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Cinéaste surdoué, Steven Spielberg marque de son empreinte le cinéma depuis plus d’un demi-siècle. Exhumant des archives méconnues, Michaël Prazan met en lumière les éléments autobiographiques dont il a nourri son œuvre foisonnante.
À l’en croire, tout a commencé au début des années 1950 quand son père l’a emmené voir Sous le plus grand chapiteau du monde de Cecil B. DeMille. Émerveillé par le spectaculaire accident ferroviaire du film, le petit Steven ne s’est pas contenté d’en reproduire d’autres avec son premier train électrique : s’emparant de la caméra Brownie 8 mm paternelle, il s’est amusé aussi à les filmer. "Le frisson coupable que j’ai ressenti à ce moment-là m'a entraîné vers un hobby qui est ensuite devenu ma profession", confia le cinéaste bien des années plus tard. Né à Cincinnati en 1946 dans une famille de confession juive, dont l’explosion au moment du divorce de ses parents l’a longtemps laissé meurtri, Steven Spielberg se fait remarquer dès Duel, son premier film, tourné au départ pour la télévision et sorti en 1972. Malgré un tournage plus qu’épique, la traque du requin tueur des Dents de la mer qu’il orchestre ensuite, en 1975, va faire frémir la planète tout entière. Considéré comme le premier blockbuster de l’histoire du cinéma, le film lance sa carrière et plus rien ne l’arrêtera…
Une œuvre personnelle
Cinéaste surdoué, scénariste et producteur célébré, Steven Spielberg marque de son empreinte le septième art depuis plus d’un demi-siècle. Entre Duel et The Fabelmans (2022), le cinéaste a conquis en une trentaine de longs métrages tout à la fois le public, la critique et ses pairs. Cet enfant gâté du cinéma a déployé son talent dans de multiples genres, du film d’horreur à la fresque historique, du drame intimiste au thriller politique, du film de guerre à la comédie d’aventure. Au travers d’archives méconnues, d’extraits et de making of de ses films ainsi que d’entretiens que le cinéaste a accordés tout au long de sa carrière, Michaël Prazan (La passeuse des Aubrais, 1942) met en lumière les joies et les blessures de jeunesse, les peurs et les rêves qui ont contribué à façonner une œuvre bien plus autobiographique qu’il n’y paraît.
À une époque déchirée par la guerre, un couple de pauvres bûcherons survit tant bien que mal à proximité d'un bois isolé. Le froid, la faim, la misère et, partout autour d'eux, le conflit qui fait rage, font de leur existence une bataille quotidienne. Un jour, l'épouse se rend dans la forêt afin de préparer des fagots et de tenter de mettre la main sur un peu de nourriture quand elle aperçoit un bébé enveloppé dans un châle, visiblement jeté depuis l'un des nombreux trains qui traversent sans cesse le bois. Cette petite "marchandise" va bouleverser la vie de cette femme, de son mari, et de tous ceux qui vont croiser son destin... Restez jusqu'à la fin : le film est suivi d'un bonus (31 min) sur les dessins préparatoires et l'enregistrement de la musique !
À partir de 10 ans
Claire et Jeanne, jumelles pianistes virtuoses, sont admises dans une prestigieuse université de musique dirigée par l’intraitable professeur Klaus Lenhardt. Elles portent ainsi l’ambition de leur père qui a tout sacrifié pour faire d'elles les meilleures. Mais, une maladie orpheline, fragilise peu à peu leurs mains, et compromet brusquement leur ascension. Refusant de renoncer à leur rêve, elles vont devoir se battre et se réinventer pour devenir, plus que jamais, prodigieuses.
D’après une histoire vraie.