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Avec Burt Lancaster et Audrey Hepburn, un western flamboyant de John Huston contre les mensonges de la conquête de l'Ouest. 

Au lendemain de la guerre de Sécession, dans les grandes plaines du Texas, le clan Zachary habite un ranch isolé, près duquel repose le père, mort en défendant les siens contre les Indiens kiowa. Ben, qui a appris la langue de ces derniers en grandissant, et refuse de communier dans la haine des "Rouges" qui cimente la bourgade voisine, tient le rôle de chef de famille auprès de sa mère Mathilda, de ses frères cadets et de leur sœur adoptive, Rachel. Un jour, celle-ci croise un vieil illuminé qui affirme la connaître. Peu après, trois Kiowa viennent au ranch des Zachary réclamer la jeune fille, qu'ils disent être leur sœur de sang…

Ambiguïtés
À contre-courant des scénarios manichéens alors de mise à Hollywood, John Huston signe un faux classique du western, émaillé de chevauchées fantastiques et de fusillades, mais sous-tendu par l'ambiguïté. La mère (Lillian Gish) vit dans le mensonge, le frère et la sœur adoptive (Burt Lancaster et Audrey Hepburn) sont épris l'un de l'autre, et les pionniers incarnent la face sombre de la conquête de l'Ouest. Installant son casting de haut vol dans un paysage grandiose et impitoyable, le génial touche-à-tout, pour son premier western, subvertit les codes du genre sans renoncer à sa grande tradition. Un an plus tard, avec Les désaxés, il l’enterrera sans fleurs ni couronnes.

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À la veille de l’élection présidentielle du 18 mai, retour sur l’année de transition vécue par la Pologne et la cohabitation difficile entre le gouvernement proeuropéen de Donald Tusk et le chef de l’État Andrzej Duda, proche du parti nationaliste PiS. 

Après avoir été dirigée par le parti nationaliste d’extrême droite Droit et Justice (PiS) de 2015 à 2023, la Pologne vit depuis un peu plus d’un an une cohabitation malaisée : alors que le gouvernement de coalition du proeuropéen Donald Tusk s’attelle à rétablir progressivement l’État de droit, notamment à travers un retour de l’indépendance de la justice et de la liberté de la presse, le président Andrzej Duda, proche du PiS, met son veto à nombre de ces initiatives législatives. Cette année de transition, qui amorce un retour à la démocratie et coïncide aussi avec la présidence tournante de l’Union européenne, s’apprête à s’achever par des élections cruciales pour le pays : le 18 mai prochain (puis le 1er juin, si une majorité absolue ne se dégage pas au premier tour), les Polonais se rendront aux urnes pour élire un nouveau président. Ayant déjà effectué deux mandats, Andrzej Duda ne peut se présenter, mais un autre candidat du PiS, Karol Nawrocki, va affronter Rafal Trzaskowski, représentant la Coalition civique, dans un duel que les sondages prévoient au coude à coude. 
À la veille d’un scrutin déterminant pour leur avenir, quel regard portent les Polonais sur cette année de transition ? Comment les changements amorcés par Donald Tusk se sont-ils traduits dans leur quotidien et qu’attendent-ils du futur président ? Parcourant le pays, ce documentaire dresse un état des lieux et propose une analyse éclairante sur les enjeux de cette présidentielle.

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Premier mouvement authentiquement américain, l’expressionnisme abstrait, né dans le New York de l’après-guerre, est une déflagration dans le paysage artistique mondial, imposant une nouvelle manière de peindre – spontanée, non figurative, puissamment émotionnelle. Autour des "stars" de la première génération comme Mark Rothko ou Jackson Pollock se tiennent des femmes, souvent plus jeunes, dont le génie et l’audace n’ont rien à envier à leurs homologues masculins : Lee Krasner (1908-1984), héritière du cubisme, compagne de Pollock, avec qui s’échangeront de riches inspirations mutuelles, et qui se réinventera plusieurs fois au cours de sa longue carrière ; Joan Mitchell (1925-1992), qui glisse du cubisme aux paysages abstraits puissamment rythmés ; ou Helen Frankenthaler (1928-2011), initiatrice de la technique du "Soak and Stain" – des nappes mouvantes de couleur fluide –, s’exprimant sur de très grands formats. 

