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L'éternel voyage musical de Rusan Filiztek, acteur de la tradition vivante du saz ! Joueur de saz, le luth à manche long de l'Asie Mineure, chanteur, musicologue, Rusan Filiztek a beaucoup voyagé par les musiques, de son Anatolie natale à l'Istanbul de l'adolescence, puis à l'Irak et à la Syrie dont il a arpenté les musiques, avant d'arriver en Europe par l'Andalousie et de prendre la route de Paris. Pour son album Exils, il s'est entouré du guitariste flamenco François Aria, le percussionniste Juan Manuel Cortes, le flûtiste celtique Sylvain Barou, le joueur de duduk arménien Artyom Minasyan, la violiste Marie-Suzanne de Loye, la chanteuse grecque Dafné Kritharas, la chanteuse flamenca Cécile Evrot, les bassistes jazz Leila Soldevila et Emrah Kaptan. Un très beau livre-disque comme seul Accords Croisés sait le faire.
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Dunya, le titre du premier album de Mustafa, magistralement conçu et d'une tendresse à couper le souffle, se traduit approximativement en arabe par "le monde avec tous ses défauts". C'est un sujet noble pour un jeune auteur-compositeur, mais comme pour tous les thèmes au coeur de l'oeuvre de l'artiste canadien d'origine soudanaise - de la dévotion religieuse aux traumatismes de l'enfance, de la violence des gangs à l'intimité romantique - il l'aborde à travers une optique personnelle. Mélangeant les genres et les ambiances, tissant des détails romanesques dans des chansons folk instantanément mémorables, il a créé un album qui ressemble à une série de révélations personnelles, arrivant l'une après l'autre. Avec une voix feutrée capable de faire taire son entourage, Mustafa est passé rapidement du statut d'enfant prodige récitant des poèmes dans sa ville natale de Toronto à celui d'auteur-compositeur derrière de grandes chansons pop. Sur Dunya, il devient un auteur à part entière. Avec des apparitions de collaborateurs tels qu'Aaron Dessner, Rosalia, Clairo, Nicolas Jaar et bien d'autres, ainsi que Simon Hessmann, partenaire créatif de longue date de Mustafa, la musique révèle une voix confiante et distinctive qui n'a jamais semblé aussi prête à s'adresser au grand public.
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Les membres principaux de Jaubi sont de véritables maîtres dans leur domaine, issus d'une riche lignée de musiciens accomplis. Kashif Ali Dhani est un maître de tabla de formation classique du gharana du Pendjab, et est l'accompagnateur de choix sur la scène locale pour certains des plus grands chanteurs et instrumentistes classiques du Pakistan, ainsi qu'en Europe et aux États-Unis. Zohaib Hassan Khan est un maître de sarangi de la 7ème génération, qui s'est produit dans le monde entier, et est l'un des trois seuls joueurs de sarangi professionnels restants au Pakistan. Le multi-instrumentiste, compositeur et chef d'orchestre de Jaubi, Ali Riaz Baqar, alias Ila Zair, a commencé son parcours musical en tant que passionné de hip-hop, évoluant vers un guitariste de jazz après avoir été exposé à la riche culture de l'échantillonnage du genre. Il est ensuite devenu un disciple du gharana Senia-Shahjahanpur, une lignée de musiciens spécialisés dans le sarod. Son jeu se concentre désormais sur la fusion de la musique classique de l'Inde du Nord avec l'harmonie du jazz moderne sur une guitare électrique traditionnelle à 6 cordes non altérée. La collaboration entre le groupe principal et les collaborateurs plus larges remonte à avril 2019, lorsque le fondateur du label 22A et multi-instrumentiste Tenderlonious et le maître des claviers et synthétiseurs d'EABS/Bloto Marek " Latarnik " Pedziwiatr se sont rendus à Lahore, au Pakistan, pour participer à des séances d'enregistrement improvisées avec Jaubi. Un disque aventureux et absorbant, " A Sound Heart ", est le prochain chapitre de Jaubi, à la fois sonore et spirituel. Le titre est inspiré d'un verset du Saint Coran (26:89), où l'on vient à Dieu avec un coeur spirituel ou sain (Qalb) qui est sincère, sans doutes et libre d'attachements matérialistes. L'album agit également comme un hommage aux héros tombés au combat, rendant hommage à la grandeur qui les a précédés, jetant une nouvelle lumière via la collaboration interculturelle et l'improvisation.Tout au long de cet incroyable voyage, des ragas méditatifs se mêlent à des motifs à la Herbie Hancock, rejoints par des mélodies contemporaines remplies de lamentations s'entrelaçant avec les sons complexes du sarangi et la superposition terrestre du tabla. Un véritable chef-d'oeuvre de composition du début à la fin.
