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AIR est créé en 1995 par Nicolas Godin et Jean-Benoît Dunckel. Mélange synthétique d’une électro-pop élégante et mélodique, la musique du duo versaillais a fait d’eux les stars mondiales de la French Touch. Un statut d’exception qui continue aujourd’hui encore d’auréoler nos deux hommes, dans leur carrière respective comme lors de leurs retrouvailles.

Sorti en 1998 et porté par ses tubes éternels ("Kelly Watch The Stars", "All I Need", "Sexy Boy"...), Moon Safari est le tout premier album de AIR. Cet opus fondateur a influencé tout un courant musical et coloré d'une richesse sonore inégalable les rêves d'une génération.

Vingt-six ans après sa publication, le duo formé par Jean-Benoît Dunckel et Nicolas Godin reprend le chemin de la scène pour jouer dans le monde entier et en intégralité cet album culte. L’un des moments forts de cet tournée est cette date dans le mythique Royal Albert Hall, point d'orgue des plus grandes carrières. Un concert d'exception dans un décor raccord. 

Filmé le 31 mai 2024 au Royal Albert Hall, Londres (Royaume-Uni).

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Librement adapté du roman de l’abbé Prévost, ce drame vénéneux d’Henri-Georges Clouzot dépeint la déchéance d’un couple bien mal assorti. 

Normandie, juin 1944. Manon, la fille d’un cafetier réputée pour ses mœurs légères, s’apprête à être tondue pour s’être compromise avec l’occupant. Quand Robert Desgrieux, un jeune résistant, croise sa route, il en tombe amoureux au premier regard. Parvenant à enlever la jeune femme à son geôlier, il file avec elle jusqu’à Paris, où elle compte retrouver Léon, son frère, qui vit de diverses magouilles. Alors qu’ils viennent de se mettre en ménage et se promettent le mariage, Robert ne tarde pas à découvrir que, pour être heureuse, Manon a besoin de beaucoup d’argent… 

Spirale infernale 
Hors de question pour Manon de compter chaque sou, comme sa mère, et de s’éreinter en enchaînant les tâches domestiques. Pour assouvir son désir de vie facile et de jolies toilettes, la jeune femme s’autorise toutes les licences, à commencer par celles que la morale réprouve. Du Paris livré aux aigrefins et aux combinards jusqu’à leur fuite en Palestine, terre promise des rescapés de l'Holocauste – dont les figurants appartiennent à la fameuse troupe yiddish du Théâtre Lancry –, les deux amants, interprétés par les jeunes premiers Cécile Aubry et Michel Auclair, se déchirent, alternant crises orageuses et réconciliations provisoires, avant l’implacable descente aux enfers. Transposant librement dans l’immédiat après-guerre le roman Manon Lescaut de l’abbé Prévost, classique de la littérature française du XVIIIe siècle, Henri-Georges Clouzot (Le corbeau, Quai des Orfèvres…) entraîne son couple maudit dans la spirale de la déchéance. Présenté dans une version restaurée, un drame d’une noirceur vénéneuse, récompensé en 1949 par le Lion d’or à la Mostra de Venise. 

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Bilel s'inquiète et malgré les avertissements de son ami et le mystérieux appel à la prière, les deux amis s'enfoncent dans une voie sans issue.

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Plongée dans l’univers extravagant des cabarets queers : sur des tubes disco, un road-movie joyeusement kitsch pour un hymne à la tolérance devenu culte.

À Sydney, Felicia, Mitzi et Bernadette, deux travestis et une femme transgenre, décrochent un contrat pour se produire dans un cabaret d’Alice Springs, au cœur de l’outback. À bord d’un bus prénommé "Priscilla", le trio s’aventure dans le désert australien, pour un voyage épique…

Folle échappée
Le périple de Felicia, Mitzi et Bernadette, dont il serait dommage de révéler toutes les péripéties, s’apparente à une authentique traversée du désert. "Priscilla" tombe en panne au milieu de nulle part, et ses passagers se retrouvent piégés dans un univers hostile : paysage aride, chaleur étouffante, population locale très peu accueillante. Loin de se laisser abattre, le trio tente d’adoucir les mœurs en déversant des flots de gaieté et de dérision dans ce monde inhospitalier. Spectacle haut en couleur, sur les rythmes disco de Gloria Gaynor, d’Abba ou des Village People, le film envoie valser les préjugés au fil de scènes extravagantes. Les costumes des trois starlettes, éblouissants de strass et de paillettes, détonnent dans le dépouillement d’un décor minéral à couper le souffle. Mais s’il déclenche l’hilarité, ce road-movie s’attache aussi à peindre l’Australie, pays-continent de tous les extrêmes, dans lequel les métropoles comme Sydney, cosmopolites et tolérantes, contrastent avec un bush peuplé par des fermiers. Trente ans après la sortie de cet hymne à la tolérance délicieusement excentrique, une suite devrait voir le jour prochainement, toujours réalisée par Stephan Elliott.

