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"Ce premier concert offre un programme musical autour des racines de Bach, tout ce carrefour d’influences dont le jeune Jean-Sébastien s’est nourri. On y redécouvre des compositeurs dont la musique est d’une profondeur et d’une vérité extraordinaires ; je pense à par exemple à Philipp Erlebach, Nicolaus Bruhns, Daniel Speer, Johann Christoph Bach… " - Raphaël Pichon.

Avec Sabine Devieilhe, Maïlys de Villoutreys, Perrine Devillers, Lucile Richardot, Paul-Antoine Benos-Djian, Laurence Kilsby, Antonin Rondepierre, Tomáš Král, Christian Immler et Renaud Brès.

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Portrait d’une immense artiste et d’une icône à l’irrésistible espièglerie. 

Depuis près de soixante ans, elle enchante l’Amérique à coups de hits devenus planétaires, de "Jolene", reconverti brûlot indie rock par les White Stripes, à "I Will Always Love You", dont la reprise par Whitney Houston reste la chanson d’une artiste femme la plus vendue de tous les temps. Choucroute peroxydée et combinaisons moulantes à paillettes, la reine absolue de la country a su en outre s’attirer tous les suffrages par ses aphorismes – les "dollismes" – et sa générosité de businesswoman philanthrope. Immense auteure-compositrice-interprète autant que virtuose de l’autodérision – "Ça coûte cher d’avoir l’air bas de gamme !" –, Dolly Parton, née en 1946, grandit en Cendrillon dans un cabanon sans eau ni électricité des Appalaches auprès de onze frères et sœurs, avant d’emporter, à 17 ans, sa voix de soprano, sa guitare et son rêve de devenir star dans un car pour Nashville. Sûre de son talent, celle qui d’emblée prévient "Just because I'm blonde, don't think I'm dumb" ("Juste parce que je suis blonde, ne crois pas que je suis idiote") s’émancipe vite de ses pygmalions pour écrire trois mille chansons et vendre cent millions de disques au cours d’une carrière hors norme. Jouant de sa caricature, l’autoproclamée Backwoods Barbie ("Barbie de la cambrousse"), titre d’un album de 1967, s’honore de servir de modèle aux drag-queens : "Si j’avais été un garçon, j’en aurais été une, c’est sûr"… Plus équitable qu’engagée, mais surtout courageuse et maligne, Dolly, qui a ouvert un parc d’attractions à son nom dans le Tennessee, sait faire entendre la voix de la tolérance. En plein mouvement Black Lives Matter, cette fille du Sud profond rappelle ainsi : "Il n’y a pas que nos petits culs de blancs qui comptent." Taylor Swift, qui se réclame de son héritage, raconte que, lors d’un concert, son aînée pré #MeToo aurait taclé un importun qui lui hurlait sa flamme d’un sobre : "Je t’avais dit de rester dans le camion."
 

"Mae West de Nashville" 
Retraçant la flamboyante carrière de cette légende vivante de la country – vénérée par Beyoncé qui, à son tour, a repris "Jolene" –, ce documentaire montre comment Dolly Parton, icône queer, a su conjuguer extrême artificialité et vraie profondeur. Car derrière ses extravagants costumes et son maquillage outrancier, la "Mae West de Nashville", attachée à ses Appalaches natales, raconte dans ses textes son intimité et sait y insuffler la gravité d’enjeux de société. Avec sa musique, un inébranlable optimisme qui voile sa mélancolie, et son espièglerie, "sainte Dolly" réussit à fédérer une Amérique fracturée, ralliant à sa bannière colorée Blancs et Noirs, progressistes et conservateurs. Féministe par le parcours plus que par le discours, elle s’investit dans de justes causes, pourvoyant en bibliothèques les enfants privés de livres ou participant en 2020 au financement  de la recherche sur le vaccin contre le Covid-19. Au fil de ses apparitions télévisées explosives et en chansons, le réjouissant portrait d’un phénomène attachant qui n'a jamais rendu de comptes qu’à Dieu. 

