'est plongé au coeur même de la psyché et du placard des femmes, examinant la portée culturelle de la chaussure et interrogeant tous ceux qui jouent un rôle majeur dans ce phénomène : collectionneuses, simples amateurs, historiennes, psychologues, stars, rédactrices de mode et jusqu'aux fétichistes…

 

Avec la participation : 

- de créateurs :Christian Louboutin, Maolo Blahnik, Pierre Hardy, Robert Clergerie, Bruno Frisoni...

- d'artistes : Kelly Rowland (chanteuse), Fergie (chanteuse des Black eyed Peas) Dita von Teese (égérie du new burlesque et modèle)...

- de professionnels de la mode : Caroline de Fayet (Elle), Filipa Fino (Vogue), Laurent Giraud (Playboy, FHM)

- d'amoureux de la chaussure célèbres ou anonymes...

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Intelligence, émotion, profondeur : à l’image de l’œuvre sur laquelle ils font retour séparément, Asghar Farhadi et ses acteurs semblent toujours unis par un élan collectif d’une exceptionnelle qualité face à la caméra d’Auberi Edler. Et deux ans après le tournage, leur engagement envers ce film phénomène, qui a raflé la plupart des plus grandes récompenses du cinéma mondial et remporté en Iran un immense succès populaire, reste palpable. Fracture sociale, répression du soulèvement populaire de 2009, libertés conquises de haute lutte par les femmes … : Asghar Farhadi n’élude pas les questions politiques, insistant sur l’importance, pour lui, de continuer à tourner dans son pays, même si cela implique de se plier aux contraintes liées à la censure. En écho, l’un des acteurs souligne combien Une séparation colle étroitement à la réalité iranienne, suggérant que c’est peut-être cet ancrage "local" qui en fait une œuvre universelle. Le documentaire livre également de précieuses indications sur la méthode de travail du cinéaste, notamment sur sa direction d’acteurs. Outre des images tournées dans les rues de Téhéran, des archives du "printemps iranien" et de sa répression, et de nombreux extraits du film ou de son making of, un entretien avec une spécialiste du cinéma iranien, Agnès Devictor, étaie cette passionnante analyse à plusieurs voix.

 

Mais si justes que soient les mots de chacun des protagonistes, c’est une séquence filmée sur le plateau d’Une séparation, à la fin du tournage, qui transmet avec le plus d’éloquence la vérité du film : la jeune Termeh, seule devant le juge, doit décider avec lequel de ses parents divorcés elle souhaite désormais vivre. Sarina, la fille du cinéaste, alors âgée de 13 ans, qui interprète l’adolescente, demande à jouer la scène sans répétition. Les larmes roulent sur ses joues tandis qu’elle affronte ce choix si douloureux - qui ne sera pas révélé au spectateur. Et face à cette toute jeune fille qui confie s’être alors "sentie actrice pour la première fois", deux hommes se mettent aussi à pleurer : le chef opérateur aux cheveux blancs, qui se précipite hors de la pièce dès que le "Coupez !" du cinéaste retentit ; et Asghar Farhadi lui-même, qui enfouit sa tête dans ses mains pour cacher son émotion. Une séquence que la réalisatrice s’abstient finement de commenter, et qui restitue de façon saisissante la densité humaine de ce grand film.

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Capitale du Reich et symbole de la division de l’Allemagne pendant la guerre froide, Berlin porte les traces de ce passé douloureux. Quelle attitude adopter face à ce patrimoine embarrassant ? Ce premier volet se penche sur le lien entre mémoire et urbanisme à travers l’exemple de cette ville.

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Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, Jimmy Picard, un Indien Blackfoot ayant combattu en France, est admis à l’hôpital militaire de Topeka, au Kansas, un établissement spécialisé dans les maladies du cerveau. Jimmy Picard souffre de nombreux troubles : vertiges, cécité temporaire, perte d’audition... En l’absence de causes physiologiques, le diagnostic qui s’impose est la schizophrénie. La direction de l’hôpital décide toutefois de prendre l’avis d’un ethnologue et psychanalyste français, spécialiste des cultures amérindiennes, Georges Devereux.

