26 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Aventures rocambolesques et humour noir : une comédie "british" trépidante, emmenée par un casting haut en couleur : Oliver Reed, Diana Rigg, Telly Savalas, Curt Jurgens et Philippe Noiret.
Londres, début du XXe siècle. Une journaliste débutante, Sonya Winter, décide d’enquêter sur une mystérieuse organisation criminelle, le Bureau des assassinats. Son dirigeant, Ivan Dragomiloff, se targue d’agir pour le bien commun, n’acceptant que des missions dûment motivées sur le plan moral. La jeune femme le défie en lui commandant, en échange d’une forte somme d’argent, de se faire assassiner lui-même pour avoir péché par orgueil et cupidité. Dragomiloff, joueur, en profite pour mettre à l’épreuve les tueurs qui travaillent pour lui. Mais son associé, qui est également le commanditaire de l’enquête de Sonya, nourrit d’autres projets pour le Bureau…
Aventures à l’anglaise
Libre adaptation d’un roman inachevé de Jack London, remanié par l'auteur de polars Robert Lloyd Fish, cette comédie d’aventures au point de départ aussi tordu qu’original embarque le spectateur dans l’Europe de la Belle Époque, pour un voyage semé de morts loufoques et de surprises. Située à l’aube de la Première Guerre mondiale, l’intrigue tourne en dérision les organisations interétatiques et leurs luttes intestines à travers un joyeux jeu de massacre, sur un rythme et dans des décors qui évoquent les James Bond de l’époque. Deux des vedettes du film, Diana Rigg (la fameuse Emma Peel de Chapeau melon et bottes de cuir) et Telly Savalas, figurent d’ailleurs au casting d’Au service de sa Majesté, également sorti en 1969. Ils sont ici secondés par une troupe d’acteurs hauts en couleur – parmi lesquels Philippe Noiret –, qui s’en donnent à cœur joie dans la parodie.
Et si, à l’occasion de la présentation au festival de Cannes 2025 de "Nouvelle Vague" de Richard Linklater qui retrace la genèse d’"À bout de souffle" de Jean-Luc Godard, nous évoquions dans Blow up tous ces films (et il y en a) qui reviennent sur l’Histoire du cinéma ?
Les américaines Ancestry ou 23andMe, l’israélienne MyHeritage… Depuis une vingtaine d’années, une kyrielle de start-up surfent sur la révolution du séquençage du génome pour proposer au grand public des kits de tests ADN personnels, disponibles en quelques clics sur Internet. Près de 50 millions de personnes dans le monde ont déjà succombé à leur promesse : découvrir, grâce à des gouttes de salive, les secrets que recèleraient nos gènes. Un marché aujourd’hui gigantesque, dont le chiffre d’affaires s’élève à 2 milliards de dollars par an. Si nombre d’utilisateurs, notamment aux États-Unis, y voient un simple moyen de connaître l’origine géographique de leurs ancêtres, de retrouver de lointains cousins ou d’identifier leur vulnérabilité génétique à telle ou telle pathologie, ces technologies – et le business qu’elles sous-tendent – posent des questions vertigineuses. Les résultats de ces tests sont-ils fiables ? Et surtout, que devient la précieuse manne de données génétiques et personnelles collectées par les entreprises ?
ADN monétisé
Cette enquête le montre : derrière un habile discours marketing se cache un business opaque, scientifiquement et éthiquement hasardeux. Réalisés à la chaîne, les tests ADN à vocation médicale mènent à de fréquents faux positifs – à l’image de cet utilisateur auquel on a diagnostiqué à tort deux mutations gravissimes – et laissent dubitatifs les généticiens. Mais le danger majeur concerne l’inquiétante absence de protection des données personnelles, potentiellement revendues au bon vouloir des entreprises. En Nouvelle-Zélande, les assurances santé privées exigent désormais de leurs clients la divulgation des résultats des analyses, ouvrant la voie à une véritable discrimination génétique… Avec sa loi bioéthique, la France est aujourd’hui l’un des rares pays au monde à interdire ces tests "récréatifs" sur son territoire. S'appuyant sur des éclairages d’experts, chercheurs et avocats – mais aussi sur les édifiants témoignages de clients de ces entreprises –, ce documentaire révèle les dessous d'un marché florissant, s'interroge sur le futur de la médecine et souligne la fragilité de notre vie privée à l'ère numérique.