Couleur et geste spontané 
Des années 1950 jusqu’aux dernières décennies du XXe siècle, de New York à Paris, ce documentaire s’attache à retracer les trajectoires parallèles de trois artistes puissantes aux œuvres empreintes d’une grande force évocatrice, toutes trois portées par un esprit d’innovation faisant fi des règles établies et transfigurant la couleur par le geste spontané. Bien qu’elles adoptent des approches similaires à celles de leurs collègues masculins et remportent des succès d'exposition, Krasner, Mitchell et Frankenthaler ont été reléguées dans les marges par un marché de l’art alors émergent qui préférait miser sur les hommes, et par une histoire de l’art largement écrite par ces derniers. 

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Dans la Lettonie soviétique de 1979, résister au KGB peut encore coûter cher, comme l’apprend à ses dépens un jeune costumier de théâtre tombé amoureux de la metteuse en scène finlandaise qu’il devait espionner. Le début de la fin de l’URSS à Riga dans une vibrante comédie romantique en forme de plaidoyer pour la liberté.

Épisode 1

Riga, 1979. Dans une Lettonie sous le joug de l’URSS, Renars travaille comme costumier dans un théâtre et marchande en parallèle des produits de l’Ouest. Le jeune homme, peu impressionné par l’autorité, est surveillé de près par Maris, officier du KGB qui veut l’utiliser comme mouchard, notamment auprès d’une metteuse en scène finlandaise, Tina. Quand Renars et Tina nouent une relation amoureuse, Maris, également sensible au charme de celle-ci, profite d’une provocation à son encontre pour expédier à l’hôpital psychiatrique son insolent rival.

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Stratégie militaire, influence géopolitique, bataille de l’information : Vladimir Poutine use de tous les moyens pour venir à bout de l’Ukraine. Comment réagit son économie face aux sanctions internationales et aux contraintes de la guerre ?

Malgré les sanctions qui frappent son secteur énergétique et technologique, la Russie affiche une croissance de son PIB grâce à la diversification de ses exportations d’hydrocarbures, notamment à destination de l’Asie. Mais cette résilience cache des faiblesses : inflation galopante, pénuries de main-d'œuvre et dépendance croissante envers la Chine. L’économie russe pourra-t-elle surmonter ces défis ?

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L’humour soude ces compagnons d’infortune dont l’épopée tourne à la comédie catastrophe. En toile de fond, les ambiguïtés de la politique de l’État face au mal-logement.

Installée au quatrième étage d’un petit immeuble à Pantin, à deux pas du périphérique parisien, Marion Angelosanto croyait avoir trouvé le nid idéal. Des voisins agréables, originaires de nombreuses contrées du monde, et un cadre de vie convenant parfaitement à ses attentes. Mais quatre ans après son emménagement, plus rien ne va. Des fuites d’eau dévastent le bâtiment, des rats grouillent dans la cour, des squatteurs s’incrustent par les toits dans les chambres de bonne du cinquième étage, des dégradations en tous genres se multiplient et, pour couronner le tout, les charges impayées atteignent des sommets. Frappé d’un arrêté de péril par les autorités, son immeuble survivra-t-il à cette très mauvaise passe ?
 

Galères collectives
Entre espoir et découragement, la réalisatrice Marion Angelosanto chronique avec humour son combat aux côtés d’une poignée de copropriétaires pour sauver leur bien. De l'arrivée d’un nouveau syndic aux premiers travaux de rénovation, de conflits en déconvenues, elle témoigne de leurs galères collectives pour échapper au pire, mais aussi des ratés désastreux des politiques publiques contre le mal-logement.

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Une visite récente à l’expo Disco à la Philharmonie de Paris nous a donné envie d’un sujet dans Blow up tout en dance-floor, boules à facettes, DJ, strass et paillettes, bref d’un sujet sur le disco au cinéma.

