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Retrouvez les albums emblématiques de l’école des loisirs sur vos écrans. Des histoires portées par des lectures captivantes pour découvrir ou redécouvrir les aventures sensibles, drôles et rocambolesques des petits héros de vos enfants !
Les mots doux
Lola se réveille avec des mots doux dans la bouche. Il faut qu'elle les dise à quelqu'un, mais Papa s'en va déjà et Maman est trop pressée...
Je mangerais bien un enfant
Chaque matin, maman Crocodile apporte à Achille de bonnes bananes pour son petit déjeuner, et chaque matin, elle s'émerveille: «Mon fils, comme tu es grand, comme tu es beau, comme tu as de belles dents!» Mais un matin, Achille ne mange rien. Il ne veut pas de bananes. Ce qu'il veut, c'est manger un enfant. Ses parents s'inquiètent. Ils lui apportent une saucisse grosse comme un camion. Ils lui préparent un énorme gâteau au chocolat. Rien à faire. Ce que veut Achille, c'est manger un ...
Dès 3 ans
Retrouvez les albums emblématiques de l’école des loisirs sur vos écrans. Des histoires portées par des lectures captivantes pour découvrir ou redécouvrir les aventures sensibles, drôles et rocambolesques des petits héros de vos enfants !
L'Afrique de Zigomar
Pipioli le souriceau rêve d'aller en Afrique comme son amie l'hirondelle. Le merle Zigomar accepte de l'y emmener...mais il n'a aucun sens de l'orientation. Un voyage inattendu les attend.
Haut les pattes !
Billy ne deviendra pas un supergangster comme moi, se désole son père. Il a trop bon caractère, il est bien trop gentil… Pourtant, Papa décide de fournir à son fils une panoplie complète et de lui donner sa première leçon de bandit. C’est simple : il s’agit de pointer son revolver et de dire : « Haut les pattes ! » Ce que son père ignore, c’est que cet exercice va permettre à Billy de gagner ses galons de héros, mais surtout de se faire toute une bande ...
Dès 4 ans
L’affaire s’amplifie sur les réseaux sociaux lorsque sa co-animatrice s’en mêle. C’est le début d’une descente aux enfers et d’une implacable vengeance. Minisérie de haut vol "Douglas Is Cancelled" est signée Steven Moffat ("Sherlock"). Avec Hugh Bonneville et Karen Gillan.
Épisode 1
Trésor national du petit écran, Douglas Bellowes informe depuis plus de dix ans les Britanniques lors de sa célèbre émission News at Six, coanimée avec Madeline Crow, une jeune journaliste pleine d'allant. Un soir après l'émission, leur producteur, Toby, prend Douglas à part pour l'alerter des suites d'un dérapage de ce dernier. Invité à un mariage, l'animateur, ivre, avait proféré une blague sexiste dont s'est plaint l'un des invités en postant un message bien senti sur les réseaux sociaux. Douglas déclare n'avoir aucun souvenir de ce moment de la soirée. Tandis que Madeline, prévenue, ne semble pas faire grand cas de l'affaire, chez lui, Douglas fait face à Sheila, sa femme, qui craint qu'on ne le manipule, et à sa fille, une adolescente militante survoltée.
Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.
En marge de l’exposition que lui consacre le Centre Pompidou, l’itinéraire romanesque d’une artiste éminemment moderne.
Rien ne la prédestinait à une vie d’artiste. Le destin de cette femme née en 1865 d'une blanchisseuse et d’un père inconnu, mère à 18 ans (du futur peintre Maurice Utrillo), aurait pu être tout tracé. Mais son histoire est un défi à la fatalité : celle d’une femme qui s’est affranchie des conventions, de son genre et de son milieu social, guidée par sa vocation de créatrice. Modèle dès l'âge de 15 ans, elle pose pour Renoir ou Toulouse-Lautrec. Erik Satie en tombe amoureux, mais la passion qui habite Suzanne Valadon est d’abord celle de son art : le dessin, la gravure, la peinture. À une époque où les femmes n’ont pas le droit d’intégrer l’école des Beaux-Arts, elle se forme en autodidacte, en observant les peintres pour lesquels elle pose. Cette surdouée à la volonté de fer voit bientôt son travail reconnu par Edgar Degas, qui deviendra son plus fervent collectionneur. Tout en veillant à ne s’attacher à aucun courant artistique, elle s’extrait des limites assignées aux femmes artistes. Première femme à peindre un homme nu de face ou à s’attaquer à de grands formats, Suzanne Valadon n’a eu peur ni des défis ni des scandales : dans son art comme dans sa vie, elle fut sans concession. Au fil des années, avec 450 toiles à son actif, elle devient célèbre en France et se fait également un nom sur la scène artistique internationale, jusqu’à sa mort en 1938.
