Supercopain contre Supercopine (le duel)... Vous connaissiez Super Copain... Celui que vous appelez 3 fois et qui vous sort de tous mauvais pas. Un brin collant, certes, mais bien pratique tout de même. Et bien voilà Super Copine ! Celle que tu appelles quand tu t'ennuies comme un choux fleur, quand ton chat se moque de toi, quand tu ne supportes plus ta grande sœur et que tu n'es pas encore assez grand pour envoyer tout le monde balader... Allez, on l'appelle ! Bon, c'est vrai que cette Super Copine n'est pas toujours là au bon moment. Il est vrai qu'il faut l'appeler 10 fois de suite avant qu'elle débarque ! Enfin, quand elle débarque, ça déménage ! Au point que ta sœur pourrait appeler "Super Copain"...

A partir d'exemples du quotidien, l'auteur cherche à déconstruire les idées véhiculées sur les pauvres en s'intéressant à la question de l'argent, lequel est parfois considéré comme mal géré, mal utilisé ou mal alloué. Cette thématique amène une réflexion sur le rapport à la consommation, sur la place du luxe et du superflu dans les dépenses des autres membres de la société. ©Electre 2024

Récits des grands mythes grecs illustrés d'oeuvres d'art appartenant aux collections des plus beaux musées du monde entier. Texte intégral de la série diffusée sur Arte. ©Electre 2024

En mettant en relation pop culture et philosophie, l'autrice propose une introduction à des réflexions et notions philosophiques : le corps et Naruto, l'existentialisme et The Crown, la mort et Black Panther, entre autres. ©Electre 2024

Après Jeux pour écrire, ce nouveau livre de Michel Martin répond d'une manière théorique et pratique aux multiples demandes concernant la lecture sur albums. Une étude concrète, une série de jeux et d'animations, des simulations et conseils, et près de deux cents exercices, permettront à l'enseignant de se doter d'un outil précieux pour construire un apprentissage structuré du lire-écrire au cycle 2

Guide pour mieux gérer son argent et trouver un équilibre budgétaire, c'est-à-dire économiser sans se priver. Peu importe son salaire, l'objectif est d'arriver à un équilibre financier qui permet alors plus de liberté dans un contexte de crise économique et d'inflation. ©Electre 2024

La folle virée de Josette et Simone, deux poules qui n'ont pas le permis mais qui ont du cran !Au poulailler, les journées s'égrènent lentement. Simone rêve de prendre ses cliques et ses claques. Seulement, elle n'a pas le permis de conduire, et voler… comment dire ! Heureusement, Josette qui connaît tous les recoins de la ferme, emmène son amie dans la grange. Installée au volant d'un tuk-tuk, Simone se sent pousser des ailes, direction Plume-sur-Mer ! C'est le début d'une folle virée pour les deux gallinacées. Mais sur la route, de nombreuses surprises les attendent. Une ode à la liberté, pleine de rebondissements, qui met à l'honneur le courage et la sororité.

Un ver de terre est si triste qu'il n'arrive pas à arrêter de pleurer. Le narrateur essaye de lui remonter le moral en trouvant d'autres utilités à ses larmes : faire cuire des pâtes, diluer de la peinture, remplir des rivières, entre autres. ©Electre 2024

Ce guide de terrain est organisé en trois sections : des renseignements pour découvrir les Pays-Bas, des informations pour comprendre l'histoire et la culture de ce territoire, ainsi que des itinéraires et des conseils pour préparer son voyage. Avec des promenades et des circuits conseillés, ainsi qu'une sélection de 530 adresses. ©Electre 2024

Avec 'Suave Bruta', la contrebassiste et chanteuse franco-colombienne ÈEda Diaz présente son premier album, onze titres combinant rythmes traditionnels sud-américains et expérimentations électroniques ultra-créatives. A mi-chemin entre une carte astrale poétique et un pont express sur l'Atlantique, Suave Bruta propose une expérience unique. Douce ou indomptable ? Organique ou électronique ? Euros ou pesos ? Ne pas choisir, c'est encore choisir : Èda Diaz le sait car elle veut tout, et ne s'en excuse pas ! Avec Suave Bruta, la musicienne opère une authentique réconciliation des différentes parties de son identité, des fragments riches et complémentaires qu'elle a longtemps pris pour des contraires. Française par sa mère, colombienne par son père, Éléonore Diaz Arbelaez a tôt fait d'apprendre à jongler entre les langues, les cultures, les rythmes et les manières de pratiquer la musique grâce à de nombreux allers retours entre Paris et Medellín. Exemple : pendant plus de quinze ans, ÈEda Diaz s'applique sagement au piano classique au Conservatoire de Boulogne Billancourt. Mais chaque été, au son du tiple et des petits verres d'aguardiente qu'on entrechoque dans le patio de la maison familiale à Medellín, sa grand-mère lui transmet la fougue des tangos de Carlos Gardel, le romantisme des boléros, la liesse des bambucos et tout un répertoire de chants populaires issus des grandes traditions de la musique sud-américaine. Dès lors, réunir les deux continents devient l'obsession d'ÈEda Diaz. Mais comment faire ? Comment se situer ? Comment être soi-même ? Puisqu'elle ne se sent ni l'âme d'une concertiste ni celle d'une folkloriste, ÈEda Diaz se met alors au rock psyché ! Un pas de côté qui lui permet de se libérer de ses complexes académiques, d'écrire ses premiers textes et de trouver sa voix. La véritable épiphanie, enfin, prendra la forme d'une contrebasse, une évidence pour ÈEda Diaz que son padre a biberonné aux plus beaux tumbaos de la salsa. En boucle à la maison : Buena Vista Social Club, Omara Portuondo et Joe Arroyo, le plus charismatique de tous les chanteurs de salsa colombiens. L'un de ses grands classiques, 'Suave Bruta', donne d'ailleurs son nom au premier album d'ÈEda Diaz, désormais en paix avec son héritage, son identité, ses goûts et son époque. - - A mi-chemin entre une carte astrale poétique et un pont express au-dessus de l'Atlantique, Suave Bruta propose donc une expérience unique.