Enfant, Fritz Knobel sait déjà exploiter la crédulité des autres pour faire des affaires qui vont rapidement devenir florissantes. Jeune garçon, il place auprès de sa clientèle des "souvenirs" du Führer qu'il a fabriqués lui-même. Plus tard, devenu marchand d'art et antiquaire, il étend ses activités à la peinture de tableaux de maître. Mais son plus grand coup, il le réussit le jour où il cède à Hermann Willié, reporter un peu écervelé du magazine HH-Press, les fameux Carnets d'Adolf Hitler. Avec ce prétendu journal intime du dictateur nazi, chacun flaire l'affaire de sa vie et la machine s'emballe…
Faussaire
L’interjection Schtonk ! est tirée du film Le dictateur de Chaplin, mot pseudo-germanique désignant quelque chose ou quelqu’un à interdire, voire à éradiquer. Le scénario de ce film est inspiré de l’histoire vraie d’un certain Konrad Kujau, qui avait commencé, au début des années 1970, à vendre en RFA des objets de l’époque nazie qu’il allait chercher en RDA. Peintre, il représentait aussi ses clients dans des scènes de guerre. Plus tard, il a décidé de contrefaire des écrits de dignitaires nazis, avant de se lancer dans sa plus ambitieuse opération : ces fameux Carnets d'Adolf Hitler, rédigés à partir de 1976 et acquis dans des conditions rocambolesques par un journaliste du Stern en vue d’une publication en 1983.
Dans les années 1980, à Melbourne, l'ascension de deux journalistes sur le point de devenir des stars de l'info. La série australienne The Newsreader dévoile les coulisses d’un journal télévisé tout en portant un regard acéré sur la société australienne de l'époque.
Épisode 1
Melbourne, janvier 1986, dans les coulisses de l’émission News at Six : le jeune reporter Dale Jennings rêve d’occuper le devant de la scène, tandis que Helen Norville, coprésentatrice des informations du soir, souffre de la présence paternaliste de son partenaire Geoff Walters, un journaliste de la vieille école. Lorsque le directeur de l’émission demande à Dale de faire équipe avec Helen pour contenir ses ambitions, le jeune homme accepte dans l’espoir d’accéder à une promotion. Leur relation se transforme en une alliance fragile à la faveur de la tragique nouvelle de la semaine, l’explosion de la navette spatiale Challenger…
Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.
Ascenseur spatial, champignons zombies ou chèvres atomiques, tout s'éclaire en quelques minutes. Sous la plume de Marion Montaigne et avec la voix de François Morel, les quatre saisons de cette série animée démystifient la science avec un humour ravageur.
Épisode 1 - The taille is the limit
Godzilla, King Kong, qui sont plus grands que le plus grand des dinosaures, pourraient-ils exister en vrai et détruire le monde ? Pour le professeur Moustache, il n’y a pas de question stupide ! Dix ans après sa première saison, la série d’animation scientifico-trash adaptée des bandes dessinées de Marion Montaigne revient avec une quatrième salve d'épisodes inédits.
Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.
Du Mali au Niger, du Burkina Faso à la Centrafrique, les troupes françaises sont désormais priées de partir. Quelle place la France peut-elle encore espérer tenir sur ce continent stratégique ? Et quel avenir pour les liens tissés au fil des décennies ?
Dans ce numéro du Dessous des cartes, nous remontons le fil d’une relation longue et complexe entre la France et ses anciennes colonies africaines. Une relation post-coloniale, marquée par la "Françafrique", aujourd’hui remise en cause par une nouvelle génération de dirigeants en France comme en Afrique, mais aussi par l’émergence de nouvelles puissances, la Russie et la Chine notamment.
