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Les bonobos ne se trouvent qu'en République démocratique du Congo, l'ex-Zaïre. Dans ce pays ravagé par la guerre civile, ils sont doublement menacés : chassés pour leur viande, ils sont aussi la cible des trafiquants.
Au Lola ya bonobo (paradis des bonobos), à 50 km de Kinshasa, Claudine André recueille, depuis douze ans, les jeunes singes dont les parents pour la plupart ont fini sur les étals des boucheries. Grâce à cette jeune femme belge et à son équipe, quelque 300 orphelins ont déjà été sauvés. Dominique Hennequin a suivi le petit Lomami, arrivé depuis quelques jours, devenu extrêmement craintif après avoir eu le bout des doigts mutilé par des braconniers.
Mais aussi la première naissance d'un bébé singe à Lola. Si elle accepte le petit, sa mère retrouvera-t-elle les gestes pour l'allaiter ? Si des liens de parenté se nouent dans le groupe d’orphelins, Claudine André aura franchi un pas de géant : permettre aux bonobos de retrouver une vie indépendante, peut-être même dans leur habitat naturel.
En 1987, le décès subit de Mario Formenton, qui dirige la première des maisons d'édition italiennes, la Mondadori, ouvre une bataille de succession entre deux des plus brillants hommes d'affaires du pays, Silvio Berlusconi et Carlo De Benedetti, tous deux actionnaires minoritaires. En décembre 1988, De Benedetti, signe un accord avec les héritiers qui lui garantit le contrôle des deux sociétés réunies. Un an plus tard, c'est le coup de théâtre : pour étendre son empire médiatique, Berlusconi convainc la veuve de Formenton de lui céder ses actions et s'empare de la présidence du groupe... C'est le début d'un très long feuilleton judiciaire où le chef de Forza Italia - qui a accédé au pouvoir une première fois en avril 1994, puis à nouveau en juin 2001, et a bénéficié d'un non-lieu pour prescription - va faire feu de tout bois pour éviter la condamnation de ses alliés. Y compris en faisant adopter des lois ad hoc par "ses" députés.
Aujourd’hui, nous nous déplaçons de plus en plus vite, de plus en plus loin et de plus en plus nombreux. Cela contribue à accroître la demande mondiale de transport et cette tendance va se poursuivre. Le dessous des cartes cherche à mieux comprendre les facteurs de cette augmentation, liée aux mobilités individuelles mais aussi au commerce de marchandises.
Partout dans le monde, la "Vierge éternelle" est un sujet d'apparitions et de ferveur populaire.
Figure majeure du christianisme, son importance dans la vie spirituelle de nombreux croyants peut étonner lorsqu'on la compare à la place discrète que donne la Bible à la mère de Jésus.
Mais que se cache-t-il derrière son histoire, sa représentation, sa dévotion ? N'y a-t-il que la foi pour expliquer la portée de son image ?
Pour évoquer Marie, personnage historique et légendaire, la réalisatrice parcourt le monde chrétien afin de confronter la réalité quotidienne à la puissance de l'imaginaire et du spirituel. Dans un monastère en Syrie, elle rencontre deux religieuses, Sœur Claire et Sœur Agnès de la Croix, qui mettent en lumière la figure biblique et théologique ; à Bahia au Brésil, elle suit la préparation de la Fête du 15 août ; à Rome, elle interroge l'idéal féminin proposé par l'Église… Auscultant le visible (les fresques de Giotto à Padoue) et rendant grâce à l'invisible, parcourant les déserts bibliques et s'attardant dans les bibliothèques des théologiens, Dominique Gros parvient à saisir l'extraordinaire influence symbolique de la Vierge dans le monde contemporain.
Julio rencontre un vieil écrivain qui cherche un assistant pour dactylographier son dernier roman, mais il n’est pas retenu. Pour donner le change à Blanca, sa maitresse occasionnelle, il décide d'écrire un manuscrit qu'il fait passer auprès d'elle pour celui du romancier. Il s'inspire de son histoire d'amour passionnelle avec Emilia, huit ans plus tôt, lorsqu'ils étaient tous deux étudiants en littérature et que chacun prétendait avoir lu Proust... Où commence la fiction, où s'arrêtent les souvenirs ? Dans ce va-et-vient entre littérature et réalité, les sentiments deviennent aussi complexes et fragiles que l’architecture délicate d’un bonsaï.
Plombé par des déficits publics de plus de 500 milliards de dollars et une dette internationale qui explose, tout autre pays que les Etats-Unis aurait été emporté, avec sa monnaie, par un ouragan financier. Pourtant la patrie de l’oncle Sam n’est pas à feu et à sang ; ses dirigeants gardent leur calme et la population vaque à ses occupations. Qu’il grimpe ou qu’il dégringole, c’est toujours pour les autres que le dollar semble induire des conséquences négatives.
Ce « privilège exorbitant » d’exporter ses déficits chez les autres est l’effet du statut de monnaie de réserve et de paiement international. Cette position privilégiée, pratiquement jamais remise en cause, s’est construite progressivement depuis la deuxième guerre mondiale avec la montée en puissance de l’Amérique. En ce sens, le dollar est le symbole même de l’efficacité économique des Etats-unis, de leur impérialisme ou de leur hyper puissance.Toute la question étant de savoir si, aujourd’hui, nous assistons ou non à la fin de ce cycle historique.
Le Dessous des Cartes se penche sur les représentations de l’altérité et de la différence à travers l’exposition du Musée du Quai Branly "Exhibitions – L’invention du sauvage". Un voyage dans l’espace et le temps, en compagnie de la commissaire Nanette Jacomijn Snoep.