Incroyable modernité
Tissé d’archives de la Belle Époque, de séquences en animation et d’entretiens, notamment avec Nathalie Ernoult, attachée de conservation au Musée national d’art moderne de Paris, ce portrait documentaire retrace l’itinéraire romanesque d’une artiste dont la vie, d’une incroyable modernité, a été parsemée de rencontres et d’amitiés avec les plus grands artistes de son temps. "Elle est finie mon œuvre, écrivit-elle, et la seule satisfaction qu’elle me procure est de n’avoir jamais trahi ni abdiqué rien de tout ce à quoi j’ai cru. Vous le verrez peut-être si un jour quelqu’un se soucie jamais de me rendre justice". C’est enfin fait.
Grand cinéaste de la parole, Manoel de Oliveira esquisse une sublime tentative de dialogue entre les langues et cultures, malgré les menaces qui pèsent sur l’avenir de l’Europe. Avec Leonor Silveira, John Malkovich, Catherine Deneuve et Irène Papas.
Rosa Maria, professeure d’histoire à l’université de Lisbonne, sillonne la Méditerranée à bord d’un paquebot de croisière en compagnie de sa fille, Maria Joana. Elles ont pour destination Bombay, où elles vont retrouver leur mari et père. Au fil de leur périple, elles visitent différents hauts lieux historiques et conversent avec autant de personnes promptes à compléter leurs connaissances. Un soir, le commandant leur propose de se joindre à sa table, où sont aussi reçues trois femmes illustres.
Au bord de l’extinction
Un film parlé débute littéralement sur un océan de questions – celles posées avec une gourmandise insatiable par la jeune Maria Joana à sa mère, professeure avide de transmettre son savoir. Cette curiosité est le moteur de toutes leurs conversations et du film lui-même, les propulsant à grande vitesse vers des ports chargés d’histoire (Athènes, Naples, Marseille…), où elles s’émerveillent des beautés de civilisations disparues. Dans cet échange ininterrompu, qui fait peu de cas du trivial, se joue la survivance d’un monde au bord de l’extinction. Car, tourné peu de temps après les attentats du 11 septembre 2001, le film fait vite planer, au creux de l’innocence portée par Maria Joana, une menace sourde. Et connaît un tournant décisif dans ce qui semble n’être qu’un simple dîner entre le commandant du navire et trois femmes d’influence, dont Catherine Deneuve et l’actrice grecque Irène Papas, disparue en 2022. Si chacune s’exprime dans sa langue – l’italien, le français, le grec – et si toutes se comprennent malgré tout, elles annoncent sans ambages le naufrage inéluctable de l’Europe face à la suprématie du monde anglophone. Figure emblématique du cinéma d’Oliveira, Leonor Silveira (Rosa Maria) dresse un inventaire enchanté des mythes qui ont façonné l’Ancien Continent, tout autant qu’elle semble préparer les adieux du cinéaste – alors âgé de 95 ans –, gardien d’un siècle entier de souvenirs comme de grands bouleversements.
Un documentaire pour se plonger dans l'univers des couleurs et comprendre comment notre cerveau les perçoit et même les construit. Du développement de la vision des couleurs chez les nourrissons aux différentes manières de percevoir les couleurs selon les individus, du daltonisme à la synesthésie, le bleu et le jaune n'auront plus de secrets pour vous !
En pleine décolonisation, l’ONU joue les arbitres entre anciennes puissances coloniales et nouveaux États africains. Khrouchtchev est furieux des ingérences belges et américaines au Congo. Pendant ce temps, Louis Armstrong, "Ambassadeur du Jazz", est envoyé par les États-Unis pour détourner l’attention d’un coup d’État soutenu par la CIA. Jazz, politique et décolonisation s’entremêlent dans cet épisode méconnu de la guerre froide.