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Acteur, réalisateur, et plus récemment activiste… : Sean Penn sait tout faire. Élevé dans la contre-culture des sixties par des parents appartenant au milieu du cinéma – son père a été blacklisté sous le maccarthysme –, il y poursuit son chemin "un peu par hasard" une fois devenu jeune adulte. Il va y incarner une phénoménale galerie d’outsiders qui lui collent à la peau. Se tenant souvent à la frontière ténue qui sépare le jeu et la vraie vie, jusqu’à rejoindre la police de Los Angeles durant le tournage de Colors (1988), il choisit une trajectoire aux antipodes des rôles de jeunes premiers que sa belle gueule aurait pu lui offrir, se démarquant d’emblée d’autres acteurs de sa génération, comme Tom Cruise, qu’il croise à ses débuts dans Taps (1981). Profondément rétif au miroir lisse que l’industrie hollywoodienne s’emploie à tendre à l’Amérique, ce contestataire dans l’âme n'y trouve sa place que pour en brouiller l’image, et mettre en lumière les oubliés, les marginaux et les rebelles. Avec à la clé, entre autres, deux Oscars en 2004 et 2009 pour ses rôles de truand endeuillé dans Mystic River, de Clint Eastwood, et de militant pour la cause LGBT devenu maire dans Harvey Milk de Gus Van Sant. 
 
Wild Sean 
À la fois viscéralement américain et en rupture avec certaines valeurs de son pays, Sean Penn a embrassé la dégaine et le way of life du mauvais garçon pour mettre en lumière l’autre Amérique, celle qui prend la tangente, quitte à se perdre – à l’image du brillant diplômé Christopher McCandless, qui plaque tout pour partir seul sur la route, et dont il adapte l’histoire en 2007 dans Into the Wild. Dans sa vie, ses films et ses rôles, son choix résolu de la marge lui a permis de sillonner différentes strates de la société pour incarner tour à tour le vagabond et le dandy, le migrant et l’officier déviant, le libre-penseur et des créateurs de toutes sortes, mais toujours des fortes têtes. Brassant un riche matériau constitué d’extraits de films et d’entretiens d’archives, ce documentaire explore le profond désir de liberté de cet acteur et son rêve d’habiter une terre vierge, au sens propre comme au figuré.  

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Aventures rocambolesques et humour noir : une comédie "british" trépidante, emmenée par un casting haut en couleur : Oliver Reed, Diana Rigg, Telly Savalas, Curt Jurgens et Philippe Noiret.

Londres, début du XXe siècle. Une journaliste débutante, Sonya Winter, décide d’enquêter sur une mystérieuse organisation criminelle, le Bureau des assassinats. Son dirigeant, Ivan Dragomiloff, se targue d’agir pour le bien commun, n’acceptant que des missions dûment motivées sur le plan moral. La jeune femme le défie en lui commandant, en échange d’une forte somme d’argent, de se faire assassiner lui-même pour avoir péché par orgueil et cupidité. Dragomiloff, joueur, en profite pour mettre à l’épreuve les tueurs qui travaillent pour lui. Mais son associé, qui est également le commanditaire de l’enquête de Sonya, nourrit d’autres projets pour le Bureau…

Aventures à l’anglaise
Libre adaptation d’un roman inachevé de Jack London, remanié par l'auteur de polars Robert Lloyd Fish, cette comédie d’aventures au point de départ aussi tordu qu’original embarque le spectateur dans l’Europe de la Belle Époque, pour un voyage semé de morts loufoques et de surprises. Située à l’aube de la Première Guerre mondiale, l’intrigue tourne en dérision les organisations interétatiques et leurs luttes intestines à travers un joyeux jeu de massacre, sur un rythme et dans des décors qui évoquent les James Bond de l’époque. Deux des vedettes du film, Diana Rigg (la fameuse Emma Peel de Chapeau melon et bottes de cuir) et Telly Savalas, figurent d’ailleurs au casting d’Au service de sa Majesté, également sorti en 1969. Ils sont ici secondés par une troupe d’acteurs hauts en couleur – parmi lesquels Philippe Noiret –, qui s’en donnent à cœur joie dans la parodie. 

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Depuis la révolution de l’échographie, mise au point à Glasgow dans les années 1950, imagerie et tests de dépistage prénatals n’ont cessé de se perfectionner. Si ces avancées permettent de sauver des vies, elles suscitent également des interrogations profondes. Certains futurs parents se trouvent ainsi placés devant des choix déchirants, dont celui de garder ou non un enfant viable mais porteur d’un handicap, comme la trisomie 21, désormais détectée dès le premier trimestre de grossesse par une simple prise de sang. La situation s'avère plus complexe encore, pour le corps médical comme pour les futurs parents, si l’anomalie est décelée à la deuxième échographie, soit au-delà du délai légal pour pratiquer une intervention volontaire de grossesse. 
 