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Très remarqué dans les festivals, le premier film de Monia Chokri, découverte comme actrice dans "Les amours imaginaires" de Xavier Dolan, qui a réalisé son montage.

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"Ce premier concert offre un programme musical autour des racines de Bach, tout ce carrefour d’influences dont le jeune Jean-Sébastien s’est nourri. On y redécouvre des compositeurs dont la musique est d’une profondeur et d’une vérité extraordinaires ; je pense à par exemple à Philipp Erlebach, Nicolaus Bruhns, Daniel Speer, Johann Christoph Bach… " - Raphaël Pichon.

Avec Sabine Devieilhe, Maïlys de Villoutreys, Perrine Devillers, Lucile Richardot, Paul-Antoine Benos-Djian, Laurence Kilsby, Antonin Rondepierre, Tomáš Král, Christian Immler et Renaud Brès.

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Portrait d’une immense artiste et d’une icône à l’irrésistible espièglerie. 

Depuis près de soixante ans, elle enchante l’Amérique à coups de hits devenus planétaires, de "Jolene", reconverti brûlot indie rock par les White Stripes, à "I Will Always Love You", dont la reprise par Whitney Houston reste la chanson d’une artiste femme la plus vendue de tous les temps. Choucroute peroxydée et combinaisons moulantes à paillettes, la reine absolue de la country a su en outre s’attirer tous les suffrages par ses aphorismes – les "dollismes" – et sa générosité de businesswoman philanthrope. Immense auteure-compositrice-interprète autant que virtuose de l’autodérision – "Ça coûte cher d’avoir l’air bas de gamme !" –, Dolly Parton, née en 1946, grandit en Cendrillon dans un cabanon sans eau ni électricité des Appalaches auprès de onze frères et sœurs, avant d’emporter, à 17 ans, sa voix de soprano, sa guitare et son rêve de devenir star dans un car pour Nashville. Sûre de son talent, celle qui d’emblée prévient "Just because I'm blonde, don't think I'm dumb" ("Juste parce que je suis blonde, ne crois pas que je suis idiote") s’émancipe vite de ses pygmalions pour écrire trois mille chansons et vendre cent millions de disques au cours d’une carrière hors norme. Jouant de sa caricature, l’autoproclamée Backwoods Barbie ("Barbie de la cambrousse"), titre d’un album de 1967, s’honore de servir de modèle aux drag-queens : "Si j’avais été un garçon, j’en aurais été une, c’est sûr"… Plus équitable qu’engagée, mais surtout courageuse et maligne, Dolly, qui a ouvert un parc d’attractions à son nom dans le Tennessee, sait faire entendre la voix de la tolérance. En plein mouvement Black Lives Matter, cette fille du Sud profond rappelle ainsi : "Il n’y a pas que nos petits culs de blancs qui comptent." Taylor Swift, qui se réclame de son héritage, raconte que, lors d’un concert, son aînée pré #MeToo aurait taclé un importun qui lui hurlait sa flamme d’un sobre : "Je t’avais dit de rester dans le camion."
 

"Mae West de Nashville" 
Retraçant la flamboyante carrière de cette légende vivante de la country – vénérée par Beyoncé qui, à son tour, a repris "Jolene" –, ce documentaire montre comment Dolly Parton, icône queer, a su conjuguer extrême artificialité et vraie profondeur. Car derrière ses extravagants costumes et son maquillage outrancier, la "Mae West de Nashville", attachée à ses Appalaches natales, raconte dans ses textes son intimité et sait y insuffler la gravité d’enjeux de société. Avec sa musique, un inébranlable optimisme qui voile sa mélancolie, et son espièglerie, "sainte Dolly" réussit à fédérer une Amérique fracturée, ralliant à sa bannière colorée Blancs et Noirs, progressistes et conservateurs. Féministe par le parcours plus que par le discours, elle s’investit dans de justes causes, pourvoyant en bibliothèques les enfants privés de livres ou participant en 2020 au financement  de la recherche sur le vaccin contre le Covid-19. Au fil de ses apparitions télévisées explosives et en chansons, le réjouissant portrait d’un phénomène attachant qui n'a jamais rendu de comptes qu’à Dieu. 

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