New York, février 1961. Une soixantaine d’activistes interrompent, aux cris d’"assassins !", "meneurs d’esclaves !", "enfoirés racistes !", une séance du Conseil de sécurité de l’ONU. Aux côtés de la chanteuse Abbey Lincoln, de l’écrivaine Maya Angelou, du batteur Max Roach, ils crient leur révolte devant l’assassinat arbitraire de Patrice Lumumba. Petit retour quelques mois en arrière : alors que ce jeune leader congolais a arraché à la Belgique l’indépendance de son pays, proclamée le 30 juin 1960, les Nations unies, elles, tanguent face à un afflux de nouveaux membres – seize pays africains, fraîchement décolonisés et décidés à se faire entendre. L’équilibre des votes, traditionnellement en faveur des pays occidentaux, menace de basculer à l’avantage de ce que l’on n’appelle pas encore le "Sud global". Les États-Unis et le royaume belge craignent aussi de voir le sous-sol congolais, qui regorge de minerais stratégiques, tomber aux mains des Africains ou, pire en ces temps de guerre froide, de la Russie de Nikita Khrouchtchev. Quelques mois avant le meurtre de Lumumba, le gouvernement d’Eisenhower a "pris commande" de la tournée africaine d’un de ses meilleurs "ambassadeurs du jazz", Louis Armstrong. Celui-ci ignore que sa venue triomphale a pour but de détourner l’attention du coup d’État qui se déroule au Congo, fomenté par la Belgique et la CIA alors que l’ONU ferme les yeux.
Indépendance volée
Multirécompensé, nommé aux Oscars, ce documentaire renferme son propos rageur dans un magnétique écrin visuel et sonore. S’affranchissant de la chronologie, le film opte pour la libre association d’idées et raconte la poignée d’années effervescentes qui virent les anciens pays colonisés s’affirmer et se rapprocher, espoir d’un nouvel ordre mondial vite douché par le cynisme occidental et les barbouzeries de la CIA. D’une grande beauté formelle (citations sur fond noir, élégance des images, ironie du montage alterné), le film enchaîne avec un tempo parfait ses incandescentes archives. Il s’appuie, entre autres, sur les mémoires audio de Khrouchtchev, celles, lues à voix haute, d’Andrée Blouin, l’une des rares femmes africaines de tête de cette histoire, du diplomate irlandais et enfant terrible Conor Cruise O’Brien, sans oublier d’ahurissantes séquences diplomatiques (notamment celle où le roi Baudoin s’étonne que Lumumba fasse un discours le jour de l’indépendance du Congo). Seul interviewé, l’écrivain congolais In Koli Jean Bofane relie le sort actuel de son pays, toujours déchiré par la guerre civile, à cette indépendance volée soixante-cinq ans plus tôt. Cœur battant du film, la bande-son, somptueuse, renoue avec l’époque fiévreuse où jazz et politique était indissociables, de l’explosion du bebop aux explorations du free jazz. La performance chantée d’Abbey Lincoln, le blues ample de Nina Simone, les fulgurances de Max Roach font écho avec éloquence aux iniquités de leur temps. Instrumentalisé par la CIA, le jazz, par nature libre et protestataire, finit par ruer dans les brancards comme l’illustrent les volte-face de Louis Armstrong et de Dizzy Gillespie. Enrôlés dans de manipulatrices tournées en vertu du soft power, ils finirent par envoyer le pouvoir américain "au diable".
Livraisons d’armes de la part de Pyongyang, transfert de technologies russes et présence de soldats nord-coréens sur le front du Donbass : une alliance qui déstabilise l’Europe et l’Asie du Nord-Est. Retour sur une relation née au lendemain de la Seconde guerre mondiale.
Une œuvre unique où chaque instrument incarne un personnage. Renaud Capuçon dirige l’Orchestre de Chambre de Lausanne tandis que Jean Reno endosse le rôle du récitant.
Pierre mène une vie paisible avec son grand-père et ses amis les animaux : l’oiseau, le canard et le chat. L’oiseau se rit du canard qui ne sait pas voler. Le chat aimerait bien manger l’oiseau. Mais celui-ci est bien trop malin et garde ses distances. Un monde idyllique s’il n’y avait les incursions du grand méchant loup dans le pré côtoyant la maison. Ce conte pédagogique est célèbre pour son utilisation de thèmes musicaux. À chaque personnage est associé un instrument ou un groupe d’instruments. Les violons représentent Pierre, la flûte traversière symbolise l’oiseau, le hautbois incarne le canard et la clarinette le chat. Quant au loup, il est annoncé par trois cors d’harmonie, couverts par les timbales et la grosse caisse symbolisant les chasseurs qui lui tirent dessus. Heureusement, sans le tuer. Capturé par les protagonistes, il est emmené au jardin zoologique dans une marche triomphale tandis que le canard qu’il a avalé continue de cancaner dans son ventre.
Filmé le 9 janvier 2025 dans la Salle Métropole à Lausanne, Suisse.