L’ombre de l’eugénisme 
Autour de médecins, de bioéthiciens et de parents douloureusement concernés par cette question, le film dresse un panorama des progrès fulgurants réalisés par la science en l’espace de moins d’un siècle, et de la panoplie d’outils aujourd’hui disponibles pour donner toutes ses chances à l’enfant à naître – de la chirurgie laser réalisée in utero aux échographies fœtales assistées par l’intelligence artificielle en passant par la fécondation in vitro avec diagnostic génétique préimplantatoire. Mais derrière ces techniques de pointe plane parfois l’ombre dangereuse de l’eugénisme. Face à la tentation de créer des bébés parfaits, voire "sur mesure", le défi majeur, aujourd’hui, n’est plus technique ni scientifique, mais bel et bien éthique… 

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Entre dure réalité du quartier et joyeuse complicité, Valérie Manns a suivi durant plus de deux ans la petite bande et ses mentors. 

Boujemaa, Moussa, Ladé, Doudou et Sofiane, la vingtaine, se connaissent depuis l’enfance. Ils ont grandi à Mantes-la-Jolie, dans la cité du Val Fourré, l’une des plus grandes d’Europe, à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Paris. Après avoir frayé avec la petite délinquance, ce “club des cinq” aspire à se tracer une autre voie. Mais comment croire en sa réussite quand l’entrée dans l’âge adulte charrie son lot de difficultés sociales et financières, et de démêlés judiciaires ? Deux médiateurs passés par la case prison les accompagnent dans leur quête : Yazid, 58 ans, ancien braqueur devenu professeur à l’université et fondateur d’une association dédiée aux jeunes des quartiers, et Youv, 43 ans, dont vingt derrière les barreaux, qui poursuit l’œuvre de son aîné avec une énergie débordante.  

Transmission 
Pendant plus de deux ans, Valérie Manns (L’énigme Charlotte Rampling) s’est immergée aux côtés de la petite bande, soudée par la musique et la même soif de s’en sortir. Comme leurs mentors, véritables icônes du Val Fourré, elle a recueilli leurs rêves et leurs doutes, et accompagné leur évolution sur le temps long. Captant les dures réalités de leur quotidien (criminalité, enfermement…) en même temps que leur complicité nourrie d’humour, son documentaire brosse le portrait sensible de trois générations qui se soutiennent pour continuer à espérer. 

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Série haletante et efficace, “Rwanda la couleur du sang”, explore sous l'angle du thriller les répercussions du génocide de 1994. 

Épisode 1

Kate, rescapée du génocide au Rwanda, a été adoptée et élevée en Angleterre par Eve Ashby, brillante avocate renommée pour ses efforts dans la poursuite des criminels de guerre rwandais. Après une pause due à des troubles post-traumatiques, Kate reprend son travail d’enquêtrice dans le cabinet d’Eve, lorsque celle-ci accepte de prendre en charge l’inculpation d’un ancien militaire tutsi, Simon Nyamoya, pour des faits commis en République démocratique du Congo. Mais Kate ne comprend pas qu’on accuse un homme qui s’est pourtant battu pour mettre fin au génocide… Directeur du cabinet juridique et proche ami d’Eve, avec qui il a travaillé dans l’aide humanitaire au Rwanda en 1994, Michael Ennis s’efforce de la convaincre du bien-fondé de ce choix.

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Ramy Youssef orchestre avec un humour corrosif une sitcom semi-autobiographique sur un jeune homme en quête de sens. Une ode à la tolérance saluée par la critique et récompensée aux Golden Globes.

Épisode 1

Dans une petite ville du New Jersey, près de New York, Maysa Hassan conduit Ramy, son fils, au centre culturel islamique. Elle profite du trajet pour lui rappeler qu’il serait temps qu’il se marie, mais le jeune homme, employé dans une start-up, s’y oppose, préférant l’amour libre. Pendant ses ablutions, Ramy est réprimandé par un fidèle car il ne s’est pas lavé entre les orteils, empêchant ainsi ses prières d’être exaucées. Par la suite, alors qu’il assiste au mariage de son ami Mohammed, ses proches tentent de le convaincre d'épouser une musulmane. Mais Ramy préfère sortir avec Chloé, une jeune femme athée. Jusqu’au jour où son couple craque…

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Récit d’une enquête scientifique pluridisciplinaire doublée d’une expédition sous-marine hors du commun, menée par le plongeur et naturaliste Laurent Ballesta.