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Gabi Hartmann, c'est l'univers atypique d'une artiste qui brouille les styles entre pop, folk, jazz, soul et world. Elle chante ce qui l'inspire dans plusieurs langues, en échappant aux catégories. Elle a su imposer son style bien à elle, mais aussi son émotion ambiguë : une voix au timbre chaud et clair, à la fois douce, mélancolique et apaisante. Son premier album éponyme, sorti en 2023, a été écouté plus de vingt millions fois et vendu à plus de 15 000 exemplaires (la meilleure vente Jazz/World en France de l'année) et lui a valu de gagner le Gold Disk Award de la meilleure nouvelle artiste internationale au Japon, ainsi que de belles distinctions dans la presse française et mondiale, et enchaine plusieurs dates à guichets fermés (aux Francofolies de la Rochelle, à la Seine Musicale et à la Cigale). Aujourd'hui, Gabi nous revient avec son deuxième album intitulé La femme aux yeux de sel. Cet album s'ouvre avec une comptine qui raconte l'histoire d'une femme du nom de Salinda, habitante d'une île rêvée, dont les yeux de sel fondent à chaque larme versée. Pour soigner ses yeux, elle part en voyage à la recherche des secrets du sel. L'album serait-il le petit miroir de ce conte ? Gabi s'y découvre et grandit à travers les chansons, apprenant à se connaître en questionnant à la fois le monde qui l'entoure et son monde intérieur, tout comme ses expériences de vie de femme. Elle raconte surtout ses émotions : la joie de ses voyages et la difficulté à s'ouvrir aux autres, la mélancolie qui la guette, la colère face à un monde malade, la souffrance, l'angoisse, puis l'émerveillement de la nature qui la soigne. Elle puise ses inspirations auprès de femmes artistes : Salinda est inspirée de la Rumba des îles extraite du film de Marguerite Duras India Song, (composée et arrangée avec Oan Kim). Elle rend hommage à la musique d'Amérique Latine et notamment aux voix féminines telles que celles de Mercedes Sosa, mais aussi de la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba qui l'inspire depuis des années. Enfin, cet album est le fruit de belles collaborations à la fois anciennes (Oan Kim et Jesse Harris) et nouvelles : on peut entendre la flûtiste syrienne Naïssam Jalal sur le morceau Le lever de Soleil, questionnant l'état du monde. Ce morceau, comme Love High et Ton monde secret, a été composé et réalisé avec le saxophoniste et compositeur Laurent Bardainne (qui a collaboré avec Camélia Jordana, Jeanne Added et November Ultra). On peut également reconnaître la création de Baptiste Trotignon, avec qui elle compose le morceau Mélancolie, magnifié par l'émotion et l'élégance des arrangements de cordes du compositeur brésilien Maycon Ananias. Avec sa mélancolie latente et son univers riche en couleurs et en rythmes, Gabi rend peu à peu poreuses les frontières entre les époques et les styles pour y écrire un monde onirique bien à elle. C'est le secret de ce disque personnel aux multiples facettes, exigeant et accessible dans le même souffle.
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Pour son dixième album chez Signum Classics, l'Armonico Consort dirigé par Christopher Monks revient avec deux oeuvres de Francesco Scarlatti. Cet enregistrement a été réalisé à partir de nouvelles éditions des oeuvres (spécialement conçues pour cet enregistrement) qui suivent uniquement les partitions autographes. L'Armonico Consort a vu le jour en 2001, créé par Christopher Monks et un groupe de collègues universitaires animés d'une passion commune pour la musique de la Renaissance au Baroque et d'une imagination débordante pour trouver des moyens nouveaux et inhabituels de présenter des concerts. Le public a semblé apprécier leur approche engageante et imaginative, et la plupart des concerts des premières années se sont déroulés à guichets fermés.
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En 1906, Komitas donne un concert et une conférence à Paris. Debussy monte sur scène à l'issue du concert et s'agenouille devant le compositeur arménien (également prêtre, chanteur et pionnier de l'ethnomusicologie), s'exclamant : " Je m'incline devant votre génie, Saint Père. ". " Komitas est la voix de la terre d'Arménie, de ses églises et de ses pierres qui, pendant des siècles, sont restées muettes " poursuit le violoniste David Haroutunian. Avec la mezzo-soprano Eva Zaïcik, qui s'est prise de passion pour ces mélodies et la pianiste Xénia Maliarevitch, ils rendent hommage à ce grand musicien, ainsi qu'au compositeur franco-arménien Garbis Aprikian, aujourd'hui âgé de 96 ans. Héritier de Komitas, élève d'Olivier Messiaen, il a largement contribué à diffuser, en France et au-delà, la musique arménienne, autant classique que populaire. Son Lamento ouvre l'album, belle évocation et touchante révérence à Komitas.
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"Ce premier concert offre un programme musical autour des racines de Bach, tout ce carrefour d’influences dont le jeune Jean-Sébastien s’est nourri. On y redécouvre des compositeurs dont la musique est d’une profondeur et d’une vérité extraordinaires ; je pense à par exemple à Philipp Erlebach, Nicolaus Bruhns, Daniel Speer, Johann Christoph Bach… " - Raphaël Pichon.

