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Alma, brillante scientifique, se révèle être une parfaite candidate pour se prêter à une expérience : pendant trois semaines, elle doit vivre avec Tom, un robot à l’apparence humaine parfaite, spécialement programmé pour correspondre à sa définition de l’homme idéal. Son existence ne doit servir qu’un seul but : rendre Alma heureuse.

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Éloigné de celle qu’il aime depuis 82 jours, Adam est prêt à tout pour braver la distance qui les sépare…

Palme d'Or du court métrage Cannes 2020

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Soixante-dix ans de carrière devant et derrière la caméra, toujours actif à 90 ans passés, Clint Eastwood est la dernière légende de Hollywood. Retour sur ce parcours unique à travers un portrait qui explore toute la complexité du mythe.

Un visage anguleux sillonné par les rides, le regard froncé sous le chapeau, souligné par un rictus reconnaissable entre mille : cette image appartient désormais à l’imaginaire collectif. Si elle semble immémoriale, elle est en réalité moins figée qu’il n’y paraît. Du gentil cow-boy de ses débuts télévisés au mercenaire cynique des westerns de Sergio Leone, du flic tordu de Dirty Harry au photographe romantique de Sur la route de Madison, et jusqu’au vieil homme de ses derniers films, Clint Eastwood a incarné un éventail de personnages surprenant… tout en restant lui-même. Son parcours est à son image : en mouvement, ouvert aux chemins de traverse, libre et riche de multiples facettes.

Coup de jeune pour le vieux Clint

C’est un drôle de paradoxe. Clint Eastwood est une légende, sans aucun doute. Mais à 92 ans, il continue de tourner, bon an mal an, se rappelant régulièrement à notre souvenir, faisant toujours partie de notre paysage. Si bien qu’on en oublie parfois le mythe… Le documentaire de Clélia Cohen vient lui donner un coup de jeune bienvenu en remontant à la source. Au son des musiques qui ont accompagné ses métamorphoses, l'icône reprend vie à travers un réjouissant montage d’extraits de films, de reportages et d’interviews d’époque qui mettent en relief les aspects exemplaires de son parcours, comme ses ambiguïtés. La route, le jazz, l’humour, la quête d’une communauté harmonieuse croisent la violence, la solitude et la conscience du vieillissement dans un portrait passionné qui rappelle l’importance de son œuvre humaniste, antimanichéenne, marquée par un mélange unique de classicisme et de modernité.

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Avec, pour fil rouge, douze autoportraits novateurs, ce film retrace la carrière flamboyante de ce génie de la Renaissance, qui fit émerger la figure de l’artiste. 

Né en 1471 à Nuremberg, au cœur du Saint Empire romain germanique, sous d’excellents auspices, comme en témoigne le thème astral qu’il fera réaliser plus tard, Albrecht Dürer se distingue par son talent précoce. À 13 ans, il dessine son premier autoportrait à l’aide d’un miroir convexe, dont il corrige la vision déformée. À 15 ans, il ose quitter l’atelier d’orfèvrerie de son père pour rejoindre celui du peintre Michael Wolgemut. Le jeune Dürer se passionne pour la gravure, une technique née cinquante ans plus tôt, qui favorise une large diffusion des œuvres. Plusieurs longs séjours à Bâle et surtout à Venise, où il étudiera la perspective et les maîtres du Quattrocento, ainsi qu’un beau mariage, dont il fera fort peu de cas, permettront à l’artiste de s’affirmer.  

