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Le western-spaghetti est né avec le duo que ce l'acteur italo-allemand a formé avec Carlo Pedersoli, alias Bud Spencer. Hanté par le bombardement de Dresde, qu’il a vécu à 4 ans, il se refusait à glorifier la violence et à se prendre au sérieux. Rencontre avec Terence Hill, qui a vaincu grâce au cinéma sa timidité et ses tourments.
Lorsqu’elle annonce la nouvelle à ses deux fils, le benjamin la croit et la soutient, l’aîné se range avec colère du côté de son père. Série dramatique sous tension entre huis clos intime et processus judiciaire, “Querer” a obtenu le Grand Prix au festival Séries Mania 2025.
Épisode 1
À 53 ans et après plus de trente ans de mariage, Miren quitte le domicile familial sans crier gare. Aux côtés de sa jeune avocate Paula, elle dépose officiellement plainte pour viol contre son mari Iñigo, et demande le divorce. Mère de deux garçons, Aitor, 31 ans, et Jon, 24 ans, elle leur annonce simultanément la nouvelle. Là où le benjamin croit sa mère, l’aîné se range avec colère du côté de son père.
Retrouver tous les épisodes de la série en cliquant ici.
Son amour de Shakespeare la conduit à apprendre le système d’encodage baconien. Un premier pas vers une vie consacrée à décoder des milliers de messages. Elizebeth S. Friedman a aidé à arrêter Al Capone, sauvé le Queen Mary, démantelé un réseau d’espionnage nazi et déchiffré la machine Enigma, utilisée par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale – succès que s’attribua J. Edgar Hoover, directeur du FBI. Ses travaux connaîtront une notoriété posthume.
Des pans entiers de la faune disparaissent à un rythme sans précédent sur tous les continents. Quels sont les grands foyers de disparition ? Que révèle la carte mondiale des espèces menacées ? Et que pouvons-nous encore sauver ?
Lorsqu’un mignon petit pug brun fait ses cabrioles dans son jardin, il s’en amuse. Progressivement, les animaux bruns envahissent les foyers des gens autour de Charly et prennent le contrôle de leur vie...
Ce beau portrait fait la chronique d’une trajectoire semée d’embûches autant que porteuse d’espoir.
D’aussi longtemps que remontent ses souvenirs, Sapir Berman a toujours rêvé en secret d’être une fille. C’est en tant que jeune homme, pourtant peu à l’aise dans son corps, qu’elle s’engage dans une carrière de footballeur, puis d’arbitre en Israël. Après son coming-out, en 2021 – une décision mûrie à la faveur du confinement –, elle entame une transition de genre, sociale, puis médicale. Indispensable à sa "deuxième naissance", le protocole de soins menace pourtant de saborder sa carrière montante dans le sport de haut niveau : les bloqueurs de testostérone qu’elle prend pendant un an, dans l’attente des opérations qu’elle s’apprête à subir, transforment son corps et réduisent considérablement ses performances physiques… Malgré les déconvenues, Sapir n’entend pas, pourtant, renoncer à son rêve.
Modèle malgré elle
De jeune arbitre anonyme, Sapir Berman est devenue une icône en Israël, et dans la communauté LGBTQIA+ internationale, en s’imposant à 26 ans comme la première femme trans au monde à arbitrer un match de football professionnel. Au plus près de son sujet, ce beau portrait retrace un itinéraire semé des embûches inhérentes à tout parcours de transition, encore complexifié par les enjeux d’un métier où prévalent de stricts critères de performance et des codes de virilité persistants. Le documentaire de Liran Atzmor montre ce processus sous un angle résolument optimiste, porteur d’espoir : s’affranchissant des quolibets qu’elle peut toujours essuyer, Sapir bénéficie du soutien sans faille d’une famille aimante et d’un entourage professionnel ouvert aux évolutions. Et si sa notoriété nouvelle fait d’elle un modèle, une source d’inspiration pour la communauté qu’elle représente, c’est presque malgré elle : ce qui compte avant tout pour Sapir, c’est de s’épanouir dans son corps et dans son métier.
Après une décennie de croissance fulgurante, le bio traverse une crise sans précédent, liée à une massification semblable à celle de l’agriculture intensive. Enquête sur un modèle à bout de souffle.
Longtemps, l’agriculture biologique a surfé sur son excellente image – celle d’exploitations familiales, respectueuses de l’environnement et du bien-être animal, garantes d’une alimentation plus saine – pour séduire des consommateurs rebutés par les excès de l’agro-industrie. Mais après une décennie de croissance fulgurante, qui a vu doubler la consommation mondiale de produits estampillés bio, les ventes s’effondrent. Si l’inflation a poussé les budgets modestes à renoncer à ces denrées vendues jusqu’à 30 % plus cher, la conjoncture économique n’est pas seule responsable : on assiste désormais à une crise de confiance entre consommateurs et producteurs. Pour accompagner sa croissance, le secteur s’est massivement industrialisé, parfois sous la pression des lobbys de l'agrobusiness. Les hypermarchés ont, quant à eux, pris la place des enseignes spécialisées comme principaux distributeurs de produits siglés "AB", achevant de brouiller les cartes quant aux valeurs réellement défendues par les représentants du secteur…
Déconversions
Après Hypermarchés, la chute de l'empire (2022), le journaliste d’investigation Rémi Delescluse s’attaque cette fois à un autre modèle jadis florissant, dont la massification signe le début de la chute. Des serres espagnoles jusqu’aux rayonnages des supermarchés, il débusque dans cette enquête rigoureuse les aberrations, les dérives et les scandales – mais aussi les angles morts de la réglementation européenne, notamment concernant l’usage des "biopesticides" – qui ont contribué à accélérer le désamour des consommateurs. Les petits exploitants, qui avaient jadis embrassé avec enthousiasme une pratique proche de leurs convictions, en sont les premières victimes. Car, écrasés par la concurrence des grandes exploitations bio, aux processus industrialisés directement inspirés de l’élevage conventionnel, ils prennent aujourd’hui massivement le chemin de la "déconversion". D’autres se lancent dans la création de nouveaux labels plus exigeants, qui privilégient le local, le respect de la saisonnalité et offrent des garanties plus strictes en matière de bien-être animal, de revenus des exploitants ou d’usage des pesticides – en bref, fidèles à la philosophie originelle qui a fait l’immense popularité de ce modèle, indissociable de l'avenir de notre planète.