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C’est un bon fils et un homme exécrable, un génie et un monstre. En cette première moitié du XIXe siècle, J. M. W. Turner, géant de la peinture, ne vit que pour son art, rustre sans âge qui dessine compulsivement dans des carnets, négligeant ses proches, sa dévouée et aimante servante comme son ancienne maîtresse, mère ulcérée de ses filles. Seule la profonde complicité avec son assistant de père, dont le vieux cœur se gonfle d’orgueil devant le talent fou de son rejeton, laisse entrevoir l’humanité de l’infréquentable artiste. Lequel, solitaire, nourrit son obsession de la lumière par de longues déambulations-contemplations, scrutant infiniment l’horizon maritime, voire tentant d’éprouver la tempête, en se faisant ligoter à un mât.

Art brut

Dans une Angleterre humide nimbée de brumes, entre un Londres inhospitalier et un puissant bord de mer, Mike Leigh restitue les vingt-cinq dernières années du peintre en croquant son quotidien par petites touches impressionnistes. Sans le ménager - il ne cache rien ni de ses grognements, son langage de prédilection, ni de ses tendances lubriques -, le cinéaste s’attache d’abord, à travers son ogre de héros, à sonder le mystère de la création, quête infinie dépassant tout à la fois Turner et le cinéaste lui-même, qui s’en empare pour mieux s’en étonner. Il s’imprègne des ciels crépusculaires, traque l’inspiration et ses voies impénétrables, entre les errances de l’artiste inadapté et ses fulgurances raffinées, qui bousculent la Royal Academy de l’époque romantique, à la veille de l’émergence de la photographie. À ce titre, Mr. Turner, qu’incarne sans concession un Timothy Spall habité (prix d’interprétation à Cannes) pour le rendre plus sensible qu’attachant, diffère du biopic classique – une manière d’hommage à la transcendance.

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Nourri de témoignages des plus grands musiciens (Keith Richard, Quincy Jones, Herbie Hancock...), tous devenus ses amis, un portrait documentaire en hommage à Claude Nobs, fondateur du Montreux Jazz Festival.  

Au mitan des années 1960, Montreux est une station touristique déclinante sur les rives suisses du lac Léman, notamment fréquentée par une bourgeoisie anglaise retraitée. C'est compter sans Claude Nobs, jeune passionné de musique qui travaille alors comme comptable pour l'office du tourisme de la ville. Avec 10 000 francs (suisses) accordés par son patron, il fonde le Montreux Jazz Festival, qui deviendra en quelques années La Mecque des amateurs de jazz, de blues et de rock. Dès 1967, la belle endormie se réveille avec Aretha Franklin, Herbie Hancock, Ella Fitzgerald, puis, avènement du rock'n'roll oblige, Deep Purple, Santana, David Bowie ou les Rolling Stones… Les collaborations s'enchaînent dans une ambiance chaleureuse favorisée par la grande proximité de Claude Nobs avec ces artistes qu'il révère. Deep Purple y puise même l'inspiration de son titre le plus célèbre, "Smoke on the Water", après l'incendie du Casino de Montreux en 1971. "Funky Claude was running in and out, pulling kids out the ground", dit la chanson ("Le funky Claude faisait des allers-retours en courant pour évacuer des jeunes"). David Bowie et le groupe Queen y enregistrent "Under Pressure" après que Nobs leur a proposé d'utiliser son studio, lors d'un barbecue… Le festival devient alors incontournable.   

Ombre bienveillante 
Keith Richard, Quincy Jones, Herbie Hancock… La liste prestigieuse de celles et ceux qui ont tenu à rendre hommage à Claude Nobs et à son festival impressionne quasiment autant que les archives extraordinaires conservées par sa fondation et utilisées pour le documentaire d'Oliver Murray : des concerts d'Ella Fitzgerald, Roberta Flack, Marvin Gaye, Muddy Waters, Ray Charles…, mais aussi des moments de vie ou de coulisses et certaines des archives personnelles de “Funky Claude”. Patiemment compilé au fil des éditions de la "Rolls-Royce des festivals" par cet amoureux de la musique et des musiciens, dont l'ombre bienveillante continue de planer, douze ans après sa mort, sur les rives du Léman, un riche aperçu de ce qui constitue "le plus grand témoignage de l'histoire de la musique", selon Quincy Jones, décédé trois ans après ce film.

