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En février 1945, Staline, Roosevelt et Churchill se réunissaient à Yalta pour dessiner l’ordre mondial d’après-guerre. S’appuyant sur les souvenirs de diplomates, Cédric Tourbe déroule l’histoire de cette alliance chaotique entre trois leaders aux personnalités et aux visées politiques antagonistes.

La série de clichés les montrant assis côte à côte, à l’issue de la conférence de Yalta, est entrée dans l’histoire. En février 1945, alors que l’Armée rouge n’est plus qu’à 65 kilomètres de Berlin, le président américain Franklin D. Roosevelt, le Premier ministre britannique Winston Churchill et le maître de l’URSS Joseph Staline se retrouvent en Crimée pour préparer la paix en s’accordant – ou en convenant de trancher ultérieurement – sur un certain nombre de sujets cruciaux : création de l’ONU, avenir de l’Allemagne ainsi que de la Pologne, place de la France parmi les vainqueurs, entrée en guerre de Moscou contre le Japon, sort de la démocratie dans l’Europe libérée… Ces journées de négociations sont l’aboutissement de longues années de relations diplomatiques et personnelles entre les trois leaders, dictées – après l’invasion de l’URSS par les troupes allemandes le 22 juin 1941 – par le même objectif de victoire, mais contrariées par des intérêts divergents...

Le président, l’impérialiste et le bolchevik
Alors que Staline, fort des sacrifices de l’Armée rouge, entend se tailler une zone d’influence en Europe, Churchill s’en inquiète et bataille pour sauver le statut de grande puissance du Royaume-Uni, appuyé par son gigantesque empire colonial. Roosevelt, de son côté, ambitionne de construire un nouvel ordre international fondé sur le respect du droit, mais doit composer avec les revendications territoriales de son homologue communiste. De 1939 au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, d’échanges de missives en rencontres secrètes ou officielles, Cédric Tourbe (Le pacte Hitler-Staline, Capitalisme américain – Le culte de la richesse) retrace les étapes de ce rapprochement de circonstance, choc de trois systèmes politiques, mais aussi de personnalités antagonistes. Convoquant de formidables archives, les souvenirs de diplomates qui en furent les témoins et des reconstitutions dessinées, son documentaire lève le voile sur les transactions, les disputes et les revendications qui ont ponctué ces tumultueuses années d’alliance.

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Star montante du tennis belge, Julie évolue dans un club prestigieux et consacre tout son temps à sa passion. Malheureusement, l'adolescente voit ses chances d'atteindre les sommets se réduire lorsque Jérémy, son entraîneur, se retrouve soudain dans l'oeil du cyclone. Aline, une jeune joueuse professionnelle, vient en effet de mettre fin à ses jours. Les méthodes de coaching brutales de Jérémy sont aussitôt pointées du doigt. Celui-ci est suspendu dans la foulée. Une enquête est ouverte, et tous les joueurs du club sont encouragés à partager leur histoire. Interrogée, Julie décide, quant à elle, de garder le silence...
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Adaptée des romans de Hilary Mantel, “Wolf Hall”, la série historique de Peter Kosminsky et Peter Straughan, est une subtile réflexion sur l’exercice du pouvoir.

Épisode 1 - Jeux de dupes

1529. Le roi Henri VIII tente d’obtenir l’annulation de son mariage avec Catherine d’Aragon, coupable de n’avoir pu lui donner un héritier mâle. Rendu responsable de l’enlisement des négociations avec Rome, le cardinal Wolsey est démis de ses fonctions de lord-chancelier et remplacé par Thomas More. Thomas Cromwell, avocat et homme de confiance du prélat, refuse de l’abandonner. Il rend visite à Anne Boleyn, la favorite d’Henri, qui brûle d’impatience de monter sur le trône, et décroche une entrevue avec le roi.

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Dans cette histoire d’amour adaptée de Georges Simenon, la force tranquille de Jean Gabin transcende la noirceur du constat social.

