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Alain et Marie emménagent dans un pavillon. Une trappe située dans la cave va bouleverser leur existence.
À la PJ chaque enquêteur tombe un jour ou l’autre sur un crime qu’il n’arrive pas à résoudre et qui le hante. Pour Yohan c’est le meurtre de Clara. Les interrogatoires se succèdent, les suspects ne manquent pas, et les doutes de Yohan ne cessent de grandir. Une seule chose est certaine, le crime a eu lieu la nuit du 12.
Nathalie Adler est en mission pour l’Union Européenne en Sicile. Elle est notamment chargée d’organiser la prochaine visite de Macron et Merkel dans un camp de migrants. Présence à haute valeur symbolique, afin de montrer que tout est sous contrôle. Mais qui a encore envie de croire en cette famille européenne au bord de la crise de nerfs ? Sans doute pas Albert, le fils de Nathalie, militant engagé auprès d’une ONG, qui débarque sans prévenir alors qu'il a coupé les ponts avec elle depuis des années. Leurs retrouvailles vont être plus détonantes que ce voyage diplomatique…
Le 29 mai 2013, le premier mariage homosexuel était célébré en France grâce à la loi Taubira, après des mois de remous dans la société française. Si les mariages entre personnes du même sexe sont autorisés depuis bien longtemps dans plusieurs États, ils restent proscrits encore aujourd’hui dans d’autres. Les droits des personnes transgenres varient également d’un pays à l’autre.
Le Dessous des cartes vous embarque pour un tour du monde des avancées et des discriminations que vivent les LGBT+. Bien que des progrès aient eu lieu récemment dans des pays très religieux comme l’Argentine, l’Afrique du Sud et l’Irlande, d’autres refusent toute évolution du droit. La Russie a par exemple interdit dans sa constitution le mariage entre personnes du même sexe. La Chine elle, va jusqu’à supprimer des comptes LGBT+ sur les réseaux sociaux. Onze pays appliquent encore la peine de mort pour les homosexuels.
Petit bout de désert dépourvu d’eau douce, le Qatar est devenu en quelques années l’un des pays les plus riches de la planète. Une fortune due à ses ressources en gaz et en pétrole qui font de l’émirat le premier exportateur de gaz liquéfié au monde. Le Dessous des cartes prend la direction de cette monarchie du Golfe, devenue influente dans le monde entier grâce à un soft power qui se déploie tous azimuts.
Le Qatar investit dans les secteurs-clef de l'information et de l'éducation et accueille de grands évènements sportifs dont la Coupe du monde de football 2022. Critiquée pour son impact environnemental et social désastreux suite à la construction de stades climatisés et à la mort de 6 500 ouvriers, l'organisation de ce temps fort du sport mondial consacre pourtant la nouvelle centralité géopolitique du petit émirat.
À peine arrivée dans sa nouvelle école, Anya, 10 ans, se révolte contre les garçons qui règnent sur la cour, devenue leur terrain de foot. Par Hafsia Herzi, une fiction à hauteur d'enfant avec Clotilde Courau, Lucy Loste Berset, Jérémie Laheurte et Djanis Bouzyani.
Jusqu'où peut aller une dispute entre enfants ? De retour en France après avoir suivi ses parents aux quatre coins du monde, Anya, 10 ans, intègre pour la première fois de sa vie une école publique. Dès le jour de sa rentrée, en cours d’année scolaire, elle reçoit un ballon en pleine tête. Les garçons venus le récupérer refusent de s’excuser. La cour, c’est leur terrain de foot. Un point c’est tout. Anya refuse de se laisser faire. Avec ses nouvelles amies et un garçon fragile du coeur, elle élabore un plan de reconquête de la cour de récréation. La guerre des sexes va prendre une tournure dangereuse.
Des faubourgs de New York aux sommets hollywoodiens, le parcours de Denzel Washington est un modèle de réussite. L'acteur charismatique de Malcolm X a fait de son engagement un moteur, replaçant la figure de l’homme noir au cœur de la fiction américaine.
Denzel Washington sort à peine de l'enfance lorsque les deux grandes figures de la cause noire de l'époque, Malcolm X et Martin Luther King, sont assassinées. La société est alors tiraillée entre un racisme viscéral et l'activisme émergent des Afro-Américains pour l'égalité. Le jeune Denzel est envoyé dans une école privée, loin de New York et des dérives de la délinquance. Armé d'une confiance inébranlable en sa bonne étoile, il se construit dans le goût du travail, qui lui apparaît comme la seule voie pour échapper à sa condition. De fil en aiguille, le théâtre, à l’origine hobby d'étudiant, va s'imposer comme une activité sérieuse, et le conduire vers le petit écran…
Sans failles
Dès ses débuts, Denzel Washington s'affirme par des choix différents, mais la prise de conscience qu'il peut jouer un rôle pour défendre la cause afro-américaine lui vient plus tard, avec le personnage d'un militant antiapartheid dans Cry Freedom (1987) de Richard Attenborough. Son engagement ne cesse alors de se préciser, en même temps que s’amplifie son succès : avec Glory, dans lequel il ravive le souvenir des soldats noirs de la guerre de Sécession (Oscar du meilleur second rôle en 1989), et bien sûr Malcolm X, sous l'égide de son camarade Spike Lee. Aussi séduisant qu’intransigeant, l'acteur se fait ainsi le porte-voix d'une aspiration à l'unité, contribuant à changer les regards et veillant à ne jamais cautionner les clichés dominants, quitte à intervenir dans l'écriture des scripts. Riche en extraits de films analysés en profondeur, ce portrait montre également comment Denzel Washington, ayant longtemps incarné une droiture à toute épreuve, a progressivement complexifié son image en accédant à des rôles plus sombres, puis en passant lui-même derrière la caméra. Le parcours d'un artiste libre et accompli, tendant à l'Amérique un miroir aux multiples facettes.