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Voyage historique et épopée visuelle au coeur d’une contrée à la beauté austère. 

Surnommée "l’île d’émeraude", l’Irlande aligne les panoramas à couper le souffle. Le voyage commence à Malin Head, son point le plus septentrional, dont les falaises vertigineuses offrent une vue imprenable sur l’océan Atlantique. Il se poursuit dans le Connemara aux étendues sauvages, qui recèlent les plus anciens témoignages sur le peuplement de l’île, il y a six à dix mille ans. Cap ensuite sur Bannow Bay, au sud-est, où l’on peut encore lire dans le paysage, mais aussi dans les noms des habitants, l’héritage des Vikings et des Anglais de Guillaume le Maréchal, avant de rejoindre la très sauvage péninsule de Beara, qui voit peu à peu se reconstituer une ancienne forêt atlantique.

D’eau, de roche et de verdure
Au fil de spectaculaires prises de vues aériennes, ce tour des côtes irlandaises dévoile, en même temps que la beauté austère de ces paysages d’eau, de roche et de verdure, la richesse de leur biodiversité et l’histoire qui les a façonnés. Sites paléochrétiens ou épaves oubliées, ces vestiges aident à lire un pan de la civilisation qui a pris naissance dans cette nature sauvage depuis ses premiers peuplements. Un somptueux voyage à travers le temps et l’espace.

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En 1888, l’Allemande Bertha Benz, au volant de la Benz Patent-Motorwagen inventée par son mari, devient l’une des premières personnes au monde à effectuer un long trajet en voiture. Convaincue du potentiel de ce grand tricycle doté d’un moteur à explosion, elle part un matin, sans prévenir, pour un voyage d’une centaine de kilomètres. Au cours du périple, elle note et règle certaines faiblesses du modèle, tout en réalisant un beau coup de communication : les commandes ne tardent pas à suivre, faisant de la Benz Patent-Motorwagen la première automobile commercialisée. À la même période, en France, Louise Sarazin reprend les affaires de son mari décédé, ancien agent de l’Allemand Gottlieb Daimler, l’un des inventeurs du moteur à explosion. Négociant les brevets, elle rend possible la percée des moteurs Daimler en France et contribue à leur généralisation. Ces deux tournants, qui marquent les débuts de l’automobile, amorcent également une longue histoire entre les femmes et les voitures, souvent reléguée dans l’ombre. 
Ponctué de témoignages de championnes telles que la légendaire Michèle Mouton, ancienne pilote française de rallye, l’Allemande Sophie Hofmann ou encore sa compatriote Jutta Kleinschmidt, seule femme à avoir remporté le Dakar, ce documentaire sillonne un univers de vitesse et d’audace, sur les traces de ces pionnières.  

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À travers les destins croisés d’une jeune juriste, d’un ingénieur tête brûlée et d’un cadre dirigeant, la folle aventure de Nokia, entreprise finlandaise en passe de devenir, au tournant des années 1990, un géant de la téléphonie mobile. 

Épisode 1

Mai 1988. Nokia, plus grand groupe industriel finlandais, vend des pneus, des bottes en caoutchouc, du papier et, depuis quelques décennies, de... l’électronique. Mais alors que son président, l’excentrique et impulsif Kari Kairamo, investit à tour de bras en Europe, ses cadres dirigeants, à commencer par Jorma Ollila, directeur financier, s’inquiètent de plus en plus de la santé de l’entreprise. Risto Salminen, l’un des jeunes ingénieurs les plus prometteurs de la branche d’Oulu, dans le nord du pays, est sauvé du service militaire par sa hiérarchie pour travailler sur un projet phare : un téléphone mobile analogique assez léger pour concurrencer le MicroTAC de l’Américain Motorola, pionnier et leader du secteur. Aux bureaux de Salo, près d’Helsinki, une autre équipe d’ingénieurs s’affaire sur un combiné nouvelle génération, destiné au réseau GSM encore balbutiant. Katarina Tammi, juriste fraîchement diplômée et pétrie d’idéaux, y est embauchée aux côtés de son ex-camarade de promotion Aki Makkonen, plus sympathique que bûcheur, pour superviser les contrats de la firme, qui s’ouvre à l’international. 

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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