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Au cours de ses trente ans de carrière, Brad Pitt n'a eu de cesse de briser son image archétypale de sex-symbol. Retour sur la trajectoire inattendue d’un acteur cinéphile et audacieux, parvenu à s'émanciper des carcans du glamour.
C'est un gamin élevé à Springfield, Missouri, au sein d'une famille conservatrice, qui grandit au contact d'une nature préservée. Tombé amoureux du cinéma à l’adolescence, il se rêve en Robert Redford. Un jour, sans prévenir personne, l’audacieux quitte son paisible cocon pour tracer sa route vers Hollywood et y tenter sa chance. L’aventure débute à la télévision. Mais alors qu’il s’y sent vite à l’étroit, son apparition dans une publicité pour une célèbre marque de jeans dévoile toute la puissance de son sex-appeal...
La quête de l'imperfection
Aux yeux du grand public, Brad Pitt est né comme un archétype : un ange blond tombé du ciel, sous l'apparence de l'auto-stoppeur qui tape dans l’œil de Geena Davis dans Thelma et Louise. Bien que son talent crève l'écran (en plus de sa plastique, Ridley Scott sait mettre en valeur son désarmant naturel), il devient vite un homme objet. D’autant qu’Et au milieu coule une rivière, Entretien avec un vampire ou Légendes d'automne l'érigent en sex-symbol absolu des années 1990. Le comédien le déplore, assailli par les cris d'admiratrices en folie sur le plateau du célèbre talk-show d'Oprah Winfrey. De Seven à Inglourious Basterds en passant par Fight Club ou Le stratège, il va cependant réussir à substituer une autre image à ce cliché : celle d'un acteur à la présence intense abîmant volontiers sa jolie gueule et doué pour l'autodérision, qui met son statut de star au service de rôles audacieux... Adrien Dénouette et Thibaut Sève, déjà auteurs de l'excellent Jim Carrey L'Amérique démasquée, retracent le parcours aussi brillant qu'intègre d'un sex-symbol devenu un acteur phare de son époque.
Raconté en trois chapitres liés, le film suit une génération jeune et confiante. Danny est enceinte de Max. Elle veut profiter d’une fête pour le lui annoncer, mais n’y parvient pas. De son côté, Max explore les fantasmes sexuels de sa fiancée Avishag. Celle-ci se confie à Dror, qui la paye pour garder son chien. Entre le vieil homme et la jeune femme naît une intimité inattendue.
De son portrait du chancelier Adenauer (1966) à ses débuts fracassants au sein de la Sécession viennoise, ce documentaire remonte le fil des souvenirs du peintre autrichien, dont l’œuvre traverse l’histoire de l’Europe au XXe siècle.
En ce 1er avril 1966, Oskar Kokoschka retrouve, dans une villa des bords du lac de Côme, le chancelier allemand Konrad Adenauer, dont il doit réaliser le portrait. Pendant les séances de pose, le peintre autrichien confie à son modèle les souvenirs d’une vie de création ayant embrassé les soubresauts du XXe siècle européen. Né en 1886, le protégé de Gustav Klimt fait une entrée tonitruante sur la scène artistique à 22 ans, à la faveur d’une grande exposition organisée pour le jubilé de l’empereur François-Joseph. Entre pièces de théâtre et portraits expressionnistes, "l’enfant terrible de la Sécession viennoise" choque en mettant à nu les passions d’une société finissante. Kokoschka arpente inlassablement le continent européen, pinceau à la main, à partir de 1923. Considéré comme un "artiste dégénéré" par les nazis, il s’exile à Londres avec son épouse, Olda, en 1938. Après-guerre, alors que la peinture abstraite connaît son heure de gloire, Kokoschka, installé en Suisse, s’érige en champion de la figuration. Formant la jeunesse au sein de son École du regard, ouverte à Salzbourg en 1953, il œuvre sans relâche à l’écriture de sa propre légende : celle d’un artiste et intellectuel antifasciste engagé pour la paix.
Au-delà du mythe
Partant de la rencontre entre ces deux géants, orchestrée par le magnat allemand des médias Axel Springer, ce documentaire déroule la trajectoire de Kokoschka, de ses provocations originelles à la déconstruction de son mythe par une nouvelle génération d’historiens de l’art. Au travers d’analyses de spécialistes et de fascinantes archives, Stéphane Ghez (Joan Mitchell – Une femme dans l’abstraction, Xenakis révolution – Le bâtisseur du son) met en lumière son génie, capable de percer l’intériorité de ses modèles au rayon X, et ses inébranlables convictions européennes, sans éluder ses zones d’ombre. Il révèle ainsi les failles de son récit, fruit d’un patient travail d’autoglorification : son rapport particulier aux femmes, ainsi que ses amitiés, après-guerre, avec des artisans de l’entreprise de spoliation des œuvres d’art menée par les nazis.
Elder arrive à pied à La Paz après sept jours de marche pour protester avec ses amis mineurs contre leur renvoi des mines de Huanuni. Bientôt Elder tombe malade et la métropole l’asphyxie peu à peu. Max, sorcier des rues, sillonne, lui, sans relâche les confins de la ville qui semble ancrée au plus profond de son être. Des entrailles de la Terre aux 3600 mètres d’altitude de la capitale bolivienne, le chemin d’Elder, le damné, croisera celui de Max dans une symphonie urbaine rédemptrice.
Jérôme est un menteur compulsif. Sa famille et ses amis ne supportent plus ses mensonges quotidiens. Ils font tout pour qu’il change d’attitude. N’écoutant pas ce qu’on lui reproche, Jérôme s’enfonce de plus en plus dans le mensonge jusqu’au jour où une malédiction divine le frappe : tous ses mensonges prennent vie. Commence alors pour lui un véritable cauchemar.
Alma, brillante scientifique, se révèle être une parfaite candidate pour se prêter à une expérience : pendant trois semaines, elle doit vivre avec Tom, un robot à l’apparence humaine parfaite, spécialement programmé pour correspondre à sa définition de l’homme idéal. Son existence ne doit servir qu’un seul but : rendre Alma heureuse.
Après une panne de voiture, Glen passe une nuit étrange avec un couple marié, ce qui déclenche une série d'événements qui modifient leur vie et celle de plusieurs inconnus.