La majorité des prêtres dans le monde ne respecterait plus aujourd’hui le célibat que l’Église leur impose. Ce documentaire explore les différentes facettes de cette réalité et confronte l'Église catholique à ses contradictions autour de cette sacro-sainte règle, synonyme de souffrances.
Pour pouvoir vivre librement son histoire d'amour avec sa compagne, Marc a quitté la prêtrise en 2021, comme avant lui Bernard, déjà père de deux enfants. Wolfgang, de son côté, vit avec Peter depuis plus de trente ans. Son évêque, au courant, a fermé les yeux pendant vingt-cinq ans, car il avait besoin de lui à la tête de sa paroisse. Pierre s'est longtemps refusé aux relations avec des femmes, mais le mal-être a eu raison de ses efforts. Il est aujourd'hui marié avec une paroissienne… Des histoires qui se répètent, tant un nombre considérable de prêtres se disent prêts à dénoncer le vide affectif et charnel qu'engendre l'obligation du célibat. Pourtant, l'Église catholique romaine, la seule à imposer cette règle aujourd'hui, reste impuissante à appréhender cette réalité. Le comble de l'hypocrisie est atteint quand, à la question des compagnes et compagnons des prêtres, s'ajoute celle de leurs enfants. Les réponses de l’institution, au cas par cas, sont au mieux inadaptées et souvent néfastes. Conséquences : les démissions et les initiatives dissidentes se multiplient, témoignant d'une rupture entre les clercs et une institution pourtant en perte de vocations…
Schizophrénie
Dans le sillage de la libération de la parole sur la pédocriminalité au sein de l'Église et des révélations concernant les abus sexuels sur les religieuses (Religieuses abusées : l'autre scandale de l'Église), ce documentaire met au jour un phénomène mondial, qui, s'il n'est pas directement synonyme de violence, n'en génère pas moins d'importantes souffrances. Les signaux d’alarme se multiplient. Deux ans après son élection, le pape François a déclaré que de nombreux clercs étaient victimes de la "maladie de ceux qui ont une double vie", qualifiée dans le même élan de "schizophrénie existentielle". Mais si le diagnostic est posé sur la maladie, le remède semble impossible à administrer. Pourquoi ? Théologiens, sociologues et psychologues religieux proposent leurs analyses, accompagnant les passionnants témoignages intimes, qui nourrissent ce film. Plus largement, l’enjeu concerne la réforme de l'Église, institution en crise que certains comparent à une monarchie absolue, entre déficit d'influence et crispation.
En s’emparant des captivantes archives cinématographiques des volcanologues Katia et Maurice Krafft, Werner Herzog célèbre avec poésie la vie, brutalement interrompue en 1991, de deux chercheurs et preneurs d’images à l’œuvre unique.
Tous deux originaires d’Alsace, Katia Conrad et Maurice Krafft, géologues et volcanologues passionnés, se rencontrent en 1966 pour ne plus jamais se quitter. Pendant vingt-cinq ans, le couple parcourt le monde pour étudier, mais aussi photographier et filmer, tous les volcans actifs de la planète, dans les conditions les plus extrêmes. Éruption de l’Eldfell en 1973, du mont Saint Helens en 1980, du Nevado del Ruiz en 1985… Jusqu’à leur mort tragique le 3 juin 1991, emportés avec quarante et une autres personnes, par une coulée pyroclastique sur le flanc du mont Unzen, au Japon, ils capteront – Maurice avec sa caméra, Katia avec son appareil photo – une vaste somme d’images d’une beauté stupéfiante.
Symphonies de couleurs
Par cette immersion dans les archives cinématographiques du couple, Werner Herzog complète son œuvre documentaire consacrée aux volcans, commencée en 1977 avec La soufrière et poursuivie en 2016 avec Au fin fond de la fournaise. Il met ici son sens de la narration et son goût pour le sublime au service d’une célébration de la vie de ces deux grands scientifiques qui ont tant de fois trompé la mort et défié les éléments. Ce qui intéresse le cinéaste, c’est aussi la manière dont les Krafft se mettent en scène, l’imagerie qu’ils déploient et la singularité de leur regard, depuis leurs premiers essais devant et derrière la caméra, jusqu’à de stupéfiantes séquences filmées par Maurice au plus près des éruptions : d’hypnotiques symphonies de couleurs tendant vers l’abstraction, des jaillissements de lave rouge en plan serré, des paysages désolés parcourus de fumerolles d’où surgit la petite silhouette blanche de Katia s’avançant au bord du gouffre. Enfin, il révèle le regard profondément humaniste de ces passeurs de science, qui, en se penchant sur le sort des victimes des éruptions, ont sensibilisé le monde entier à la prévention des risques volcaniques.
Invitées en maison de repos pour explorer leurs malaises sexuels, trois jeunes femmes occupent les jours et les nuits à apprivoiser les démons intimes. Sous la supervision tranquille d’une thérapeute allemande et d’un travailleur social bienveillant, le groupe tente de garder un équilibre fragile. Pour la jeune Geisha, la sombre Léonie et l’imprévisible Eugénie, il s’agit pour 26 jours d’éviter les cris, d’apprivoiser les chuchotements du temps présent et de considérer l’avenir.