Lorsqu’il rentre chez lui, un dimanche après la messe, François Cardinaud, riche armateur rochelais, découvre la disparition de sa femme Marthe, que son personnel de maison ne s’explique pas non plus. Ses recherches dans toute la région s’avèrent infructueuses. Mais dans ce milieu de la pêche où tout le monde se connaît, la nouvelle circule vite : Marthe est partie rejoindre Mimile, un ancien amour de jeunesse et aventurier tout juste revenu d’Afrique. François Cardinaud n'en renonce pas pour autant à sa quête, voulant sauver son amour et son mariage. 

Seul contre tous 
Réputé pour son réalisme social, Gilles Grangier nous immerge avec une veine documentaire dans le monde de la pêche des années 1950 avec ce 28e long métrage (sur 52, dont La cuisine au beurre et Le cave se rebiffe) pour une charge contre les codes de la bourgeoisie et les mirages de l’ascension sociale. Transfuge de classe, comme on dirait de nos jours, François Cardinaud – Jean Gabin, tout en retenue malgré les avis de tempête –, ancien manutentionnaire, est devenu à force de pugnacité l’homme le plus puissant des pêcheries de La Rochelle. Défiant ainsi l’ordre établi, ostracisé par les notables, il s’est aussi coupé de ses anciens camarades. Circonstance aggravante, il a épousé une amie d’enfance, jeune prolétaire comme lui, encore moins acceptée par son nouveau milieu. Tout à sa réussite professionnelle, c’est pourtant Marthe qu’il a délaissée sans en prendre conscience, la réduisant au rôle de faire-valoir et conduisant son couple à la chute. La force tranquille opposée par le self made man aux bassesses de la bonne société constitue le nœud de ce film noir, fidèle à la vision de Simenon. 

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Poésie gothique, humour mordant et amour des marginaux : retour sur les cinq décennies de carrière de Tim Burton, génie de l'étrange dont les films, intimes ou blockbusters, offrent un refuge aux laissés-pour-compte d'une société normative.

Aussi loin qu'il s'en souvienne, Tim Burton s’est toujours senti irrésistiblement attiré par les monstres. Né dans la banlieue pavillonnaire de Los Angeles, à deux pas de Hollywood, ce grand timide, en constant décalage avec ses pairs, observe d’un œil distancé l’Amérique des sixties qui le voit grandir, tout en cultivant un imaginaire irrigué par le cinéma gothique et les films de série B. Il ne quittera jamais tout à fait l’univers de l’enfance… Après un début de carrière peu inspiré comme animateur pour les studios Disney, un court métrage (Vincent, en 1982, hommage savoureux aux films expressionnistes) et un film de commande, c’est Beetlejuice, en 1988, qui impose définitivement son style unique, mélange d’horreur et de comédie. Face à un Michael Keaton en roue libre, la jeune Winona Ryder y incarne déjà l’un de ces personnages de marginaux dont Tim Burton émaillera sa filmographie. À l’image de son chef-d’œuvre, Edward aux mains d’argent (1990), qui marque la grande rencontre avec Johnny Depp. Celui qui deviendra son acteur fétiche (et héros blafard de Sleepy Hollow, Sweeney Todd ou Dark Shadows) y incarne un homme-machine aux yeux tristes, être doux mais inadapté à une société du paraître, et que ses étranges talents transforment en bête de foire. Soit un parfait alter ego du réalisateur. Parallèlement aux blockbusters que lui confient des studios rassurés par ce nom désormais bankable (les deux Batman, Charlie et la chocolaterie, Alice au pays des merveilles ou Dumbo…), auxquels Burton imprime sa patte, les films les plus personnels du cinéaste – d’Ed Wood (1994) à Big Fish (2003) – restent ses plus émouvants. Un hommage à celles et ceux qui, comme lui, voient dans l’invisible, bousculent les convenances et ne rentrent dans aucune case…

"Weirdo" autoproclamé
"Peu importe que vous ayez fait vos preuves, s’ils vous trouvent bizarre, vous resterez bizarre, quel que soit le nombre de succès que vous produirez. Ils s’imaginent que vous allez courir sur le plateau avec une hache." Émaillé de savoureuses archives, où transparaît la personnalité introvertie et excentrique du réalisateur, weirdo  ("bizarre ") autoproclamé, ce documentaire explore près de cinq décennies d’une riche filmographie en forme d’autoportrait. En conjuguant de sa patte inimitable les tourments de l’enfance et les doutes de l’âge adulte, Tim Burton, génie de l’étrange, continue de toucher un immense public et fait de ses films un refuge aux laissés-pour-compte d'une société violente et normative.