Éclairants "selfies" 

Précurseur, Dürer a usé de l’aquarelle comme d’un appareil photo pour immortaliser ce qu’il voyait lors de ses voyages. Il a publié le premier best-seller, une tumultueuse et éblouissante Apocalypse, et inventé, pour protéger ses œuvres de la contrefaçon, un monogramme évoquant les actuels logos. Prenant pour fil conducteur ses autoportraits, le film montre aussi qu’en faisant le choix audacieux de se représenter lui-même, Dürer a forgé, dès la Renaissance, une nouvelle figure, celle de l’artiste. Chacun de ses douze "selfies avant l’heure" révèle une facette de lui et un pas franchi pour affirmer son identité, qu’il se mette en scène en jeune homme prometteur, en artiste au travail, en démiurge chrétien ou en homme tourmenté, dans une poignante et ultime tentative d’introspection, en 1522, six ans avant sa mort. Nourri d’interventions de conservateurs et d’historiens de l’art, ce documentaire scrute amoureusement les toiles, gravures, dessins et aquarelles du maître, révélant à travers chaque détail l’extraordinaire finesse de son trait et la modernité de son regard. 


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Censure, atermoiements et ratés ont jalonné les premiers mois de la propagation du Covid-19 à travers le monde. Avec de hauts responsables politiques et des dirigeants d’organismes de santé, cette enquête répertorie les "occasions manquées".

Entre la découverte, mi-décembre 2019, des premiers cas de Covid-19 à Wuhan et la publication, sur Internet, du séquençage génétique du virus, jusqu’alors gardé secret par Pékin, par deux virologues chinois et australien le 11 janvier, il s’écoule environ trois semaines : un précieux temps perdu. Mi-janvier, tandis qu’elle cherche à se rendre en Chine pour recueillir plus d’informations sur le virus, l’OMS choisit de ne pas déclarer l’urgence internationale par crainte de froisser l’Empire du Milieu. En France, malgré le confinement décrété à Wuhan, le gouvernement se veut rassurant. Mais, quelques heures après la déclaration le 24 janvier de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, trois cas sont confirmés dans le pays. Si les ministres de la Santé européens se réunissent le 13 février, aucune restriction de voyages ni de quarantaine n’est prévue pour les passagers en provenance de Chine. Fin février, en manque de tests, l’Italie, qui n’a pas pris la mesure de la propagation du virus, perd le contrôle. En France, faute de suivi des stocks de masques depuis les années 2010, le gouvernement, contrairement à ce qu’il affirme, ne peut répondre qu’à 10 % des besoins et ne dispose d’aucune réserve pour les soignants. Mais ce n’est pas pour cette seule raison qu’il va se résoudre à imposer le confinement à partir du 17 mars 2020. À ce jour, les Vingt-Sept ne sont toujours pas parvenus à définir une politique sanitaire commune.

Rapports de force

Formidablement documentée, cette enquête recense toutes les "occasions manquées" au cours des cent premiers jours de l’épidémie de Covid-19 pour la contenir. Interrogeant des dirigeants d’organismes de santé et d’instances internationales ainsi que de hauts responsables politiques, dont les anciens ministres de la Santé français Agnès Buzyn et Olivier Véran – lequel fait son mea culpa au sujet des masques dans son livre Par-delà les vagues (éd. Robert Laffont) –, ses auteurs évaluent les rapports de force lors de cette période charnière et s’interrogent sur les communications officielles des pays concernés comme sur leur absence de réactivité.

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L’officier procède alors avec méthode à sa palpation, devant les yeux consternés et gênés de son amie.

Grand prix au festival de Clermont-Ferrand.

Grand prix au festival de Winterthur.

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Royaume de France, au début du XVIIIe siècle. Jeune homme discret, et probablement trop pour certains membres de son entourage, Mathurin Milan finit par payer un lourd tribut à ce comportement trop erratique pour le commun des mortels. Conscient du danger, le jeune homme se voit contraint de prendre la fuite à travers bois, tentant en vain d'échapper à une Maréchaussée qui lui met bientôt la main dessus. Jugée scandaleuse, la singularité de cette existence parsemée de séquences marquées par une délicatesse qui l'éloigna lentement mais sûrement du monde des hommes provoque son internement à l'hôpital de Charenton le 31 août 1707...

D’après l’ouvrage de Michel Foucault, la chute d’un homme condamné pour infamie.