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Après la chute du Mur, Berlin a dû relever de nombreux défis : devenir la capitale unifiée de l'Allemagne, en accueillir les institutions et poursuivre son développement économique pour rattraper les villes de l’ouest du pays. Dans ce second volet, Le dessous des cartes retrace le chemin parcouru par Berlin depuis la réunification.

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Un couple, Eric reporter confirmé et Leila sa compagne, redécouvrent les sensations vitales du désir amoureux et de l’engagement social. Lorsqu’Éric apprend que rien ne va plus, que ses cellules s’emballent telles des herbes folles, l'impatient devient patient. Pendant cette période de vacuité, le héros converse avec l’Ankou en passant le balai dans la cuisine de sa maison bretonne, essaie de faire l’amour clandestinement dans sa chambre d’hôpital, gamberge sur ce crabe qui lui déglingue sexualité et mémoire. Se remémore des scènes vécues par le reporter qu’il fut.

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En attente d'un important procès pour lequel il doit témoigner, Jean est placé sous la protection d'Arthur, flic légèrement intrusif voire complètement relou. Voyant du danger partout, Arthur décide d'emmener Jean à l'abri chez sa sœur, l'inquiétante Margaret...
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Deux frères face à la mort de leur père. L'un a été aimé et l'autre injustement délaissé par le père qui ne lui laisse rien. Le favori, celui qui en a le moins besoin et qui est le plus désintéressé par l'argent, hérite de tout... Grand prix du Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand 2012, la première réalisation de l'acteur Vincent Macaigne ("Un monde sans femmes").
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À la suite d'un putsch militaire en Indonésie, plus d’un million de personnes – accusées, entre autres, d’être des sympathisants du parti communiste récemment interdit – furent torturées et massacrées par des troupes paramilitaires, avec la bénédiction de Suharto, le futur chef d'État. Ce génocide perpétré en Indonésie entre 1965 et 1966 est l’un des plus méconnus du siècle. Les coupables n’ont jamais été inquiétés, et pour cause : certains d’entre eux tiennent toujours les rênes du pouvoir. Les cinéastes Joshua Oppenheimer et Christine Cynn ont souhaité rencontrer ces criminels qui semblent sans remords. Devant la caméra, les tortionnaires Anwar Congo et Herman Koto retournent sur les lieux du crime et y évoquent leurs souvenirs, avec un détachement glaçant. Le documentaire prend alors un tour inattendu : les bourreaux, anciens mafieux dans le milieu du cinéma, décident de se mettre en scène dans un film dont ils seront les acteurs. Dans des séquences surréalistes inspirées de films de gangsters américains ou du cinéma fantastique indonésien, ils rejouent les tueries avec délectation et fierté, en se grimant et en convoquant des figurants en nombre pour incarner les victimes de leurs tortures, viols et assassinats.

 

Histoire monstrueuse

Le titre original de ce documentaire, "The act of killing", joue sur la confusion qui s’installe entre l’acte criminel et la performance d’acteur. C’est un document de cinéma profondément dérangeant, sans aucun commentaire, où les protagonistes d’une histoire monstrueuse se transforment en mauvais comédiens de série B. Indonésie 1965 – Permis de tuer a bouleversé les spectateurs du Festival du cinéma de Toronto lors de sa présentation en 2012. C’est le premier volet d’un diptyque dont la seconde partie donnera la parole aux survivants, contraints de vivre aux côtés de leurs bourreaux, près de cinquante ans après les faits.

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Au Mexique, un cinéaste américain (incarné par Alex Ross Perry, le réalisateur-acteur de "The Color Wheel"), parti en repérages, se perd entre alcool, drogues et dangers... S'inspirant de Dennis Hopper qui, après le succès d' "Easy Rider", connut un tournage apocalyptique sur son deuxième film ("The Last Movie"), un incroyable essai où se mélangent les temps, les réalités et les rêves. En sélection au Festival Cinéma du Réel 2014, une ludique et fascinante réflexion pirandellienne sur le cinéma, tournée sur plusieurs supports argentiques et numériques, 16mm, Super 8, HD, DSLR, Handicam, iPhone, GoPro : une expérience de fiction "documentée", où se brouillent aussi les frontières et les sensations du spectateur en un stimulant voyage.
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