Le cinquième album des géants du shoegaze Slowdive contient une dualité, un langage familier se mêlant à l'exaltation de nouveaux débuts. Everything is alive rayonne et nous transporte, il est le fruit du travail d'un groupe classique qui continue de projeter sa voix inimitable vers l'avenir. Il est dédié à la mère de Rachel Goswell et au père de Simon Scott, tous deux décédés en 2020. Ces bouleversements se reflètent dans la tonalité émotionnelle de la musique de Slowdive ; chaque note est posée, réfléchie et résolument porteuse d'espoir. Le nouvel enregistrement a commencé avec Neil Halstead dans le rôle de compositeur et de producteur, travaillant sur des démos chez lui. Expérimentant avec des synthétiseurs modulaires, il a initialement conçu Everything is alive comme un enregistrement électronique plus minimaliste. La prise de décision collective de Slowdive a finalement ramené le groupe vers leurs guitares saturées de réverbération, mais ce premier concept s'est infiltré dans les compositions. Un processus d'enregistrement de plusieurs années a commencé à l'automne 2020 au Courtyard Studio, où ils ont historiquement enregistré, puis ils se sont installés à Oxfordshire, dans les Wolds de Lincolnshire, et sont retournés dans le propre studio de Neil en Cornouailles. Début 2022, le groupe a fait appel à Shawn Everett (The War On Drugs, Alvvays, SZA) pour mixer six des huit pistes de l'album. Everything is alive est exactement ce que son titre suggère : une exploration de la nature chatoyante de la vie et des points de contact universels qui s'y trouvent. En passant par des paysages sonores psychédéliques, des éléments électroniques très 80's et des sonorités inspirées par John Cale, l'album se présente immédiatement comme une oeuvre taillée pour le futur.

Les Pixies sont morts, vive les Breeders. Gros carton mondial, le second album du groupe voit la carrière du groupe exploser, notamment grâce au tube planétaire "Cannonball", grand classique des années 90. Il reste encore aujourd’hui l’album référence des Breeders.

Après le succès de ses quatre derniers projets et 4 Grammy Awards dont Album de l'année en 2020, le groupe Vampire Weekend présente son nouvel opus Only God Was Above Us. Largement inspiré par New York et enregistré à travers le monde entier (NY, LA, Londres, Tokyo), l'album est selon le chanteur Ezra Koenig sa propre version de " Dark Side of the Moon rencontrant Paul's Boutique ". Il a été produit par Ezra Koenig et son collaborateur de longue date Ariel Rechtshaid. Only God Was Above Us évoque des thèmes universels : l'envie de remettre en question le monde dans lequel nous vivons, la quête d'une paix qui ne peut être trouvée que par l'acceptation. L'album est à la fois aussi direct et complexe que tout ce que le groupe a sorti jusqu'à alors, aussi beau et mélodique que jamais, et montre Vampire Weekend à son meilleur. Le titre est tiré directement de la pochette de l'album, qui est une photo prise par le photographe Steven Siegel dans un métro fantôme du New Jersey en 1988.

Depuis leurs débuts en 2003, Kings of Leon (Caleb (guitare/chant), Nathan (batterie), Jared (basse) et Matthew Followill (guitare)) ont sorti huit albums et vendu plus de 20 millions d'albums et près de 40 millions de singles dans le monde entier. D'abord considérés comme les "Southern Strokes" pour leur réinvention du rock, les Kings of Leon se sont transformés en un groupe de rock de stades au cours des années 2000, percent avec Only by the Night en 2008, un album au succès colossal qui comprend les succès internationaux "Sex on Fire" et "Use Somebody". Élégants et hymniques, ces deux succès ne sont qu'un début pour le quatuor. En outre, le groupe a été nommé huit fois aux Grammy Awards, a remporté trois Grammy Awards, trois NME Awards, deux Brit Awards et un Juno Award.

Le légendaire groupe de rock californien de retour avec un sublime nouvel album Le groupe de rock EELS est connu pour être l'une des formations les plus prolifiques de ces 25 dernières années. Mené par l'incontournable Mark Oliver Everett - ils présentent en 2024 leur 15e album studio intitulé EELS TIME!. C'est déjà le quinzième long-format du groupe, enregistré entre Los Angeles et Dublin avec les complices de longue date de E : Koool G Murder, The Chet, Tyson Ritter et Sean Coleman. Naviguant avec aisance entre rock introspectif, pop orchestrale et productions folk plus intimistes, le songwriter et multi-instrumentiste nous revient avec une réflexion sur le temps et la maturité. Comme une rétrospective de ses trois décennies à émerveiller la scène indie rock américaine, le prolifique Mark Oliver Everett a composé après la période pandémique les douze titres de l'album EELS TIME!.

The Libertines, groupe culte du punk rock britannique des années 2000 composé de Pete Doherty, Carl Barât, John Hassall & Gary Powell, reviennent après 8 ans d'absence avec l'album 'All Quiet On The Eastern Esplanade'. Ce nouvel album, annonce le retour du groupe pour le printemps 2024. De retour avec un album composé en Jamaïque à l'hiver 2023, accompagnés du producteur Dimitri Tikovoï (The Horrors, Charli XCX, Backy Hill) et masterisé par Dan Grech (Lana Del Rey, Liam Gallagher, Paul McCartney). Selon Carl Barât c'est l'histoire entière de The Libertines qui a menée à la création de cet album : " Notre premier album est né de la panique et de l'incrédulité quant au fait d'être en studio ; le deuxième est né d'un conflit et de la misère ; le troisième est né de la complexité, celui-ci donne l'impression que nous étions tous au même endroit, à la même vitesse, et que nous nous sommes vraiment connectés. ".

Après le succès de ses quatre derniers projets et 4 Grammy awards dont Album de l'année en 2020, le groupe Vampire Weekend présente son nouvel opus Only god was above us. Largement inspiré par New York et enregistré à travers le monde entier (NY, LA, Londres, Tokyo), l'album est selon le chanteur Ezra Koenig sa propre version de "Dark Side of the Moon rencontrant Paul's Boutique". Il a été produit par Ezra Koenig et son collaborateur de longue date Ariel Rechtshaid. Only god was above us évoque des thèmes universels : l'envie de remettre en question le monde dans lequel nous vivons, la quête d'une paix qui ne peut être trouvée que par l'acceptation. L'album est à la fois aussi direct et complexe que tout ce que le groupe a sorti jusqu'à alors, aussi beau et mélodique que jamais, et montre Vampire Weekend à son meilleur. Le titre est tiré directement de la pochette de l'album, qui est une photo prise par le photographe Steven Siegel dans un métro fantôme du New Jersey en 1988.