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Depuis son arrivée au pouvoir, Vladimir Poutine poursuit un dessein aussi ambitieux que méconnu en Occident, hérité des précédents empires russes, tsariste puis soviétique : relier entre elles et contrôler les "cinq mers" aux confins de la Russie – les mers Noire, d’Azov, Caspienne, Baltique et Blanche – afin d'asseoir la puissance maritime de son pays tout en consolidant son influence en Europe et en Asie. Ce projet, établi par le tsar Pierre le Grand dès la fin du XVIIe siècle, a donné lieu en 2008 à l'attaque de la Géorgie par les troupes russes, lesquelles continuent de stationner dans le pays à l'appui des séparatistes d'Ossétie du Sud, puis d'Abkhazie, en grignotant discrètement une part des territoires au-delà de la ligne de front. L'invasion à grande échelle de l'Ukraine en 2022 obéit aux mêmes visées. Elle a permis à Poutine de s'emparer du port de Marioupol, sur la mer d'Azov, après trois mois d'un pilonnage systématique. Celui d'Odessa, qui résiste toujours, constitue une autre cible prioritaire. L'occupation de la Crimée en 2014, mais aussi le conflit du Haut-Karabakh, qui a éclaté à nouveau en 2020 entre les ex-Républiques soviétiques d'Arménie et d'Azerbaïdjan, avec une médiation russe très intéressée, relèvent de la même stratégie.

En première ligne 
Ce documentaire explore avec rigueur les contours d'un projet impérial que l'Europe n'a pas su discerner, avec à l’appui les analyses de divers journalistes, politologues, opposants russes ou diplomates, étayées par des archives et des reportages – notamment dans les pays baltes, qui se savent en première ligne, et à Tbilissi, où l'opposition citoyenne à l'oligarque prorusse Bidzina Ivanichvili, “homme fort” du pays, commence à s'affaiblir après des mois infructueux de manifestations. Conjuguant nationalisme brutal et appétits économiques, celui qui a promis de restaurer la puissance russe fait ainsi de chaque crise méthodiquement préparée un nouveau levier pour s'assurer la maîtrise des "cinq mers". 

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Avec Brigitte Bardot en égérie des Années folles et Lino Ventura en aventurier bourru, une piraterie de Robert Enrico à la sauce seventies.

1919, en pleine prohibition, le capitaine Cornelius von Zeelinga navigue en mer des Caraïbes entre trafic de rhum et escales agitées, où il rêve, dans les salles de cinéma, à Linda Larue, une star du muet. Après une traque des garde-côtes qui conduit son cargo au naufrage, le rescapé, pour se refaire un pécule, joue sa vie à "l’aveugle" en s’exposant dans le noir devant un peloton de tir. Le corps rapiécé mais les poches pleines, le marin erre alors de port en port, obsédé par son idole, jusqu’au jour où il la croise sur une plage telle un mirage. Séduite par ce capitaine bourru au cœur tendre, la belle embarque avec lui sur son rafiot. Mais les promesses nuptiales d’un lord anglais, qui s'est interposé avec son yacht pour les protéger d’un nouvel assaut des douaniers, la font hésiter...

La star et le flibustier
Grosse production franco-italienne, Boulevard du rhum, adapté d’un roman des années 1960, déroule en version hexagonale et seventies tout le folklore de la prohibition : bars jamaïcains enfumés, escrocs échoués et bagarres alcoolisées, dont l’impassible Lino Ventura, en capitaine Haddock pirate, sort cabossé, mais toujours vainqueur. En égérie sexy des Années folles, avec défilé de robes Charleston, carré sous chapeau cloche et fume-cigarette, BB a l’air de s’amuser de son image en s'emparant de ce rôle de star du muet émancipée puis conquise par un flibustier – et d’une chanson sous ombrelle de mariée : "Des ports, des mers, des cocotiers…" Récit d’une passion tumultueuse sous les tropiques, pimentée d’aventures, le film de Robert Enrico enchaîne les séquences frôlant le burlesque, à la manière de vignettes de bande dessinée.

