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Nina est gynécologue-obstétricienne dans un petit hôpital en Géorgie. Après la mort d'un nouveau-né lors d'un accouchement, sa réputation professionnelle et morale est mise en cause. Des rumeurs l'accusent de pratiquer des avortements illégaux...
Enfant, Fritz Knobel sait déjà exploiter la crédulité des autres pour faire des affaires qui vont rapidement devenir florissantes. Jeune garçon, il place auprès de sa clientèle des "souvenirs" du Führer qu'il a fabriqués lui-même. Plus tard, devenu marchand d'art et antiquaire, il étend ses activités à la peinture de tableaux de maître. Mais son plus grand coup, il le réussit le jour où il cède à Hermann Willié, reporter un peu écervelé du magazine HH-Press, les fameux Carnets d'Adolf Hitler. Avec ce prétendu journal intime du dictateur nazi, chacun flaire l'affaire de sa vie et la machine s'emballe…
Faussaire
L’interjection Schtonk ! est tirée du film Le dictateur de Chaplin, mot pseudo-germanique désignant quelque chose ou quelqu’un à interdire, voire à éradiquer. Le scénario de ce film est inspiré de l’histoire vraie d’un certain Konrad Kujau, qui avait commencé, au début des années 1970, à vendre en RFA des objets de l’époque nazie qu’il allait chercher en RDA. Peintre, il représentait aussi ses clients dans des scènes de guerre. Plus tard, il a décidé de contrefaire des écrits de dignitaires nazis, avant de se lancer dans sa plus ambitieuse opération : ces fameux Carnets d'Adolf Hitler, rédigés à partir de 1976 et acquis dans des conditions rocambolesques par un journaliste du Stern en vue d’une publication en 1983.
Dans les années 1980, à Melbourne, l'ascension de deux journalistes sur le point de devenir des stars de l'info. La série australienne The Newsreader dévoile les coulisses d’un journal télévisé tout en portant un regard acéré sur la société australienne de l'époque.
Épisode 1
Melbourne, janvier 1986, dans les coulisses de l’émission News at Six : le jeune reporter Dale Jennings rêve d’occuper le devant de la scène, tandis que Helen Norville, coprésentatrice des informations du soir, souffre de la présence paternaliste de son partenaire Geoff Walters, un journaliste de la vieille école. Lorsque le directeur de l’émission demande à Dale de faire équipe avec Helen pour contenir ses ambitions, le jeune homme accepte dans l’espoir d’accéder à une promotion. Leur relation se transforme en une alliance fragile à la faveur de la tragique nouvelle de la semaine, l’explosion de la navette spatiale Challenger…
Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.
Ascenseur spatial, champignons zombies ou chèvres atomiques, tout s'éclaire en quelques minutes. Sous la plume de Marion Montaigne et avec la voix de François Morel, les quatre saisons de cette série animée démystifient la science avec un humour ravageur.
Épisode 1 - The taille is the limit
Godzilla, King Kong, qui sont plus grands que le plus grand des dinosaures, pourraient-ils exister en vrai et détruire le monde ? Pour le professeur Moustache, il n’y a pas de question stupide ! Dix ans après sa première saison, la série d’animation scientifico-trash adaptée des bandes dessinées de Marion Montaigne revient avec une quatrième salve d'épisodes inédits.
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Du Mali au Niger, du Burkina Faso à la Centrafrique, les troupes françaises sont désormais priées de partir. Quelle place la France peut-elle encore espérer tenir sur ce continent stratégique ? Et quel avenir pour les liens tissés au fil des décennies ?
Dans ce numéro du Dessous des cartes, nous remontons le fil d’une relation longue et complexe entre la France et ses anciennes colonies africaines. Une relation post-coloniale, marquée par la "Françafrique", aujourd’hui remise en cause par une nouvelle génération de dirigeants en France comme en Afrique, mais aussi par l’émergence de nouvelles puissances, la Russie et la Chine notamment.
Ils passent dix jours dans la ville assiégée. Une expérience déchirante retracée par Anastasiia Falileieva. Prix du meilleur film d'animation au festival de Clermont-Ferrand 2025.
Et aussi incroyable que cela puisse paraître, nous n'avions encore jamais consacré un sujet à l'acteur dans Blow Up. Voici ces deux anomalies réparées pour la venue sur la Croisette de Denzel Washington pour présenter Highest 2 Lowest de Spike Lee.
Cinéaste surdoué, Steven Spielberg marque de son empreinte le cinéma depuis plus d’un demi-siècle. Exhumant des archives méconnues, Michaël Prazan met en lumière les éléments autobiographiques dont il a nourri son œuvre foisonnante.
À l’en croire, tout a commencé au début des années 1950 quand son père l’a emmené voir Sous le plus grand chapiteau du monde de Cecil B. DeMille. Émerveillé par le spectaculaire accident ferroviaire du film, le petit Steven ne s’est pas contenté d’en reproduire d’autres avec son premier train électrique : s’emparant de la caméra Brownie 8 mm paternelle, il s’est amusé aussi à les filmer. "Le frisson coupable que j’ai ressenti à ce moment-là m'a entraîné vers un hobby qui est ensuite devenu ma profession", confia le cinéaste bien des années plus tard. Né à Cincinnati en 1946 dans une famille de confession juive, dont l’explosion au moment du divorce de ses parents l’a longtemps laissé meurtri, Steven Spielberg se fait remarquer dès Duel, son premier film, tourné au départ pour la télévision et sorti en 1972. Malgré un tournage plus qu’épique, la traque du requin tueur des Dents de la mer qu’il orchestre ensuite, en 1975, va faire frémir la planète tout entière. Considéré comme le premier blockbuster de l’histoire du cinéma, le film lance sa carrière et plus rien ne l’arrêtera…
Une œuvre personnelle
Cinéaste surdoué, scénariste et producteur célébré, Steven Spielberg marque de son empreinte le septième art depuis plus d’un demi-siècle. Entre Duel et The Fabelmans (2022), le cinéaste a conquis en une trentaine de longs métrages tout à la fois le public, la critique et ses pairs. Cet enfant gâté du cinéma a déployé son talent dans de multiples genres, du film d’horreur à la fresque historique, du drame intimiste au thriller politique, du film de guerre à la comédie d’aventure. Au travers d’archives méconnues, d’extraits et de making of de ses films ainsi que d’entretiens que le cinéaste a accordés tout au long de sa carrière, Michaël Prazan (La passeuse des Aubrais, 1942) met en lumière les joies et les blessures de jeunesse, les peurs et les rêves qui ont contribué à façonner une œuvre bien plus autobiographique qu’il n’y paraît.