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Philippines, début du 20° siècle. Les premiers retentissements de la guerre annoncent l'arrivée des troupes américaines. Une mère et son fils décident de fuir vers la montagne à la recherche d'une vie plus sûre. Un jour, au milieu de la forêt, le fils découvre le corps gisant d'une femme abusée qu'il décide de ramener dans leur abri. Les années passent. Le fils devenu homme, la femme et son enfant vivent isolés, reculés du chaos ravageant le pays. Mais un orage soudain bouleverse leurs existences pendant que les troupes américaines approchent."Film inclassable et brillant, Independencia tient autant de la fantasmagorie que de l'acte politique."Positif - Nicolas Bauche
Monsieur Ho, "le Cerveau" est le patron d'une petite équipe de tueurs professionnels qui font passer leurs crimes en acccidents. Quand sa femme meurt dans un accident de voiture, il croit à une vengeance... Présenté en compétition à la Mostra de Venise 2009.
Au sud du Chili, à la fin de l'été, quatre membres d'une famille paysanne vont et viennent, chacun à leurs occupations. Le monde qui les entoure change trop vite, ils ont du mal à le comprendre et à s’y adapter. C’est un monde où un jeu vidéo, une nouvelle robe sont plus précieux qu'un litre de lait ou un verre de vin. Un monde nouveau, globalisé qu’ils ne reconnaissent pas mais qui est bel et bien là.
Vers un Groenland américain ? L'aspiration des Groenlandais à plus d'indépendance, un nouveau Traité avec le Danemark, la fonte des glaces et donc l'accès à de nouvelles sources de minerais : le Groenland est en train de changer de destin.
Adèle, la trentaine, est célibataire... mais toute ressemblance avec les princesses de son espèce s'arrête là. Côté Coeur : les princes charmants se bousculent à sa porte. Côté Santé : elle manque sérieusement de sommeil. Côté Boulot : saura-t-elle répondre à l'appel de la littérature étrangère ? Notre conseil : apprendre rapidement à dire "non".
Dans une colonie d'immigrants juifs d'Entre Rios, en Argentine, à la fin du 19e siècle, l'histoire de Gertrudis. Sa famille l'a toujours trouvée laide, qu'elle soit bébé, petite fille ou adolescente. Devenue femme, les gens du village s'accordent aussi à la trouver décidément laide. C'est seulement quelques année plus tard, mariée et mère de famille, qu'elle sera vue autrement par un photographe français, artiste surréaliste, qui gagne sa vie en faisant des portraits de famille. Il va être le seul à découvrir, avec un autre regard, la beauté particulière de cette femme, la richesse et la créativité de son monde intérieur. A travers son "regard", Gertrudis commencera à "se voir".
Alors qu'une foule en vacances longe les côtes méditerranéennes à bord du Costa Concordia (4 ans avant son naufrage), deux enfants réinventent la politique en forçant leurs parents au débat. Qu'est devenu le berceau de la démocratie ? Godard filme la légendaire méditerranée et livre pour bilan une "symphonie en trois mouvements" dont les invités sont Bernard Maris, Elias Sanbar ou Alain Badiou.
Signée Philippe de Broca, une comédie douce-amère sur l'égoïsme masculin (incarné par Jean Rochefort), sublimée par ses actrices (Nicole Garcia, Annie Girardot, Danielle Darrieux) et le talent du dialoguiste Michel Audiard.
Édouard Choiseul est partout chez lui. Charmeur aussi égocentrique qu'extravagant, ce pianiste renommé musarde de concerts en soirées parisiennes et collectionne les femmes, promettant monts et merveilles à celles qu'il abandonne invariablement. Deux fois marié, trois fois père, il entretient de bons rapports avec son ex-femme qui a eu l'intelligence de l'oublier, et néglige celle qui vit à ses côtés, lui laissant les enfants à charge et affabulant à souhait pour couvrir ses escapades. Mais le charmant numéro d'Édouard a vieilli, comme lui, et il ne trompe plus grand monde...
Épaisseur lucide
Sous la douceur fantasque des comédies des années 1970, Philippe de Broca jette une lumière cruelle sur les conséquences de l'égoïsme masculin. Lorsque la farce devient amère, abandonné par toutes les femmes qu'il a dupées, Édouard Choiseul (Jean Rochefort), après avoir joyeusement cabotiné, sombre dans un pathétisme glaçant. Quant aux dialogues de Michel Audiard, ils donnent au film toute son épaisseur lucide, comme lorsque Annie Girardot déclare à son ancien mari : "Tu es comme un coup de vent qui passe sur l'eau : tu laisses des rides."