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Convaincu qu’il a été abandonné par erreur, il est bien déterminé à retrouver Marie, sa propriétaire... et ce même s’il ne peut pas bouger !
Gobi le gobelet est seul au bord de la route. Convaincu d’avoir été abandonné par erreur par sa propriétaire, la douce et gentille Marie, Gobi se met en tête de la retrouver, quoi qu’il en coûte ! Commence une aventure initiatique qui le poussera à questionner le sens de sa vie et l’absurdité de sa condition de gobelet à usage unique... Mêlant animation et prises de vues réelles, une fable d’une folle inventivité imaginée par les auteurs Géraldine de Margerie et Maxime Donzel (duo aux manettes de Tutotal ou Pan pan culture), accompagnés à la direction de l’animation, Kim Keukeleire, grande figure internationale de l'animation qui a notamment travaillé sur Chicken Run, Wallace et Gromit, L'île aux chiens ou le Franckenweennie de Tim Burton.
Dans la périphérie de Rennes, Hervé, 14 ans, vit seul avec sa mère, chômeuse officiellement "en dépression" et pathologiquement intrusive. En classe ou dans leur chambre, lui et son meilleur copain, Camel, partagent une obsession douloureuse : parvenir à coucher avec une fille pas trop mal cotée sur le marché amoureux du collège, alors qu'eux-mêmes se savent placés très bas dans cette impitoyable bourse des valeurs. Entre deux séances rituelles d'onanisme "à la chaussette", Hervé découvre un jour, avec stupeur, que l'une des plus jolies filles de leur classe de troisième, Aurore, le considère avec intérêt.
Éclosions
Âmes sensibles s'abstenir. Si le premier baiser, passé ou à venir, se nimbe pour vous d'une aura poétique, le gros plan de palot baveux avec pustules avec lequel Riad Sattouf inaugure ses débuts au cinéma peut saccager définitivement toutes vos plantations de fleurs bleues. Mais ça en vaut la peine ! Car la lucidité sans pitié du dessinateur-réalisateur qui n'épargne aux spectateurs aucune des terribles vicissitudes de l'âge bête, entre poussées d'hormones et cruautés de cour d'école, a pour seul but, comme toujours, de faire rire – tantôt jaune, tantôt noir, mais parfois aussi un peu rose. (Re)découvrir les tribulations de l’ado Vincent Lacoste, plus boloss que beau gosse avec ses dents baguées et sa coiffure tout sauf "stylée", hormis bien sûr aux yeux de sa maman (géniale Noémie Lvovsky), c'est aussi assister en direct à l'éclosion d'une star. Anthony Sonigo, lui, compose un faire-valoir attendrissant, indéfectiblement bonne pâte malgré sa passion pour le heavy metal. Entre deux fous rires nerveux, on peut aussi s'amuser à débusquer dans le casting excellemment fourni des seconds rôles adultes quelques "guests" savoureux, de Marjane Satrapi au spationaute Jean-Pierre Haigneré en passant par l'auteur-réalisateur (et cocompositeur de la BO) lui-même.