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Michel et Franck, deux frères bricoleurs et combinards, arrivent en ville pour un nouveau chantier et de nouvelles entreprises de séduction. Lorsque Michel rencontre Michèle, qui leur a confié une maison à rénover, c’est le coup de foudre. De son côté du moins. Mais c’est sans compter sur Franck, dont le goût de l’embrouille et des petites combines mettent sans cesse en péril leur duo de pieds nickelés. Surtout lorsqu’il s’associe avec une jeune vendeuse révoltée d’un magasin de bricolage, qui rêve de liberté et de voyages au bout du monde.
A 30 ans, Daniel, apprend que sa mère biologique est bel et bien vivante. Il part donc à la rencontre de cette femme, pour en savoir plus sur elle et surtout comprendre pourquoi elle l'a abandonné. Connaître la vérité, c'est également trouver une consolation...
Le second long-métrage du réalisateur de "Louise Wimmer", César du Meilleur Premier Film en 2012.
Jazmín, une jeune femme d'une trentaine d'années, travaille comme serveuse dans un restaurant de Mexico. Alors qu'elle cherche désespérement l'homme idéal, elle voit débarquer du jour au lendemain son père, Toussaint, dont elle n'avait pas de nouvelles depuis trois ans. En raison d'une santé fragile, ce sexagénaire d'origine haïtienne a décidé de s'intaller dans l'appartement de sa fille. Au gré de cette cohabitation forcée, Toussaint recompose le puzzle de son passé sous le regard tantôt sévère, tantôt bienveillant de sa fille.
Tsanko, un cantonnier d’une cinquantaine d’années, trouve des billets de banque sur la voie ferrée qu’il est chargé d’entretenir. Plutôt que de les garder, l’honnête homme préfère les rendre à l’Etat qui en signe de reconnaissance organise une cérémonie en son honneur et lui offre une montre... qui ne fonctionne pas. Tsanko n’a qu’une envie : récupérer la vieille montre de famille qu’on ne lui a pas rendue. Ses déboires ne font que commencer ! Grand prix du Jury-Atlas d'Or/Arras Film Festival 2016.
Mondialisation qui uniformise, tourisme qui folklorise, État français et espagnol qui oppriment, que reste-t-il de la culture basque ? Le temps d’un été, quatre jeunes traversent le pays à la rencontre de celles et ceux qui résistent et s’expriment à travers leur art. Entre quête identitaire et voyage spirituel, ces adolescents découvrent la force de la langue la plus ancienne d’Europe, affirmation particulière d’un territoire et d’une histoire.
Un ex-détective devenu professeur en criminologie s’installe avec son épouse dans un nouveau quartier, à la recherche d’une vie tranquille. Alors qu’on lui demande de participer à une enquête à propos de disparitions, sa femme fait la connaissance de leurs étranges voisins.
En 1800, la Bretagne est à genoux, accablée par le régime en place et par le clergé omnipotent. Elle se meurt dans un marasme économique qui n’en finit pas et au milieu de cela, une fillette en souffrance pousse, tant bien que mal. Cette fillette c’est « Fleur de Tonnerre », une enfant isolée, malmenée par la vie et bercée par le morbide. Elle en deviendra la plus grande « serial killer » que la terre ait jamais porté et sèmera la mort, peut-être juste pour être regardée et aimée.
Contraint à se déplacer fréquemment pour des raisons professionnelles, le père de Maya veut maintenir le lien avec sa fille même lorsqu'il se trouve à l'autre bout du monde. Pour pouvoir continuer à lui raconter des histoires, il lui demande tous les soirs : "Maya, donne-moi un titre". A partir de là, il se lance ensuite dans la conception d'un dessin animé dont elle est l'héroïne. Des tremblements de terre, des sirènes, une mer polluée au ketchup, ou encore des courses-poursuites, les sujets sont originaux, divers et variés, et n'ont finalement qu'un seul et même but : provoquer de l'émotion...
À partir de 6 ans
Fille mère, déesse, reine du ciel, guerrière… Depuis deux mille ans, Marie a pris d’innombrables visages. Tour à tour politique, muse ou protectrice, cette Vierge bénie entre toutes les femmes raconte en creux l’histoire des sociétés qui la vénèrent.
Par le truchement de Marie
Marie a-t-elle encore quelque chose à nous dire ? C’est la question posée par la réalisatrice Isabelle Brocard qui s’appuie pour y répondre sur les éclairages d’un large éventail de spécialistes : théologiens, historiens de l’art, conservateurs de musée, psychanalystes, anthropologues… À travers deux épisodes retraçant près de deux mille ans d’histoire, elle interroge le visage sibyllin et protéiforme de la mère de Jésus, détaillant les différents rôles qu’elle a endossés à travers les siècles pour servir l’Église, les nations ou le patriarcat. On a fait dire à Marie ce qu’on voulait, explique la réalisatrice, qui ausculte cette figure éminemment plastique, reflet des peuples qui lui vouent un culte et réceptacle des représentations que chacun mobilise en fonction des contextes et des besoins. Avant qu’elle devienne une égérie de la pop culture et une source d’inspiration pour les artistes contemporains qui vont donner une voix libre et singulière à cette icône jusque-là silencieuse...