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Minecraft : 160 millions d'utilisateurs mensuels. Fortnite : 220 millions. Roblox : 200 millions. Ces trois jeux vidéo, déployés sur le métavers, un univers virtuel continuellement actif qui offre une expérience interactive et immersive à ses utilisateurs, attirent des cohortes de très jeunes joueurs. Connectés aux mêmes salons de discussions en ligne, les utilisateurs peuvent y trouver un refuge bénéfique face à une société excluante et s'épanouir via des avatars qu'ils voient comme une extension d'eux-mêmes. Mais de leur propre avis, ces jeux sont aussi un "nid à problèmes". Des trolls néonazis qui chassent en bande et "tuent" dès son apparition toute personne dont l'avatar est noir, jusqu'aux agresseurs pédocriminels qui se rapprochent des enfants sur les canaux de discussion non modérés, le métavers prend des allures de Far West sans foi ni loi. Alex, Janae et Katie, trois jeunes femmes converties depuis leur plus jeune âge à ces univers en ligne, tentent via leurs importantes communautés respectives d'attirer l'attention des entreprises éditrices de ces jeux sur un phénomène grave, ignoré par cynisme mercantile.

Impunité
Devant ce climat d'impunité quasi absolue reste alors aux utilisateurs scandalisés par les agressions quotidiennes la voie du militantisme. En suivant le parcours de trois toutes jeunes activistes du métavers, ce documentaire met au jour un espace encore difficilement compréhensible pour les parents, et souligne à travers les témoignages d'experts et de juristes les limites du droit face à une technologie en perpétuelle évolution. Le film met également face à leurs responsabilités les grandes entreprises de jeu vidéo qui se sont grassement enrichies grâce au métavers mais préfèrent aujourd'hui se renvoyer la balle plutôt que de prendre les mesures qui s'imposent.

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Dans la splendeur de sa frondaison multicentenaire, un arbre immense dérive lentement sur les eaux bleues de la mer Noire. Il ne s'agit ni d'une hallucination ni d'un tableau surréaliste, mais d'un événement authentique en train de s'accomplir, filmé depuis le rivage. Quelque part sur la côte géorgienne, un personnage riche et puissant achète les vieux arbres qu'il fait déraciner et acheminer, très loin de là, vers Tbilissi, afin d'en orner sa propriété. Dans ce coin perdu, la marotte de l'oligarque constitue une aubaine inespérée, et une atmosphère de ruée vers l'or se répand parmi les habitants, ébahis de découvrir que devant leurs modestes logis dormait un trésor. Le commanditaire aux motivations obscures – le milliardaire Bidzina Ivanichvili, éphémère Premier ministre de 2012 à 2013 –, dont tous parlent mais qui reste invisible, revêt ainsi la stature d'un dieu. Partout, dans les jardins, les forêts, les montagnes, des travailleurs, aidés d'excavatrices et de pioches, s'affairent à arracher les objets de sa convoitise, avant de les charger sur un camion, puis un ferry, au cours d'un processus complexe et minutieux.

Film poème
Captant en magnifiques plans fixes la transformation accélérée du paysage, les gestes et les mots qui président au déracinement des arbres, Salomé Jashi compose un poignant film poème sur l'accaparement de la richesse par une poignée d’individus, et sur l'appropriation de la nature par l'avidité humaine. Primée dans de très nombreux festivals à travers le monde, son œuvre embrasse dans un même souffle la splendeur et la désolation, la résignation et l'absurde, la résistance et l'inéluctable.  

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Ils montrent comment l'IA modifie notre compréhension de la conscience, de la responsabilité et de la condition humaine et quelles questions fondamentales en découlent pour notre avenir.

Épisode 1 - La boîte noire de l'IA

Les IA fournissent souvent des réponses en quelques secondes mais la manière dont elles prennent des décisions reste mystérieuse. Leurs processus sont complexes, peu transparents et susceptibles d'erreurs ou de distorsions. Sans un aperçu de cette « boîte noire », le contrôle, la responsabilité et la confiance font défaut. Que se passe-t-il réellement à l'intérieur de l'IA ?

Retrouver les autres épisodes de la série documentaire en cliquant ici.

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