Avec Sabine Devieilhe, Maïlys de Villoutreys, Perrine Devillers, Lucile Richardot, Paul-Antoine Benos-Djian, Laurence Kilsby, Antonin Rondepierre, Tomáš Král, Christian Immler et Renaud Brès.

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Portrait d’une immense artiste et d’une icône à l’irrésistible espièglerie. 

Depuis près de soixante ans, elle enchante l’Amérique à coups de hits devenus planétaires, de "Jolene", reconverti brûlot indie rock par les White Stripes, à "I Will Always Love You", dont la reprise par Whitney Houston reste la chanson d’une artiste femme la plus vendue de tous les temps. Choucroute peroxydée et combinaisons moulantes à paillettes, la reine absolue de la country a su en outre s’attirer tous les suffrages par ses aphorismes – les "dollismes" – et sa générosité de businesswoman philanthrope. Immense auteure-compositrice-interprète autant que virtuose de l’autodérision – "Ça coûte cher d’avoir l’air bas de gamme !" –, Dolly Parton, née en 1946, grandit en Cendrillon dans un cabanon sans eau ni électricité des Appalaches auprès de onze frères et sœurs, avant d’emporter, à 17 ans, sa voix de soprano, sa guitare et son rêve de devenir star dans un car pour Nashville. Sûre de son talent, celle qui d’emblée prévient "Just because I'm blonde, don't think I'm dumb" ("Juste parce que je suis blonde, ne crois pas que je suis idiote") s’émancipe vite de ses pygmalions pour écrire trois mille chansons et vendre cent millions de disques au cours d’une carrière hors norme. Jouant de sa caricature, l’autoproclamée Backwoods Barbie ("Barbie de la cambrousse"), titre d’un album de 1967, s’honore de servir de modèle aux drag-queens : "Si j’avais été un garçon, j’en aurais été une, c’est sûr"… Plus équitable qu’engagée, mais surtout courageuse et maligne, Dolly, qui a ouvert un parc d’attractions à son nom dans le Tennessee, sait faire entendre la voix de la tolérance. En plein mouvement Black Lives Matter, cette fille du Sud profond rappelle ainsi : "Il n’y a pas que nos petits culs de blancs qui comptent." Taylor Swift, qui se réclame de son héritage, raconte que, lors d’un concert, son aînée pré #MeToo aurait taclé un importun qui lui hurlait sa flamme d’un sobre : "Je t’avais dit de rester dans le camion."
 

"Mae West de Nashville" 
Retraçant la flamboyante carrière de cette légende vivante de la country – vénérée par Beyoncé qui, à son tour, a repris "Jolene" –, ce documentaire montre comment Dolly Parton, icône queer, a su conjuguer extrême artificialité et vraie profondeur. Car derrière ses extravagants costumes et son maquillage outrancier, la "Mae West de Nashville", attachée à ses Appalaches natales, raconte dans ses textes son intimité et sait y insuffler la gravité d’enjeux de société. Avec sa musique, un inébranlable optimisme qui voile sa mélancolie, et son espièglerie, "sainte Dolly" réussit à fédérer une Amérique fracturée, ralliant à sa bannière colorée Blancs et Noirs, progressistes et conservateurs. Féministe par le parcours plus que par le discours, elle s’investit dans de justes causes, pourvoyant en bibliothèques les enfants privés de livres ou participant en 2020 au financement  de la recherche sur le vaccin contre le Covid-19. Au fil de ses apparitions télévisées explosives et en chansons, le réjouissant portrait d’un phénomène attachant qui n'a jamais rendu de comptes qu’à Dieu. 

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