Une quinzaine de tableaux de saintes peints par Zurbaran sont analysés par l'auteure qui s'interroge sur l'histoire derrière les costumes des modèles, des robes mondaines qui sont à mille lieues de leur condition. Elle dresse un parallèle entre l'oeuvre du peintre et celle du couturier C. Balenciaga, tous deux unis par un même dessein : une robe, une vie.