Ils passent dix jours dans la ville assiégée. Une expérience déchirante retracée par Anastasiia Falileieva. Prix du meilleur film d'animation au festival de Clermont-Ferrand 2025.
Et aussi incroyable que cela puisse paraître, nous n'avions encore jamais consacré un sujet à l'acteur dans Blow Up. Voici ces deux anomalies réparées pour la venue sur la Croisette de Denzel Washington pour présenter Highest 2 Lowest de Spike Lee.
Portrait d’une immense artiste et d’une icône à l’irrésistible espièglerie.
Depuis près de soixante ans, elle enchante l’Amérique à coups de hits devenus planétaires, de "Jolene", reconverti brûlot indie rock par les White Stripes, à "I Will Always Love You", dont la reprise par Whitney Houston reste la chanson d’une artiste femme la plus vendue de tous les temps. Choucroute peroxydée et combinaisons moulantes à paillettes, la reine absolue de la country a su en outre s’attirer tous les suffrages par ses aphorismes – les "dollismes" – et sa générosité de businesswoman philanthrope. Immense auteure-compositrice-interprète autant que virtuose de l’autodérision – "Ça coûte cher d’avoir l’air bas de gamme !" –, Dolly Parton, née en 1946, grandit en Cendrillon dans un cabanon sans eau ni électricité des Appalaches auprès de onze frères et sœurs, avant d’emporter, à 17 ans, sa voix de soprano, sa guitare et son rêve de devenir star dans un car pour Nashville. Sûre de son talent, celle qui d’emblée prévient "Just because I'm blonde, don't think I'm dumb" ("Juste parce que je suis blonde, ne crois pas que je suis idiote") s’émancipe vite de ses pygmalions pour écrire trois mille chansons et vendre cent millions de disques au cours d’une carrière hors norme. Jouant de sa caricature, l’autoproclamée Backwoods Barbie ("Barbie de la cambrousse"), titre d’un album de 1967, s’honore de servir de modèle aux drag-queens : "Si j’avais été un garçon, j’en aurais été une, c’est sûr"… Plus équitable qu’engagée, mais surtout courageuse et maligne, Dolly, qui a ouvert un parc d’attractions à son nom dans le Tennessee, sait faire entendre la voix de la tolérance. En plein mouvement Black Lives Matter, cette fille du Sud profond rappelle ainsi : "Il n’y a pas que nos petits culs de blancs qui comptent." Taylor Swift, qui se réclame de son héritage, raconte que, lors d’un concert, son aînée pré #MeToo aurait taclé un importun qui lui hurlait sa flamme d’un sobre : "Je t’avais dit de rester dans le camion."
"Mae West de Nashville"
Retraçant la flamboyante carrière de cette légende vivante de la country – vénérée par Beyoncé qui, à son tour, a repris "Jolene" –, ce documentaire montre comment Dolly Parton, icône queer, a su conjuguer extrême artificialité et vraie profondeur. Car derrière ses extravagants costumes et son maquillage outrancier, la "Mae West de Nashville", attachée à ses Appalaches natales, raconte dans ses textes son intimité et sait y insuffler la gravité d’enjeux de société. Avec sa musique, un inébranlable optimisme qui voile sa mélancolie, et son espièglerie, "sainte Dolly" réussit à fédérer une Amérique fracturée, ralliant à sa bannière colorée Blancs et Noirs, progressistes et conservateurs. Féministe par le parcours plus que par le discours, elle s’investit dans de justes causes, pourvoyant en bibliothèques les enfants privés de livres ou participant en 2020 au financement de la recherche sur le vaccin contre le Covid-19. Au fil de ses apparitions télévisées explosives et en chansons, le réjouissant portrait d’un phénomène attachant qui n'a jamais rendu de comptes qu’à Dieu.