C’est un curieux phénomène observé en 2011 sur l'écran d’un sonar lors d’une campagne océanographique dans le parc naturel marin du cap Corse et de l’Agriate. À une vingtaine de kilomètres au large de l’île de Beauté, sur une vaste plaine de sable, à plus de 100 mètres de profondeur, 1 417 formes circulaires régulières se dessinent sur près de 15 km². Des anneaux presque parfaits, de 20 mètres de diamètre, qui semblent dessinés sur le fond marin. Ces motifs géométriques inhabituels éveillent la curiosité de la communauté scientifique. Longuement préparée, une expédition de grande ampleur va tenter d'en percer le secret. Elle est menée par Laurent Ballesta, plongeur, photographe, naturaliste et spécialiste des plongées extrêmes, qui s’entoure d’une équipe pluridisciplinaire d'une quarantaine de chercheurs – biologistes, géologues, écologues, paléoclimatologues. Pour cela, il mobilise une technologie déjà expérimentée lors de Planète Méditerranée : une station bathyale pressurisée qui permet à quatre plongeurs d’explorer les grandes profondeurs sans limite de temps, tout en vivant confinés pendant vingt et un  jours dans un habitacle de 5 m². Une prouesse rendue possible grâce au soutien logistique de la Marine nationale, qui met à disposition un navire militaire pour assurer leur sécuritéÀ l’aide de cette station sous-marine, d’un sous-marin d’observation et de nombreux protocoles scientifiques, l’équipe, d'analyses en hypothèses, relève peu à peu le mystère de l’origine de ces étranges anneaux et la biodiversité exceptionnelle qu’elles abritent.

Écosystème à part
Ce film documentaire retrace trois années d’une enquête scientifique pleine de rebondissements qui, après les premières plongées de repérage, dévoilant un paysage sous-marin surprenant, enchaîne découvertes majeures, bonnes surprises et déconvenues. Aussi passionnantes pour les spécialistes que pour le profane, les conclusions des investigations révèleront un écosystème unique en son genre. Contre toute attente, ces étranges anneaux nous renseignent sur la dernière période glaciaire qu’a vécu la terre. Au fil des plongées, les photographies de Laurent Ballesta nous font découvrir un foisonnement d’espèces, certaines photographiées pour la première fois, rappelant l’étendue de notre méconnaissance de la mer la plus proche de nous, la Méditerranée.

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Un demi-siècle plus tard, ce documentaire revient sur le tournage épique d’un film dont le succès a métamorphosé l’industrie du cinéma.

Auréolé du succès de Duel, son premier film tourné pour la télévision, Steven Spielberg se voit proposer en 1974 par Dick Zanuck et David Brown, les producteurs du studio Universal avec qui il est sous contrat depuis cinq ans, la réalisation d’un "gros, gros film qui [lui] permettra de faire tous les grands films [qu’il] veut". D’abord réticent, Spielberg accepte. Le tournage, qui se tient dans le Massachusetts sur la petite île de Martha’s Vineyard, ne va pas se dérouler sans encombre. Entachée par de multiples déboires – tensions avec les acteurs, temps épouvantable, requin électronique en carafe… –, l’aventure se solde par un important dépassement de budget, qui fait craindre le pire pour sa carrière au jeune réalisateur de 28 ans. Mais quand il sort sur les écrans à l’été 1975, Les dents de la mer enthousiasme le public. Bousculant une industrie du cinéma un peu endormie, ce blockbuster va ouvrir la voie à la naissance des franchises et à l’essor des multiplex.

De la série B aux Oscars
Adaptée d’un best-seller de Peter Benchley, paru en 1974, l’histoire du squale tueur ne devait être au départ qu’un petit film de série B comme les studios en produisaient alors à la pelle. Récompensé en 1976 par trois Oscars (montage, musique et son), Les dents de la mer marque une rupture dans l’histoire du cinéma américain, au moment où se referme la parenthèse du Nouvel Hollywood. Revenant sur son tournage épique et sur ce qui a contribué à son succès, notamment la mise en scène audacieuse de Spielberg et la bande originale composée par John Williams, Olivier Bonnard et Antoine Coursat ("E.T.", un blockbuster intime) appuient leur démonstration sur de riches archives, ponctuées d’extraits du film, et sur les témoignages, recueillis un demi-siècle après la sortie en salle du film, de plusieurs de ses protagonistes, parmi lesquels la comédienne Lorraine Gary, la veuve de l’auteur Wendy Benchley, le chef décorateur Joe Alves et le scénariste Carl Gottlieb.

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