53 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Rose, 20 ans, vit à Montréal. Elle ne ment presque jamais. Elle a une élégance naturelle et une sincérité que possèdent peu de filles de son âge. Pourtant, ni ses amis ni son amoureux ne connaissent son lourd passé chargé de violence familiale. Après deux ans d’absence, elle revient voir sa mère et son frère Félix dans sa banlieue natale. Rien n’a changé : la résignation de la mère, le frère en difficulté, et le père qui les terrorise. Elle décide d’intervenir dans leur vie.
Piotr Tchaïkovski, né en 1840 en Russie, entreprit d'écrire ce qui serait sa dernière symphonie, la Symphonie n° 6 en si mineur dite La Pathétique, en 1893. La première de l'oeuvre, que le compositeur russe dirigea lui-même à Saint-Pétersbourg en octobre 1893, laissa le public indifférent. C'est pourtant aujourd'hui l'une des symphonies les plus jouées et les plus enregistrées au monde. La Pathétique est dotée de tous les attributs de l'oeuvre légendaire, ne serait-ce que parce que Tchaïkovski mourut quelques jours après l'avoir créée - officiellement du choléra. Les circonstances de sa composition ont longtemps été entourées de mystère. On pense aujourd'hui qu'elle a été inspirée au compositeur par sa passion malheureuse pour son neveu Vladimir, à qui elle est dédiée. Si l'on en croit les confidences de Tchaïkovski, la Pathétique est une oeuvre à clef. C'est en tout cas une partition à la forme nouvelle, qui se conclut sur un mouvement lent - cette innovation a longtemps choqué interprètes et auditeurs.
Le dollar est-il en péril ? Première puissance économique mondiale, les États-Unis sont aussi le pays le plus endetté de la planète.
Ce film enquête sur cette ardoise qui vaut aujourd’hui 8 000 milliards de dollars. “Le pays tout entier vit au-dessus de ses moyens”, constate Nouriel Roubini, professeur d’économie à la New York University. Malgré une Bourse au sommet, les citoyens américains ne s’enrichissent pas. Ils multiplient les cartes de crédit, afin de consommer toujours plus. Interviewés dans ce documentaire, certains d’entre eux racontent cette vie à crédit ou expriment leur révolte face à l’absurdité du système, comme cette vendeuse ambulante qui refuse de payer ses impôts. Interrogés aussi, les économistes s’inquiètent mais ne délivrent pas le même diagnostic.
Certains croient au dicton “Quand l’Amérique tousse, c’est le monde entier qui s’enrhume”, et annoncent une chute du dollar avec, à la clé, une grave crise mondiale. D’autres prévoient une récession en douceur qui diminuerait le niveau de la dette. Reste que la classe moyenne, dont le niveau de vie diminue, s’alarme. Elle assiste à la crise de certains secteurs de l’industrie américaine, comme celui de l’automobile, voit s’effondrer l’emploi et maintenant l’immobilier, avec des répercussions immédiates sur tous les crédits en cours et sur les fonds de garantie. De plus, les entreprises délocalisant pour produire à moindre coût, la Chine est l’un des principaux pays à produire pour les États-Unis et à leur avancer des fonds, finançant ainsi leur croissance. Un mécanisme sans fin qui risque de plonger l’Amérique dans le gouffre.
En 1987, le décès subit de Mario Formenton, qui dirige la première des maisons d'édition italiennes, la Mondadori, ouvre une bataille de succession entre deux des plus brillants hommes d'affaires du pays, Silvio Berlusconi et Carlo De Benedetti, tous deux actionnaires minoritaires. En décembre 1988, De Benedetti, signe un accord avec les héritiers qui lui garantit le contrôle des deux sociétés réunies. Un an plus tard, c'est le coup de théâtre : pour étendre son empire médiatique, Berlusconi convainc la veuve de Formenton de lui céder ses actions et s'empare de la présidence du groupe... C'est le début d'un très long feuilleton judiciaire où le chef de Forza Italia - qui a accédé au pouvoir une première fois en avril 1994, puis à nouveau en juin 2001, et a bénéficié d'un non-lieu pour prescription - va faire feu de tout bois pour éviter la condamnation de ses alliés. Y compris en faisant adopter des lois ad hoc par "ses" députés.
Sa survie ne tient qu'à quelques fils : entendre de l'autre côté de la cloison le cheval voisin se coucher dans la paille à la nuit tombée, attendre le jour et l'arrivée de Martine, auxiliaire de vie et exquise pousse-au-crime, puis celle du jeune Edmond, 17 ans, cavalier d'une grâce inouïe, dont la prestance n'a d'égale que l'économie de parole.
Au mystérieux orgasme féminin on a longtemps opposé la simplicité apparente du fonctionnement de la sexualité de l'homme. La question de l'orgasme masculin ne se poserait donc pas, puisque son équation est censée être connue de tous : excitation, érection, pénétration (ou masturbation), éjaculation. Mais l'orgasme masculin est-il aussi évident que le laisse à penser la description de ce mécanisme ? Cette vision simpliste du plaisir de l'homme n'est-elle pas illusoire ?
Pour de nombreux sexologues, la majorité des hommes n'expérimente en fait qu'une jouissance physique fugace. Obnubilés par le but final, ils en oublient leur plaisir en chemin. D'autres, libérés du culte de la performance, découvrent une volupté bien plus grande.Au centre de ce film, il y a la parole d'hommes, novices ou expérimentés, hétérosexuels ou homosexuels, fleur bleue ou don juans. Ils nous confient les mille et une nuances de leur plaisir. À travers leurs témoignages, l'orgasme masculin apparaît dans toute sa complexité.
Ces hommes parlent aussi du rôle prédominant des émotions dans la découverte du plaisir. "Chez les hommes, comme chez les femmes, le principal organe sexuel se situe dans la tête ! À l'origine d'un problème fonctionnel, il y a bien souvent un blocage émotionnel", explique le sexologue Sylvain Mimoun