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Terrance est père célibataire et se bat pour empêcher que sa fille de 9 ans ne soit placée en famille d'accueil par les services sociaux. Il se retrouve coincé par un dilemme mortel suite à une dette liée à un trafiquant d'êtres humains notoire. Incapable de rembourser l'argent, Terrance est contraint de régler sa dette en exploitant trois jeunes femmes innocentes qui doivent se prostituer.
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Fille mère, déesse, reine du ciel, guerrière… Depuis deux mille ans, Marie a pris d’innombrables visages. Tour à tour politique, muse ou protectrice, cette Vierge bénie entre toutes les femmes raconte en creux l’histoire des sociétés qui la vénèrent.  

Par le truchement de Marie
Marie a-t-elle encore quelque chose à nous dire ? C’est la question posée par la réalisatrice Isabelle Brocard qui s’appuie pour y répondre sur les éclairages d’un large éventail de spécialistes : théologiens, historiens de l’art, conservateurs de musée, psychanalystes, anthropologues… À travers deux épisodes retraçant près de deux mille ans d’histoire, elle interroge le visage sibyllin et protéiforme de la mère de Jésus, détaillant les différents rôles qu’elle a endossés à travers les siècles pour servir l’Église, les nations ou le patriarcat. On a fait dire à Marie ce qu’on voulait, explique la réalisatrice, qui ausculte cette figure éminemment plastique, reflet des peuples qui lui vouent un culte et réceptacle des représentations que chacun mobilise en fonction des contextes et des besoins. Avant qu’elle devienne une égérie de la pop culture et une source d’inspiration pour les artistes contemporains qui vont donner une voix libre et singulière à cette icône jusque-là silencieuse...

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Depuis près d’un demi-siècle, Kathryn Bigelow, oscarisée en 2010 pour Démineurs, subvertit les codes du film de genre pour explorer les multiples facettes de la violence masculine. Mêlant interviews de professionnels américains du cinéma et extraits de films, le décryptage d’une œuvre coup de poing.

"Kathryn explore des mondes dominés par les hommes où la violence, le danger physique et la prise de risque sont omniprésents", relève Christopher Kyle, le scénariste de "K19" – Le piège des profondeurs. Depuis son premier court métrage, The Set-Up, en 1978, qu’elle réalise après des études d’art à San Francisco, puis de cinéma à l’université Columbia, Kathryn Bigelow n’a eu de cesse de subvertir, dans le sang, la sueur et l’action, les codes du populaire et commercial cinéma de genre. Du film de vampires Aux frontières de l’aube (1987) au drame historique Detroit (2017), en passant par le polar d’action Point Break (1991), la fable SF Strange Days (1995), le film d’action Zero Dark Thirty (2012) ou le thriller Blue Steel (1990), dans lequel son héroïne flic, interprétée par Jamie Lee Curtis, "trace son chemin au sein d’un bastion emblématique du patriarcat", selon la critique de cinéma Amy Taubin, celle qui a été la première femme à recevoir en 2010 l’Oscar de la meilleure réalisation pour Démineurs a su s’imposer "comme femme à Hollywood, une sphère dominée par les hommes", estime son ami de jeunesse, le réalisateur Michael Oblowitz, avec des films coups de poing qui sont comme autant de miroirs tendus à la brutale société américaine.

Très secrète cinéaste

Parce que "Kathryn Bigelow n’a jamais répondu à nos sollicitations, ni aux lettres, ni aux e-mails, ni aux demandes de son agent", dit Michèle Dominici (Simone Signoret – Figure libre), cette dernière a habilement contourné l’obstacle en sollicitant des professionnels américains du cinéma (critique, scénariste, chef opérateur, monteur, actrice…) qui ont collaboré avec elle au fil de sa carrière. Traquant "les intentions les plus cachées, les convictions les plus profondes" de la secrète cinéaste, née en 1951, qui considère les réalisatrices Ida Lupino et Dorothy Arzner comme ses mentors, un décryptage éclairant de son œuvre nourri d’extraits de ses films et ponctué d’une interview en archive dans laquelle la cinéaste, qui fut brièvement l’épouse de James Cameron, autre géant de Hollywood, livre des éléments clés sur son travail et sa conception du cinéma.

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